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Mon ménage de printemps 2024

Les années se suivent et ne se ressemblent pas. Si on m’avait dit l’année passée que je serais en recherche d’emploi, clouée chez moi à postuler en ligne à des jobs pas très intéressants… Je crois que je l’aurais cru, car j’ai bien conscience du type de monde dans lequel nous vivons et du secteur d’activité dans lequel j’évolue. Mais quand même, çà pique.

Je ne comptais pas déménager cette année, sauf opportunité merveilleuse ailleurs. Mais clairement, je ne m’attends pas à ce qu’on vienne me chercher pour çà.

Donc, je suis toujours dans mon 3-pièces de 62 mètres carrés avec balcon, parking et ascenseur, cuisine séparée, toilettes séparées et d’un point de vue immobilier, je devrais être parfaitement heureuse… J’ai vraiment de la place pour moi et les chats.
Et pourtant, je me plains constamment de devoir toujours tout nettoyer, ranger, maintenir, c’est très fatigant.

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Plus le temps passe et plus que je me dis que je devrais emménager dans plus petit et me simplifier la vie. Le virus du minimalisme me reprend, par période, même si parfois il devient un piège: je n’ai toujours pas de décision définitive sur le nombre d’objets que je devrais avoir chez moi. J’ai encore fait du gros désencombrement récemment. Ayant (involontairement) du temps devant moi, j’en ai profité pour lancer des centaines d’annonces sur le Bon Coin, Vinted et autres Rakuten.

L’arrivée du printemps m’a incitée à:
– identifier les vêtements que je n’ai pas portés cet hiver (comme ce manteau gris qui peluche et qui fait plus négligé qu’habillé)
– faire la revue de ma garde-robe printemps-été et voir ce qui ne me convient pas maintenant (doublons, vêtements en mauvais état, mauvaise taille etc)
– mettre de nouvelles annonces sur Vinted
– faire le tour de mes placards
– mettre de nouvelles annonces sur le Bon Coin
– regrouper ce qui ne s’est pas vendu dans un délai raisonnable et l’apporter à la ressourcerie du coin

Une fois qu’un peu de vide a été fait: NETTOYER!! Je n’aime vraiment pas çà et très honnêtement, la tentation d’avoir une femme de ménage quand je serai à nouveau active est très présente

Et vous, êtes-vous adeptes du ménage de printemps?

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Le bilan d’un mois sans Réseaux Sociaux

Agacée de passer des heures chaque jour sur des réseaux sociaux tels que Tiktok et Instagram, j’avais décidé de supprimer ces applications de mon téléphone et de mes tablettes. Pendant ce mois de mars 2024, j’ai donc essayé de me sevrer de cette pratique, que je qualifierais d’addictive.

Ai-je vraiment passé un mois sans réseaux sociaux? pas vraiment!
– Je me suis régulièrement connectée à Facebook depuis un navigateur. C’était trop difficile de suivre des matches de rugby sans savoir la composition, ni de voir les ralentis et résumés.
Linkedin: grosse consommation, du fait de ma recherche d’emploi hyperactive du moment. Oui, je considère que LinkedIn est un réseau social et comme il est « utile », on culpabilise peut-être un peu moins de passer du temps dessus. Et pourtant, il est tout aussi chronophage et aspirationnel qu’Instagram.
Youtube: essayant de me sevreer des vidéos courtes et addictives de Tiktok; je me suis remise à Youtube et à ses formats plus longs. Spoiler: maintenant il y a un format « shorts » qui est exactement le format et le contenu de Tiktok, donc du coup, on repassera pour le sevrage. J’ai pris une version d’essai sans publicités et c’est quand même nettement mieux, mais je n’arrive pas à regarder des vidéos de plus de 20 minutes, sauf un documentaire fait pour la télé. Surtout, combien de vidéos d’apartment tours et d’apprentis minimalistes vais-je pouvoir absorber jusqu’à être complètement saoulée?
– Il a été facile de ne pas aller à sur X/Twitter car je n’y allais que pour cliquer sur un lien, pas pour scroller pendant des heures.

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Ce que j’ai appris sur moi:

Je vis une tablette ou smartphone à la main, constamment. Ce sont mes deuxièmes cerveaux. Impossible de m’en passer aujourd’hui, car je n’ai pas vraiment d’autres occupations. Certes, je passe du temps à prendre soin de moi: kiné 2 fois par semaine, sport à la salle, balades oxygénantes, mais comme je suis en recherche d’emploi, je passe un 99% de mon temps chez moi. Donc une tablette à la main quand je ne fais pas le ménage ou que je dors. Un peu comme un fumeur, je suis accro au geste.

J’aime partager des moments de vie. Qui saura que j’ai atteint 500 jours d’affilée sur Duolingo et sera fier de moi? Qui partagera avec moi ma joie pour la victoire de mon équipe de rugby? Qui s’émerveillera de la beauté de mon chat quand il me fait les yeux doux?

D’un autre côté, qui en a quelque chose à faire?

Mon bilan pour moi est qu’il m’est difficile de me passer complètement de ces connexions. Mais je reconnais plus que jamais le côté éphémère et artificiel de partager tout et n’importe quoi sur sa vie.


J’ai donc décidé des mesures suivantes:
Tiktok ne sera installé que sur une tablette et limité à 1 heure par jour (je n’ignorerais plus le signal) – il était déjà banni de mon téléphone, depuis que j’ai oublié de descendre du tram à ma station car j’étais trop distraite.
Instagram sera limité au rugby, aux chats et à un profil personnel – Plus de scrolling sur du contenu que je n’ai pas choisi et approuvé.
X/Twitter: limité au rugby et à la sphère professionnelle.
Facebook: limité au rugby et à prendre/donner des nouvelles. Je ne commenterais plus aucun post, je n’efforcerais de ne pas me perdre à lire les commentaires des autres.
Linkedin: utilisation intensive jusqu’à décrocher mon prochain job, pas le choix.

Et vous, quelle est votre attitude envers les réseaux sociaux?

Carrière

Décrypter les offres d’emploi

Dans ma série d’articles sur la recherche d’emploi, débutée il y a quelques mois quand j’ai été licenciée économique, j’ai partagé mes astuces principales, ma barre de favoris, où trouver des offres, il est désormais temps de les décrypter.

Nous avons tous des critères personnels pour décider, ou non, de postuler à un travail:
– le secteur:
– le type d’entreprise
– la localisation (le temps et le mode de trajet)
– le contenu du poste
– les conditions de travail (télétravail possible ou pas?)
– la rémunération
– les avantages sociaux, les horaires de travail
– le « fit » avec le manager

Une fois que vous avez déterminé ce que vous souhaitez et ce que vous accepteriez sur tous ces critères et que vous avez trouver de belles offres, maintenant vous devez décider si vous postuler, ou non.

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Comme en immobilier ou en amour, il y a des sites d’annonces et on peut filtrer sur les critères pré-cités et sur ses « non-négociables ». Et comme en immobilier ou en amour, il y a des red flags, et il important de les détecter dès la lecture de l’annonce.

Une « bonne annonce » comprend:
– le contexte de l’entreprise: l’activité, le département du poste, les grands projets en cours
– un descriptif des activités demandées
– le profil attendu en termes de compétences
– le salaire possible et les avantages proposés
– le processus de recrutement dans son ensemble

S’il y a tout çà, c’est une annonce sérieuse, et il y a vraiment un job derrière. Le problème est que le salaire est bien trop rarement mentionné, et c’est bien dommage car il est extrêmement utile pour se positionner. J’ai perdu le compte des entretiens que j’ai eus récemment qui se sont concluent par « bon, le salaire est vraiment trop bas, merci mais non merci… ». Je demande maintenant à valider la tranche de rémunération avant tout entretien.

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Quelques-uns des « red flags » qui laisse supposer que ce n’est pas une bonne idée de postuler:
quand le descriptif des activités ne correspond pas au métier: je suis encore sous le choc d’une annonce pour un(e) responsable ressources humaines à qui on demandait, en plus de tâches très classiques pour ce rôle, d’ouvrir la porte aux visiteurs, avec le sourire, et de gérer les stocks de snacks. Non, je ne plaisante pas. J’ai signalé l’offre à LinkedIn tellement j’étais outrée. Même si je sais bien que ce n’est pas une annonce « illégale », j’ai trouvé que c’était un réel manque de respect. Apparemment cette entreprise n’a pas les moyens d’avoir un(e) réceptionniste… je n’imagine même pas le salaire proposé.
quand on décrit l’entreprise comme une « famille »: au secours! Clairement l’entreprise attend que votre vie personnelle passe après votre travail. Heures supplémentaires non-payées garanties. Et si l’entreprise est vraiment dirigée par une famille, gros gros gros risques de népotisme et de prises de décision par affinité et par bon sens.
quand on vend des avantages sociaux qui ne sont que le minimum légal: de type 50% des frais de transport, mutuelle d’entreprise… En France, c’est obligatoire. L’employeur qui ne paye pas çà ne respecte pas la loi. Vous respectera-t-il en tant que salarié? Rien n’est moins sûr.
quand ça jargonne trop: l’entreprise attend sans doute que vous soyez opérationnel hyper rapidement et peut-être même sans onboarding ou formation. Il s’agit très certainement d’une entreprise qui ne valorise pas la diversité et préfère embaucher chez son concurrent plutôt que quelqu’un venant d’un autre secteur avec des compétences transférables.

Il s’agit juste de mon opinion, mais mes 20 années d’expérience en RH peuvent servir à d’autres personnes, non?

Et vous, avez-vous une autre idée à partager?

Carrière

Trouver des offres d’emploi pertinentes en 2024

Dans l’ancien temps, on regardait les offres d’emploi dans les journaux ou dans les vitrines. Maintenant, tout est disponible, en ligne, en un clic… Et pourtant chercher un bon job est comme chercher une aiguille dans une botte de foin: une tâche ardue et imprévisible.

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Au delà de l’application de mes astuces, je souhaitais partager ma méthode pour trouver des offres d’emploi pertinentes.

Evidemment, la première source, ce sont les job boards, tels que Cadremploi, Meteojob, Monster ou même France Travail et le Bon Coin. Leur modèle économique est celui des petites annonces. Ils vendent de l’espace publicitaire à des annonceurs, qui ont ainsi de la visibilité auprès des candidats. Ils ont aussi des bases de données de CV où les recruteurs vont faire leur marché sans nécessairement passer par une offre. Ce n’est pas toujours automatique de matcher le bon profil avec une offre, ni l’inverse. Malgré les IA sur le sujet, il y a encore beaucoup de recherches booléennes et donc très incomplétes.

Les aggrégateurs d’offres tels qu’Indeed ou Glassdoor (même groupe japonais) ont encore un autre fonctionnement: ils scannent tous les sites emploi pour récupérer des données. Ils valent la peine d’y jeter un coup d’oeil, en particulier Glassdoor, qui permet de consulter les avis des candidats et employés sur les entreprises, c’est aussi une mine d’or d’informations sur la partie compensation et benefits. Les entreprises peuvent tout à fait choisir de faire leur publicité sur ces sites et notamment parler de leurs avantages.

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Je mets Linkedin un peu à part, car effectivement, il y a une partie « job board » classique, mais ce qui différencie LinkedIn du reste, c’est l’aspect « social ». On peut partager du contenu et créer des connexions au delà de la recherche d’un poste. Ceux qui sont sur le site ne sont pas tous ni recruteurs ni en recherche d’emploi. On partage des informations, des vidéos, des avis (avec parfois cette exaspérante guerre des commentaires). Mais si une de vos connaissances partage un emploi qui vous intéresse, vous serez notifié et pourrez vous positionner très vite. La cooptation est plus efficace que le plus beau des CV! Les recruteurs et les entreprises veulent être rassurés et quoi de mieux que d’avoir la recommandation d’un salarié déjà en place dans l’organisation?

Le moteur de recherche de LinkedIn est particulièrement mauvais (ils le savent) et personnellement, je recommanderais de passer par une recherche Google pour que le moteur de recherche de Google scanne lui-même le contenu de LinkedIn, qui ne fait pas forcément le lien entre un job de « HRBP » « People Partner » et autre « RRH » qui recoupent très souvent le même poste. Si vous êtes en recherche d’emploi, commencer par Google, en fait, il y aura plus de résultats pertinents. Tapez « Linkedin + poste + lieu » et regardez les résultats.

Une fois l’offre identifiée: envoyer votre joli CV et remplir les questionnaires de recrutement liés à l’offre. Ma recommandation en tant que professionnelle de la fonction RH: toujours postuler sur le site de l’entreprise finale, y laisser son CV et s’abonner aux alertes emplois; ça marche!

Est-ce qu’on peut parler du mythe du marché caché pendant 2 paragraphes?
Il y a une statistique qui tourne comme quoi les entreprises ne publient par leurs offres en externe et donc qu’il existe un « marché caché » de l’emploi. Pour moi, c’est très loin de la réalité. C’est sans doute vrai pour le café du coin qui cherche un serveur ou le supermarché qui cherche une caissière, mais les entreprises structurées ont toutes un système pour gérer leur effectifs (Système d’Information Ressources Humaines) et un budget à gérer. Quand un poste est ouvert, dans l’immense majorité des cas, une annonce est lancée et une publication est faite (parfois seulement en interne); Une annonce peut concerner plusieurs postes (exemple: un supermarché recherche 5 employés mais ne fait qu’une annonce) mais il n’y a pas de combines pour trouver des postes qui n’existent pas. Même si une recherche est confidentielle, il y a un descriptif de poste disponible et il y a un « slot » dans le SIRH, sinon votre contrôleur de gestion vous tapera sur les doigts.

Et vous, que faites-vous pour trouver des offres pertinentes?

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Un mois sans réseaux sociaux

Le mois de mars commence sous la grisaille et la pluie… Je n’ai rien tant envie de faire que de rester sous ma couette et de scroller sans réfléchir sur mon téléphone ou ma tablette, de préférence pour regarder des vidéos courtes pour me vider la tête… Après tout, quoi de mieux pour oublier mes turpitudes de recherche d’emploi et mes multiples déceptions en la matière?

Mes statistiques sur Tiktok donnent le vertige: j’ai à de multiples reprises dépasser les 40 heures par semaine sur l’application. Plus qu’un temps plein en France! C’est effrayant. Clairement, je suis devenue addict à ces vidéos courtes, accrocheuses… avec des impacts certains sur ma vie sociale et ma santé. Déjà j’ai dû me résoudre à avoir des lunettes de vue, avec une légère correction, soit, mais je m’en serais passée, pour avoir accès à mes écrans. D’autre part, tout ce temps passé à scroller n’est pas dédié à des activités plus productives: sortir, voir du monde, faire du sport, lire, etc.

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Mon comportement addictif m’a inquiété au point de refaire une diète de réseaux sociaux. Pour ce mois de mars 2024, j’ai enlevé les applications Facebook, Twitter, Instagram et Tiktok de mes appareils mobiles. Je ne m’interdis pas d’aller sur Facebook seulement depuis mon ordinateur, ponctuellement et uniquement pour voir ce qui se passe pour mon club de rugby préféré. En revanche, je conserve une activité importante sur LinkedIn, du fait de ma recherche d’emploi. C’est mon principal medium.

Par ce régime anti-réseaux sociaux, j’espère ne plus me perdre dans la guerre des commentaires, qui est juste épuisante. Il y a tellement d’abrutis sur terre et ils ont le droit de s’exprimer, tout autant que les gens intelligents. Sauf qu’il y a très peu de filtres contre l’idiotie, la misogynie, le racisme, le classisme et autres stupidités, notamment sur Tiktok, et voir les commentaires a juste commencé à générer de l’anxiété. Surtout quand ces mêmes abrutis me prennent à parti. J’ai beau être une adulte qui ne se laisse pas faire, toute cette haine et toute cette négativité me pèsent. Ce n’est clairement pas ce dont j’ai besoin ces temps-ci.

Je prends aussi mes distances avec Facebook/Instagram, car je me rends compte que très peu de mes proches partagent des choses. Je me sens seule et isolée, alors que c’est censé produire l’effet inverse. Donc je garde mon contenu pour moi. Cela ne changera pas ma vie et cela ne changera la vie de personne, je pense.

Et vous, les réseaux sociaux, c’est avec ou sans modération?

Carrière

Ma barre de favoris, spéciale Recherche d’emploi

En complément de mes 5 astuces pour trouver un job, je pense qu’il est utile d’avoir une stratégie pour se simplifier la vie d’un point de vue pratique.

Je suis adepte des raccourcis clavier (je suis de la vieille école, je connais les raccourcis clavier qui évitent de saisir sa souris pour ces commandes simples: copier, coller, mettre en gras, ouvrir un nouvel onglet, fermer une fenêtre, insérer un lien hypertexte etc..), depuis de nombreuses années. Vous pourrez les trouver ici. Pour moi, c’est un vrai gain de temps, sous Mac ou sous PC. Et vous pourrez épater la Génération Z qui n’est pas très familière du concept!

Quand j’ouvre Chrome avec mon compte Google lié à ma « persona » de recherche d’emploi, je tombe sur une page de recherche Google toute simple. J’ai cependant rajouté des favoris, là encore dans un souci d’efficacité pour postuler et suivre mes différentes actions. Pour moi, c’est essentiel de ne pas mélanger ses usages, ce serait dommage de passer au travers d’un message important, entre la newsletter Leclerc et celle de sa banque.

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J’ai donc rajouté les liens vers les sites suivants dans ma barre de favoris, juste sous la plage d’URL:
Gmail (pour accéder directement à la messagerie dédiée à ma vie professionnelle)
Google (pour faire des recherches rapidement)
Google Maps (pour localiser les entreprises et s’assurer qu’elles soient accessibles en transport ou en voiture et évaluer si vous vous y projeter)
Linkedin – page principale (essentiel pour rester au courant de ce qui se passe dans votre réseau)
– Profil Linkedin (votre page à vous! On vous demande très souvent le lien vers votre profil quand vous renseignez des formulaires de candidature, alors gagnons du temps en l’ayant sous la main: un petit copier-coller et le tour est joué!)
Wordreference (pour recherche du vocabulaire manquant dans une langue, je n’aime pas trop Google Traduction, je préfère regarder un dictionnaire en ligne complet comme Word Reference)
Time and date (pour planifier vos entretiens à l’international et ne pas se retrouver en entretien à 23h – oui, j’ai dû le faire, la Californie, c’est loin de la France…)
Indeed (ou tout autre job board de votre choix)
Yahoo! Finance (pour vous assurer de la santé financière de votre potentiel employeur, c’est une mine d’informations: l’entreprise est-elle en croissance, en restructuration, om en est le cours de Bourse, tout çà a un impact dans votre recherche)
Layoffs.fyi (un peu spécifique à la Tech et aux RH, mais vous pouvez vérifier si votre potentiel employeur ne vient pas d’annoncer des suppressions de postes, c’est suffisamment douloureux quand ça arrive une fois, alors deux…)

Une fois que les favoris sont accessibles juste sous la barre de recherche, on peut les « gérer » et améliorer leur aspect: raccourcir leur nom, ne laisser que le logo… Choisissez l’option qui vous convient le mieux. Vous pouvez aussi customiser votre page d’accueil Chrome et y ouvrir plusieurs onglets à l’ouverture. Une petite formation sur Chrome peut être un bon investissement en temps.

Et vous, avez-vous des sites favoris essentiels à votre recherche d’emploi?

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Ma stratégie de recherche d’emploi: 5 astuces utiles

N’étant pas (hélas) novice en la matière, j’ai quelques astuces à partager pour être efficace dans une recherche d’emploi (plutôt job tertiaire et qualifié). Peut-être que quelques-uns de mes lecteurs découvriront des choses qui peuvent les aider dans cette phase délicate, si jamais ils se retrouvent dans cette situation.

Le bonus d’avoir cette « persona » à part est que les mots de passe sont enregistrés dans le même espace. Il est impératif d’avoir des mots de passe différents pour chaque site: activez, a minima, le gestionnaire de mots de passe de Google.

Astronaut Shane Kimbrough at Arlington Career Center (NHQ201709120117) by NASA HQ PHOTO is licensed under CC-BY-NC-ND 2.0

2- Soigner sa « persona » en ligne – Devenir un pro de LinkedIn
Maintenant que vous êtes doté de votre adresse mail hyper pro, vous pouvez construire votre image professionnelle en ligne. Si vous n’avez pas de profil LinkedIn à jour, vous n’existez pas! Tous les recruteurs vont vous rechercher sur ce réseau social. C’est LE réseau incontournable.

  • Renseignez de façon exhaustive toutes vos expériences, stages, formation etc. Ce n’est pas un CV, vous n’êtes pas contraint par une mise en page ou un nombre de caractère.
  • Connectez-vous avec toutes les personnes que vous connaissez.
  • Likez et commentez les publications pertinentes dans votre domaine, n’écrivez rien que vous ne soyez pas à l’aise de dire en face à face (on n’est pas sur Twitter, il n’y a pas d’anonymat) – ne laissez que des commentaires positifs, sinon abstenez-vous.
  • Connectez-vous régulièrement: votre profil sera poussé par l’algorithme si vous êtes actif – sinon vous finirez dans les limbes…
  • Protégez votre vie privée: pas de commentaires sur des sujets politiques ou religieux, ne laissez pas votre numéro de téléphone ni votre date de naissance, prémunissez-vous au maximum des risques d’usurpation d’identité et de harcèlement.
  • Faites une photo professionnelle : pas dans votre jardin ni à la salle de sport / ne montrez pas de peau ni de tatouage (oui, je sais, je suis conservatrice sur ce point), soyez avenant et professionnel. Pas une photo d’il y a 10 ans, on n’est pas sur Tinder ni Meetic!
  • Suivez les entreprises que vous ciblez ou mieux, indiquez leur que vous êtes très intéressés pour les rejoindre (cliquez sur l’entreprise, puis à propos, puis « Aimeriez-vous travailler avec nous à l’avenir ? » – c’est limité à 50 entreprises, mais cela vous permet de ressortir dans le flot des CV.)
  • Intégrez les groupes pertinents selon votre métier ou secteur, ou même les groupes d’anciens salariés et d’anciens élèves. Inscrivez-vous à leurs newsletters et mises à jour.
  • Répondez à toutes les personnes qui vous contactent, avec respect, même si leur demande n’est pas pertinente. Votre image de marque en dépend.
  • Soyez néanmoins prudents avec les potentiels escrocs: il y a des risques d’extorsion, de chantage, de fausses offres d’emploi, de harcèlement… Signalez à LinkedIn tout profil suspect et bloquer au besoin.
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3- Avoir un CV efficace et impactant (pas joli, on s’en fout)
Même si LinkedIn est incontournable, le CV est encore un outil absolument indispensable. Il vous sera systématiquement demandé pour candidater.
Il y a une foultitude de ressources en ligne pour en faire un: Google est votre ami. Une fois que vous avez votre premier jet, regardez mes tips ci-dessous:
– Pas d’adresse postale complète, votre ville suffit
– Indiquez votre numéro de téléphone et adresse e-mail dédiée
– Pas de date de naissance, ni d’âge, ni de situation maritale (à moins que vous refusiez des déplacements ou souhaitiez un temps partiel)
– Pas de photo
– Pas de mise en page fantaisiste ni colorée: les ATS détestent!
– Pas plus de 2 pages (1 page si moins de 5 ans d’expérience, 2 au-delà) – Ne détaillez que les 5-7 dernières années, le reste est trop anciens et obsolète.
– Décrivez vos expériences selon le modèle: scope, missions, résultats, en utilisant le jargon et les mots-clés de votre métier et secteur d’activité
– Plus c’est simple, mieux c’est: une seule police de caractère, une seule couleur

4- Faire un suivi de vos candidatures
Vous avez votre profil Linkedin aux petits oignons, votre CV est en place, maintenant il faut postuler!
Il y a 2 stratégies:
être actif: trouver des annonces et postuler
être passif: laisser votre CV dans des CVthèques et attendre qu’on vous contacte
A mon sens, il faut faire les 2.
Postuler sur les sites carrières des entreprises vous permet de savoir où en est votre candidature et aussi de vous inscrire aux alertes sur les futurs jobs ouverts dans cette entreprise.
Pour moi, votre stratégie dépend de votre situation (à l’écoute du marché ou en recherche d’emploi) et de votre secteur d’activité (la banque et le luxe n’ont pas les mêmes pratiques, ne parlons pas de la Tech!), à vous de juger ce qui est le plus efficace. Il y a des job boards spécialisés qui peuvent vous être utiles (apec, cadremploi, fashionjob, lesjeudis, meteojob etc) ou des agrégateurs comme indeed. Laissez votre CV en ligne peut être utile, mais ce sont surtout les offres qui sont importantes.

Je vous recommande de suivre toutes vos actions de candidatures et réseautage sur un tableur ou un outil de suivi, par exemple dans Notion.

5- Avoir une cohérence dans sa communication
Tout au long de votre recherche, vous jouez un rôle et il est important d’être cohérent sur tous vos canaux de communication: Linkedin, job boards, gmail etc.
Quelque chose de simple à mettre en place: créer une signature « recherche d’emploi » dans Gmail avec un lien vers votre Linkedin et vos coordonnées téléphoniques.
Autre tip: tenir un agenda Google avec vos entretiens, rappels, to do list et autres événements professionnels.

Et vous, auriez-vous des tips pour accélérer votre recherche d’emploi?

Carrière

Des nouvelles du front de l’emploi

Bon, clairement, c’est pas la joie… C’est dur, ça patine, ça cale…

J’ai plutôt des bonnes pistes, mais je viens de vivre une grosse déception. J’ai passé 2 mois et demi à faire des entretiens et panels pour une entreprise qui ne m’a pas retenue. Cela s’est joué entre une autre personne et moi. Et ce n’est pas moi qui ai été sélectionnée. C’est assez dur d’échouer en finale, mais c’est la vie. J’ai décidé qu’un rejet était une redirection. J’étais tellement convaincue que j’aurais une offre que je m’y voyais déjà et que j’ai arrêté les candidatures pendant 2 semaines. Leçon retenue: tant que pas d’offre, on continue la lutte!

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Plus le temps passe et plus je m’agace des pratiques des entreprises en matière de recrutement. Qui pourrait leur dire qu’une lettre de motivation, c’est has been? Qui veut passer plus de 15 minutes pour postuler, alors que le recruteur n’accordera pas plus de 30 secondes à l’examen d’un CV? Pourquoi il n’y a JAMAIS le salaire dans une offre d’emploi?

Je ne peux plus me voir la plateforme Workday côté candidat: il faut tout remettre en forme car cela ne ressemble à rien, même quand les données ont été aspirées sur LinkedIn. Il y a clairement mieux sur le marché: Greenhouse, par exemple, qui permet de mettre des questions après avoir uploadé le CV.

Qu’on me pose des questions sur quand je suis disponible, mes attentes en termes de salaires et si je suis mobile, qu’on valide les points négociables du poste (maîtrise d’une langue, expérience dans le domaine, niveau d’expérience, prise en charge de certains projets…) OUI, je dis OUI. Les deux parties gagnent du temps. Mais qu’on me demande de décrire la trajectoire d’une entreprise en hypercroissance ou pourquoi j’ai postulé, mais quel intérêt? C’est une approche petit niveau qui ne donne pas envie aux candidats de postuler. Et qui ne donne pas envie au consommateur/client d’acheter.

Bref, je galère. C’est une mauvaise passe et je vais rebondir, j’en suis sûre!

Bilans, Garde-robe, Minimalisme, Smart Shopping

Bilan des ventes et dons 2023

10 ans de minimalisme au compteur et pourtant, je n’en finis pas de trier, désencombrer, vider, jeter, recycler… Car, bien sûr, je suis humaine et consumériste, donc je re-remplis après avoir vidé!

Pourtant, au global, j’ai nettement moins d’affaires qu’avant (finis les 400 vêtements, 40 sacs, 250 CDs, d’innombrables livres etc…) et je fais mon shopping de la façon la plus consciente possible. Néanmoins, je craque parfois. Et du coup, je me sépare du « surplus ». A ce jour, j’ai encore plus de 100 annonces actives sur mes sites préférés.

Par rapport à l’année dernière, j’ai nettement moins donné, car les choses dont je me suis séparée étaient en meilleur état, donc j’ai plus eu tendance à les vendre.

Sans plus attendre, voilà les chiffres, en reprenant les catégories de 2022:
– Cashback
– Ventes et Dons
– Bons Plans Conso

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1 – Les cashbacks:
En tout, j’ai encaissé 289,66€ (contre 320€ en 2022), glanés sur différents sites:

Ebuyclub (parrainage ici)18,62€
Igraal (parrainage ici) même site que CouponNetwork ou igraalMarket104,33€
Poulpeo (parrainage ici)20,25€
Shopmium (parrainage ici code Parrain 64RI7Q)5,90€
Sogec (opérateur pour Fidall, Quoty)37,70€
Widilo (parrainage ici)102,86€
Bilans des cashbacks 2023

On peut voir que j’ai découvert deux nouveaux sites: Widilo et Poulpeo et qu’ils ont agréablement complété les sites déjà existants. J’ai ainsi pas mal utilisé les réductions sur bons d’achat, fidèle à mes préceptes de SmartShopping.

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2- Les ventes et dons: 2 514,87€ en tout pour les ventes
J’ai utilisé les sites bien connus:
Vinted: 64 articles vendus pour un total de 780,30€ (574€ en 2022)
Rakuten (parrainage ici): 17 articles pour un total de 1181,32€ (819,5€ en 2022)
le Bon Coin: 54 articles pour un montant de 553,2€ (320€ en 2022)

A noter que je n’ai pas utilisé Ebay ni Facebook MarketPlace ni Geev en 2023. On peut noter la montée en puissance du Bon Coin, qui propose désormais des systèmes de livraison intégrée (et a fait des promos sur les frais de livraison Mondial Relay, ce qui a boosté mes ventes) et surtout, des évaluations! Maintenant, j’ai 21 étoiles sur Le Bon Coin, donc c’est plus facile de vendre.

J’ai aussi utilisé le Bon Coin pour donner des choses en état moyen, qui ont pu faire la joie d’autres personnes, ainsi que des boîtes à livre, recyclage textile et autre collecte alimentaire de l’Armée du Salut. Je n’ai pas forcément fait un suivi exhaustrif des dons.

Bref, je peux conclure que ce fut une année faste… Et j’ai déjà vendu 2 articles sur Rakuten et 5 sur le Bon Coin en 2024!

3- Les Bons Plans Conso: 1331,51€ d’avantages en tout

J’ai optimisé les sites de cashback qui proposent souvent des bons de réduction et finalement, c’est plus rapide et simple d’imprimer un bon de réduction que de demander des remboursements a fortiori.

Les cartes de fidélité des magasins tels que Carrefour, Auchan et Leclerc ont aussi apporté leur lot de bénéfices immédiats entre les remises et le cagnottage.

Bon d’achat108,00 €
Bon de réduction85,50 €
Code réduction248,23 €
Décagnottage243,38 €
Early booking151,00 €
Point fidélité dépensés126,80 €
Réduction sur bons d’achat152,94 €
Remise immédiate215,66 €
Total général1 331,51 €
Les bons plans Shopping de 2023

Bilan des revenus accessoires de 2023: 4136,04€
Soit pas très loin d’un mois de salaire. Évidemment, ce résultat est à modérer car les objets vendus ont été achetés plus chers qu’ils n’ont été vendus, il ne s’agit donc pas d’un gain net. J’utilise toutes les astuces possibles, mais clairement, j’ai eu ces résultats car j’ai dépensé de l’argent avant. Il n’y a pas de cashback ou de remboursement possible dans dépense préalable. Je suis néanmoins contente d’exploiter le plus possible les systèmes d’économie à ma disposition.

Et vous, avez-vous fait de bonnes affaires en 2023?

Carrière, Solo living

Le point sur ma vie professionnelle, début 2024

Voilà plus de 2 mois que j’ai été impactée par un licenciement économique – était-ce un mal pour un bien? Encore trop tôt pour le dire… Je n’ai pas manqué d’entretiens pour des postes plus ou moins intéressants, mais le marché pour mon métier et mon niveau d’expérience est vraiment déprimant. Très peu d’offres m’inspirent suffisamment pour que je postule et les contacts passifs (situation de chasse) sont à 99% hors de ma cible.

Quand je vois la longueur des processus de recrutement (au minimum 4 entretiens, étalés sur 2 mois…) et la liste des compétences et expériences exigées pour des salaires (si rarement affichés) vraiment pas folichons, je ne peux que soupirer. N’y a-t-il aucune entreprise souhaitant traiter décemment ses candidats et potentiels salariés? Payer en dessous du prix du marché et s’attendre à avoir de la main d’oeuvre compétente, motivée, taillable et corvéable à merci, vous y croyez vraiment? Revenez sur les basiques… Vous risquez les erreurs de casting et l’incompétence coûte très cher! Très clairement, si je prends un job et que j’estime n’être pas payée à mon juste prix, je me barrerais à la première occasion.

Mon constat (sachant que j’ai 20 ans d’expérience en Ressources Humaines) n’a guère changé depuis mes précédentes recherches d’emploi, si ce n’est que le ghosting s’est généralisé et il faut toujours éviter les cabinets de recrutement. Et maintenant que les réseaux sociaux permettent à tout un chacun de s’exprimer, je vois fleurir des dénonciations de mauvaises pratiques, voire même du « name and shame ». Perso, ça me va bien. Pour moi, il est essentiel de faire son métier avec éthique et transparence.

Mon feedback personnel, si jamais un cabinet de recrutement passe par ici, sait-on jamais:

  • Publier une annonce pour un poste juste à côté de la même offre mais en direct par l’entreprise: A QUOI ÇA SERT? On n’est pas des jambons, ça se voit. C’est parfois même du copier-coller au mot près. Juste au lieu de mettre « Tiktok » vous mettez « réseau social bien connu ». Pourquoi un candidat préférerait envoyer son CV à un intermédiaire plus qu’à l’employeur final en direct?
  • Harceler un candidat (message vocal + message LinkedIn + message e-mail) pour finalement ne jamais le recontacter quand, par politesse, il vous rappelle: A QUOI ÇA SERT? Vous savez que les gens ont la mémoire des mauvaises expériences. Il y a 2 cabinets qui me contactent régulièrement et la prochaine fois, je ne les ghosterai pas, je leur expliquerai pourquoi je ne travaillerai jamais avec eux, comme candidate ou DRH. Je ne comprendrai jamais qu’un cabinet se mette à dos des potentiels clients en les traitant comme de la merde comme candidats.
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  • Les ATS (Applicant Tracking System) sont des plaies pour les candidats les plus expérimentés. Déjà, ils demandent très souvent de rentrer les infos déjà présentes sur le CV et quand c’est automatisé, cela ne ressemble à rien… Il faut tout reformater et quand on a 20 ans d’expérience, c’est long… et je m’aperçois que ça ne sert pas à grand chose. J’ai déjà 2 exemples où les ATS ont rejeté mon CV très vite et où l’entreprise m’ont « chassée» sur LinkedIn. Donc ma candidature était, au final, pertinente… Y a quelque chose qui cloche, non? Je crois que je vais envoyer mon CV en direct au hiring manager si je parviens à l’identifier.
  • L’absence de fourchette de rémunération, on en parle? Déjà, je constate que les entreprises mentionnent de plus en plus les avantages sociaux (mon petit coeur de comp&ben est en joie), même si c’est le minimum légal, mais trop rarement le salaire. Résultat: on postule un peu dans le vide et les recruteurs qui nous appellent sont déçus car ils n’ont pas le budget pour nous. Ce sera bientôt illégal de ne pas mentionner de salaire sur les offres d’emploi, merci la Directive Européenne sur la Transparence des Salaires…
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  • Que dire des questions qui concluent souvent les formulaires de candidature? Je suis à fond pour les questions qui valident des points-clé comme les prétentions salariales, la disponibilité, l’éventuelle présence d’une clause de non-concurrence, la vérification d’une certification/qualification essentielle au poste, la maîtrise d’une langue… Mais je vois de plus en plus des questions à l’écrit que j’aurais posé en entretien avec la nécessité d’y répondre sinon le CV n’est pas envoyé! Déjà que personne ne lit les lettres de motivation, je me demande bien qui prend le temps de lire les réponses de tous les candidats. Si le questionnaire vient compléter une pré-sélection, pourquoi pas, mais avec l’envoi de la candidature initiale, c’est une vraie perte de temps pour le candidat et juste l’affirmation par le potentiel employeur que son temps à lui est plus précieux que le vôtre. J’ai joué le jeu pour le moment, mais sans aucun résultat et je pense que ça va devenir un red flag. Si l’entreprise veut des réponses à ses questions, qu’elle m’invite en entretien pour en discuter de vive voix!
  • Certaines entreprises réclament les résultats scolaires des candidats et vraiment, cela n’a pas de sens de me demander mes notes au bac, que j’ai passé au siècle dernier. Honnêtement, cela me donne une mauvaise image de l’entreprise qui cherche à recruter. J’ai eu à peine 10 en anglais au bac et cela ne m’empêche pas de le parler couramment aujourd’hui. Bref, un non-sens.
  • Message spécial pour les startups: NON AU CULTE DE LA PERSONNALITE DES FOUNDERS. Je vois de plus en plus le pedigree des personnes avec qui on pourrait travailler (leurs diplômes et expériences). On s’en fout qu’ils sortent de Polytechnique ou de HEC, ce n’est pas le flex que vous pensez. On travaille avec des gens, pas des CV. Vous devriez essayer, c’est comme çà que les entreprises fonctionnent, généralement. Dans mon cas personnel, j’ai un peu trop d’expérience pour être impressionnée par ces informations. J’ai croisé des Centraliens un peu concons et des BTS impressionnants. Vraiment, continuer à mettre en avant votre formation d’il y a 10 ans, est-ce pertinent? J’espère que vous avez évolué depuis.
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Je reste campée sur mes principes:

  • Je ne me déplace/connecte pas en entretien sans validation du salaire et du descriptif de poste. Mon temps et mon énergie sont précieux.
  • Je ne travaille pas gratuitement: NON je ne préparerais pas un cas pratique ni ne passerais pas une demi-journée dans votre entreprise sans être rémunérée. Toute peine mérite salaire. Un processus de recrutement ne devrait pas ressembler à une course d’obstacles et épuiser le candidat. On est à Koh Lanta, ou bien ?
  • Je ne cours pas après les cabinets de recrutement: si vous ne faites pas votre job sérieusement, vous serez blacklistés et c’est tout. Pas de temps à perdre avec des guignols.
  • Je n’accepte pas le manque de respect. Le red flag en tant que candidat est 10 fois pire en tant que salarié.
  • Je ne fais pas de lettre de motivation: ma motivation est d’avoir un salaire avec des bonnes conditions de travail et des avantages sociaux sympas, avec si possible des collègues cools.
  • Je privilégie le réseau: quand on connaît quelqu’un, il y a de la vraie information et aussi un soutien en interne qui fait la différence. Je n’ai pas encore activé ce levier à fond, mais c’est bien mon intention si rien n’a avancé sérieusement avant fin février.

Conclusion: j’ai 2 pistes sérieuses, avant la rentrée de lundi 8 janvier 2024: une à Dublin et une à Paris.

Et vous, avez-vous des red flags pour votre recherche d’emploi?

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Bilan de 2023 – Intentions 2024

J’ai conclu 2023 sur une note bien différente de 2022, même si je reviens aussi des Antilles. Après la Martinique en 2022, j’ai cette fois opté pour la Guadeloupe pour le break des fêtes en 2023. Même si je suis en recherche d’emploi, ce n’est pas une raison pour me priver de vacances prévues et payées des mois auparavant. Les recruteurs aussi sont OFF. A quoi ça sert de rester à déprimer en région parisienne alors qu’on peut aller au soleil? Bref, je n’ai pas envisagé une seule seconde d’annuler mes vacances, je les ai bien méritées, avec tous ces changements subis. J’avais plus que besoin de me changer les idées et de restaurer un peu de confiance en moi.

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L’année 2022 avait été marquée par des pépins de santé et des problèmes familiaux. Côté santé, j’ai poursuivi en 2023 avec une tendinite à l’épaule droite qui ne passe pas, malgré toute la kiné possible… Mais j’en viendrai à bout! Côté famille, je dois dire que ça s’est calmé. Etat stationnaire, ni mieux ni moins bien. Pour résumer: ils ne m’ont pas casser les gonades.

J’avais plus ou moins un projet de formation en Coaching, mais finalement rien de tout çà. Je commence, en janvier 2024, une formation en Compliance, en espérant que cela m’ouvre de nouvelles portes et que je puisse créer un skillset très recherché et rémunérateur. J’ai encore 6/7 ans à tirer dans Corporate America, il faut que ça paye! Et ensuite, je compte travailler à mi-temps et profiter davantage de la vie.

Tout comme en 2022, j’ai ce manque d’amour croissant envers la région parisienne; elle est certes riche d’opportunités professionnelles, mais le climat et la foule me rebutent de plus en plus. Jusqu’à quand vais-je tenir? La vie est si courte. La Coupe du Monde de Rugby avait su me captiver, j’en attends de même des Jeux Olympiques, même si les hordes de visiteurs vont rendre l’espace invivable.

Mes intentions pour 2023 étaient les suivantes: Prendre soin de moi, de mes amitiés, de ma famille proche, mettre de l’argent de côté et investir pour le long terme. Pour 2024, je les reprends et je me dois d’y ajouter: trouver un job. Quant à mon projet de revenir à Dublin, j’y songe avec beaucoup de sérieux, mais j’ai vraiment besoin d’un job solide pour l’envisager avec sérénité, et le marché de l’emploi est plus que morose dans la Tech.

Et vous, quelles sont vos intentions pour 2024?

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Désencombrer, et après?

Puisque j’ai du temps devant moi, pas à mon initiative, j’en profite pour faire le vide dans mes possessions et aussi écrire sur ce blog, une fois n’est pas coutume. L’objectif est de m’alléger au possible dans l’optique de retourner vivre à Dublin. J’ai l’impression de ne jamais en finir, mais clairement, je pense aussi que ma tolérance à l’accumulation (peut-on dire maximalisme?) a changé. Mon point d’équilibre a diminué.

Je me rappelle d’un temps où j’avais besoin de plusieurs armoires et commodes pour stocker mes vêtements, sacs et accessoires… Maintenant que j’ai lu les ouvrages de Dominique Loreau et de Marie Kondo, et que Tiktok regorge de vidéos de désencombrement, je ne vois pas l’intérêt d’accumuler tout ce foutoir. Je n’hésite pas à retourner un achat qui ne me conviendrait pas ni à vendre/donner/jeter le superflu. Je limite le nombre d’articles par catégorie de garde-robe à 8 maximum. J’ai par exemple 8 gros pulls pour l’hiver, et c’est largement suffisant. Il suffit de faire de la lessive régulièrement. Je n’achète pas de meubles de rangement en plus, je fais en sorte que ce que je détiens tienne dans mes placards existants.

Si cela ne me sert pas et que je ne l’aime pas, ça dégage! Et je m’accorde des points bonus si les objets font partie de mon fantasy self!

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Et que se passe-t-il quand on s’est séparé de ces objets superflus, qu’on a passé beaucoup de temps à photographier, mesurer, lister, livrer etc? Honnêtement: PAS GRAND CHOSE. Est-ce que j’ai déjà regretté de m’être séparée de certaines choses? OUI, évidemment, car je ne suis pas parfaite et parfois je ne prends pas les bonnes décisions. Mais quand je regarde la liste des objets vendus/donnés les années précédentes, je me souviens à peine de l’objet en question. Loin des yeux, loin du coeur résonne pour les gens autant que pour les objets. Parfois je me remémore même des expériences négatives, comme un vêtement trop petit, pas pratique, un sac qui sciait mon épaule etc. Bon débarras!

Le seul objet que j’ai vraiment cherché, car je croyais l’avoir encore était un ciseau pour les cheveux. En fait, il avait fait partie d’un carton de donation à Emmaus 4 ans auparavant. Et je n’en ai pas racheté un finalement, vu le peu d’utilité que j’en avais et que j’en aurais. Je vais chez le coiffeur 2 fois par an.

Quels sont les critères qui font d’un objet un « indispensable »? Très vaste question. J’ai réduit ma bibliothèque à une trentaine de livres, que je revends dès qu’ils ont été lus, et certains hurlent au sacrilège de ne pas garder ses lectures… Quand on envisage, comme moi, un déménagement, à l’étranger, sur une île, chaque kilo transporté coûte cher, alors je m’en fous d’impressionner qui que ce soit parce que j’ai lu des livres de Bourdieu. On s’en fout, c’est mon portemonnaie qui est impacté par cette décision.

Puisque le « déchet » de l’un est le trésor de l’autre, vous pouvez m’aider à désencombrer en regardant les objets en vente dans mes boutiques en ligne:
Vinted: vêtements et sacs
Rakuten: livres et matériel électronique
Le Bon Coin pour tout le reste

Et vous, que faites-vous du superflu?

Carrière, Journal, Solo living

La tuile… ou la chance de ma vie?

Il y a quelques jours, et alors que je m’y attendais un peu, on m’a annoncé que mon poste était supprimé et que, compte tenu de la taille de l’entreprise, aucun reclassement ne sera disponible. En termes de droit du travail français (je rappelle que je suis DRH de métier), ça s’appelle un licenciement économique. Je pensais que j’aurais droit à une rupture conventionnelle mais j’ai droit à la totale! Je ne l’ai pas vu venir car je me tournais les pouces (100 salariés, çà occupe) mais parce qu’on m’empêchait de faire mon métier correctement. Aucun projet sur lesquels je travaillais n’était en haut de la liste des priorités. De plus, le Groupe pour lequel je travaille vient de faire une acquisition, et on cherche toujours des économies et du cash dans ces cas-là. Et c’est tombé sur moi (et 2 autres de mes collègues).

Est-ce une erreur de supprimer mon poste? Très certainement. Est-ce que je vais me battre pour le récupérer? Honnêtement, non. À quoi bon? Ils ne méritent pas mon énergie. Je veux juste un gros chèque, à la hauteur du préjudice subi. Car mes projets personnels sont tous remis en question: mes vacances à Noël ? Déménager à Dublin en 2025? Comment se projeter quand on ne sait pas ce qu’on va faire dans 2 semaines…

Photo de Sami Aksu sur Pexels.com

Mais, dans cette adversité, je reste plutôt positive. Au final, est-ce une catastrophe qu’on me paye à rien faire jusqu’en février 2024? Et en plus, après, j’aurai droit au chômage. J’aurai droit aussi à une indemnité nette de charges sociales et d’impôts sur le revenu. De quoi investir dans mon futur.

Ce n’est pas la première fois de ma vie que je fais une pause forcée dans mon ascension professionnelle, et sans doute pas la dernière. Donc, je ne me suis pas effondrée à l’annonce de cette décision venant d’en haut et contre laquelle je ne peux rien: le soir même, j’ai regardé les offres disponibles sur LinkedIn et j’ai envoyé une dizaine de candidatures. Au final, on m’a recontactée assez vite et j’ai 3 pistes sérieuses, dont une à Dublin. Je suis dans les entretiens, mais j’ai le temps de réfléchir à ce que j’ai vraiment envie de faire et rester en France me fait de moins en moins envie. Je pense constamment à revenir à Dublin, et clairement, je manifeste une opportunité là-bas, ou une opportunité me permettant d’y retourner à moyen terme. Je me retrouve dans une situation plutôt confortable, avec la protection du droit social français et le fait d’être disponible rapidement pour un super job! Pour l’instant, je n’imagine pas une seule seconde devoir faire un effort sur mon salaire ou mon niveau de poste, je suis au pic de ma carrière et de mon employabilité!

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Cette pause me permet de me consacrer à quelques activités reportées car je n’avais pas le temps. Maintenant, je l’ai, car je ne suis pas à plein temps sur ma recherche d’emploi. Je fais 3 séances de kiné au lieu de 2 par semaine. J’ai maintenu mon weekend à Rome en novembre et planifié un petit tour à Dublin, ville de mon coeur que j’espère retrouver à plein temps très vite. J’ai refait le tour de mes placards pour les vider de choses que je n’emporterai pas avec moi. C’est plutôt pratique de savoir ce qu’il convient d’emmener ou pas et je capitalise sur mon expérience passée. Néanmoins je m’agace de tout le bazar que j’ai laissé s’accumuler depuis que je suis rentrée en France et que j’ai dû repartir de zéro et m’acheter des petites cuillères… Des fois, je me dis que je suis une minimaliste en carton… Bref, je vide sur Le Bon Coin, Vinted et Rakuten et le barda trouve peu à peu preneur. Je ne suis pas pressée, n’ayant pas encore de visibilité sur la date de mon départ. J’ai juste cette certitude de vouloir repartir et c’est ce qui me meut.

Et vous, avez-vous déjà connu une situation pareille?

A la maison, Cosmétiques, Garde-robe, Journal, Minimalisme, Solo living

Il est revenu le temps des inventaires!

Déjà plus de 10 ans que je baigne dans le minimalisme, que j’ai finalement découvert en lisant un livre de Dominique Loreau: l’Art de l’essentiel. Une lecture assez fondamentale qui en a amené d’autres. Pour autant, tous les livres de cette même autrice ne sont pas intéressants. Elle a quand même plutôt répété les mêmes choses dans ses livres suivants (forme ultime du minimalisme: recycler ses idées ad nauseam).

Depuis tout ce temps, ainsi que je l’ai documenté sur ce blog, j’ai désencombré, vendu, racheté, re-minimisé, trié etc… J’ai l’impression que cette quête de l’essentiel n’en finit jamais. Les envies et les besoins fluctuent et je n’ai pas encore atteint mon nivau d’équilibre. Je sens que j’ai encore un peu de travail. Puisque j’ai restreint mon temps quotidien sur Tiktok et sur Instagram, j’en ai plus pour m’occuper de ce type de projets.

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Ayant fait d’autres bilans dans mon existence (dans ma carrière, par exemple, ou encore dans ma santé), j’en reviens à mes chers placards! Pour la cuisine, je suis en très bonne voie. Que ce soit au niveau du matériel de cuisine ou du fond de placard, je connais ma stratégie et mes objectifs.

Pour ma garde-robe, je crois que j’ai un peu débordé récemment, même si je continue assidument mes ventes sur Vinted pour m’assurer de ne pas être submergée de fringues. Je reprends donc la rédaction d’un inventaire, comme j’ai pu le faire il y a plusieurs années. L’objectif est naturellement d’être sous les 100 vêtements et sacs (sous-vêtements et vêtements de sport exclus). Il n’est pas impossible que je partage ma collection de sacs, une fois n’est pas coutume.

Côté cosmétiques, j’ai trop de choses qui traînent un peu partout: dans ma salle de bain, bien sûr, dans des tiroirs de ma chambre, dans mon sac à main…

C’est donc mon challenge de l’automne 2023:
– faire l’inventaire de ce que j’ai déjà
– identifier les éléments essentiels
– éliminer les éléments non-essentiels
– maintenir le tout!

Et vous, avez-vous des projets à finaliser chez vous cette saison?

A la maison, Smart Shopping, Solo living

Elodie les bons tuyaux

Quand on vit seul, on ne peux compter que sur soi. Non seulement on paye ses frais de vie plein pot, mais en plus, quand on est solo, on paye plus d’impôts. Certes, je gagne correctement ma vie, mais pour autant, je n’ai pas envie de gaspiller l’argent que je gagne toute seule comme une grande, grâce à mon travail et mes efforts pour en arriver là où j’en suis.

Suite à mon article 10 astuces à 0€, je vous présente d’autres astuces pour optimiser son budget, tout en reprenant mes 5 commandements du Smart Shopping.

Désolée, ici, on ne parle pas crypto-monnaies ni NFT. Chacun son créneau…

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Si je reprends mes commandements, dans l’ordre:

1- N’acheter que ce dont on a besoin
Concrètement, on fait des listes, on regarde ce qu’on a déjà dans les placards. On ne surconsomme pas!

2- Regarder les prix au kilo/pièce et privilégier les marques de distributeur
Perso, je m’en fous de manger un yaourt Danone ou Carrefour. Les marques de distributeur sont fabriquées dans les mêmes usines avec très souvent exactement les mêmes ingrédients. Elles sont généralement 20 à 30% moins chères alors je n’hésite pas.

3- Vérifier les coupons de réduction, offres de remboursement et cashback pour les produits que l’on consomme régulièrement et avant tout gros achat
Je suis une maniaque des sites de cashback, j’ai installé les extensions de plusieurs sites dans mon navigateur Google Chrome, et je les recommande chaudement:
igraal/Coupon Network: permet de cagnotter du cashback en magasin ou en ligne et d’imprimer des bons de réductions
EbuyClub: cashback en ligne + bon d’achat à prix réduit (c’est toujours intéressant de grapiller 4% par tranche de 100€)
Widilo: cashback en ligne, souvent le plus généreux de tous
Poulpeo (code IDDzab): cashback, avec pas mal de code de réductions etc
Si vous cliquez sur un des liens de parrainage ci-dessus, je peux percevoir un petit avantage. De votre côté, il y a aussi un bonus de bienvenue. Ces sites opérent en France.

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4- Utiliser un comparateur de prix (par exemple Achat Moins Cher)
C’est fou comme les distributeurs négocient les prix chacun dans leur coin. Le même produit peut être vendu à un prix très différent, selon les politiques commerciales et les promotions. C’est pourquoi je compare toujours avant d’acheter, surtout pour les produits électroniques, électroménager, mais aussi les cosmétiques.

5- Avoir des cartes de fidélité des magasins que l’on fréquente régulièrement
Tous les mots de cette phrase sont importants. Pas besoin d’avoir la carte de fidélité d’une enseigne où on va une fois tous les 3 ans, car après, on est inondé de pubs… J’en ai personnellement eu très marre que Darty m’envoie des offres toutes les semaines après avoir acheté un frigo. Si tout va bien, je ne vais pas le renouveler avant au moins 5 ans, quand même!
Avoir une carte Carrefour, Auchan ou encore Ikea permet d’avoir tout de suite des avantages, en termes de réductions immédiates ou de cashback.
Certaines permettent de charger des bons de réduction et l’impact se voit tout de suite à la caisse!

Bon plan bonus, si vous êtes client de certains sites, vous pouvez acheter des bons d’achats à prix réduits ou avoir du cashback en direct. Mes exemples concrets:
Boursorama donne accès à une plateforme TheCorner, très intéressante (par exemple pour avoir des places pour des parcs d’attraction à prix cassé)
Club Ulys a aussi une plateforme de bons d’achat avec un discount intéressant (j’y trouve des codes de réduction pour l’UCPA par exemple)
Club R chez Rakuten : du cashback, des réductions sur plein de sites.

Et vous, avez-vous des bons tuyaux à partager?