A la maison, Smart Shopping

Le Smart Shopping, c’est quoi?

Ce n’est un secret pour personne (en France, en 2023), la vie coûte de plus en plus cher, alors que les salaires stagnent. Conséquence, pour maintenir son confort de vie, il est utile de réfléchir à ses dépenses et de les optimiser. J’ai déjà posté quelques unes de mes astuces et .

Même si je gagne bien ma vie aujourd’hui, je veux toujours être vigilante par rapport à mes dépenses, pour m’éviter des moments de fièvre acheteuse, notamment pour des vêtements et des cosmétiques. Parfois, j’ai besoin de la dopamine procurée par un achat « plaisir ».

Photo de Andrea Piacquadio sur Pexels.com

Le pouvoir d’achat est un sujet qui me préoccupe, étant seule à assumer toutes mes charges… J’ai besoin d’économiser le plus possible pour financer mes projets et solidifier mon épargne. Ayant l’expérience, la vie en solo, mes errements, mes erreurs, j’ai élaboré mes 5 grands principes afin de mieux dépenser et surtout ne pas gaspiller son argent…

Les 5 commandements du Smart Shopping:
– n’acheter que ce dont on a besoin
– regarder les prix au kilo/pièce et privilégier les marques de distributeur
– vérifier les coupons de réduction, offres de remboursement et cashback pour les produits que l’on consomme régulièrement et avant tout gros achat
– utiliser un comparateur de prix (par exemple Achat Moins Cher)
– avoir des cartes de fidélité des magasins que l’on fréquente régulièrement

Et vous, avez-vous des astuces pour faire des économies?

A la maison, Alimentation, Bilans, Smart Shopping, Solo living

Bilan du mois de mars 2023

Le défi du mois était de vider mes placards et mon congélateur et de n’acheter que des produits frais pendant le mois de mars. Mes constats à l’heure de faire le bilan?

Constat N°1: mes placards se sont un peu vidés mais il y a encore de la marge.
J’ai encore beaucoup de stock. Je pense que je suis prête pour poursuivre le même défi en avril, voire en mai. Avoir un foyer d’une personne et 2 chats ne nécessite pas des stocks gargantuesques de nourriture. Je le soupçonnais déjà, mais clairement, j’ai trop de choses dans mes placards de cuisine, à tel point que des aliments secs se sont retrouvés périmés alors que j’avais l’impression de les avoir achetés récemment.
Je crois que je vais devoir établir une liste et m’y tenir.

Constat N°2: je suis gourmande.
J’ai évidemment acheté des fruits et des légumes pendant ce mois, mais j’ai aussi été tentée d’acheter des douceurs; chips, boissons pétillantes, bonbons… Ce fut dur de résister. Clairement ces aliments-là ne restent pas longtemps dans le stock. Gras, salé, sucré, le combo irrésistible! Surtout devant un match de rugby en plein pendant le Tournoi des 6 Nations.

Constat N°3: j’ai fait des économies.
Vu que j’ai consommé en priorité le contenu de mes placards, j’ai très peu dépensé ce mois-ci. Mes courses de supermarché ont été règlées avec ma carte ticket-restau et mes cagnottes fidélité. Je finis le mois avec des sous sur mon compte, alors que généralement, je dépense tout.
Outre la nourriture, j’ai aussi modérément dépensé sur les postes habillement et accessoires et 0 pour les cosmétiques, ma petite faiblesse…

Et chez vous, quel est l’état des stocks? Etes-vous un minimaliste du garde-manger?

Alimentation, Défis

Mars: un mois végétal

Mes placards débordent de produits secs, mon congélateur est plein, je vais donc profiter de l’arrivée du printemps pour consommer mes denrées. L’hiver est fini, il est temps de vider les réserves et de se renouveler, comme la Nature le fait d’elle-même.

D’une part, avoir quantité de nourriture dans mes placards génère une certaine fatigue décisionnelle. Trop de choix tue le choix. J’ai parfois du mal à me rappeler ce que j’ai déjà dans mon fond de placard et je me retrouve à racheter quelque chose que j’ai déjà. Je n’ai pas besoin d’un litre de vinaigre de cidre d’avance, même si j’en consomme régulièrement! J’ai bien purgé mes placards des aliments qui ne sont pas bons pour moi (très transformés, riches en gluten etc), donc pas d’excuse: j’ai tout ce qu’il me faut!

D’autre part, j’ai déjà dépensé cet argent pour me nourrir. Vu que je suis particulièrement attentive à mon budget pour 2023, je ne veux pas gaspiller de la nourriture. Pas question de jeter des aliments car je ne les ai pas consommés dans les temps. J’attends donc une forte baisse de mes dépenses en supermarché. Peut-être m’offrirais-je un chouette spa avec les économies réalisées?

C’est pourquoi j’ai décidé comme défi du mois de mars 2023 de ne pas acheter de nourriture autre que du végétal frais donc, fruits, légumes et yaourts de soja – bref, des produits à durée de vie courte.

Et vous, avez-vous une bonne résolution printanière?

A la maison, Défis, Minimalisme, Smart Shopping, Solo living

Besoin de faire une pause « Shopping »

Car oui, j’ai atteint une limite! J’ai beau me laisser endormir par les pics de dopamine liés à des achats, j’en ai assez de dépenser…

Photo de Engin Akyurt sur Pexels.com

J’ai pas mal fait de shopping pendant les soldes d’hiver 2023 (soup maker, four micro-ondes, vêtements, électronique, etc…) la plupart du temps pour du remplacement, mais j’ai quand même atteint un certain niveau d’écoeurement et une sensation de « TROP« . Soit, je n’ai pas besoin de surveiller mon budget de façon trop serrée, même si j’ai fait l’évaluation de mon impôt sur le revenu et que j’ai failli laisser couler une petite larme… C’est le prix de vivre en France et de contribuer à l’effort national en étant célibataire, sans enfant, à gros revenus. Donc je ne me plaindrais pas.

Je me fixe donc quelques résolutions « no buy, low buy » pour l’année 2023, plus pour juguler ma consommation et tirer un certain contentement de ce que je possède déjà.

Photo de energepic.com sur Pexels.com

NO BUY: 0 achat

Cosmétiques: j’ai un stock énorme à passer, je doute que j’aurais besoin de faire le moindre achat! Je suis quasi sûre qu’on pourrait tenir tout 2024 aussi. Challenge!
Maquillage: j’en utilise de moins en moins, j’ai fait du tri et personne n’a besoin de 18 rouges à lèvres. Même de 12.
électronique: j’ai fait le plein de tout ce qui pouvait me manquer, notamment pour mes voyages: batterie externe, sacoche de rangement, câbles de chargement etc à moins que quelque chose ne tombe en panne et ne nécessite un remplacement immédiat et vital, je ne vois pas pourquoi je dépenserais des euros dans ce domaine-là.
Electroménager: idem que pour l’électronique
Articles de papeterie: j’en ai trop, je ne les utilise pas assez. Je suis sûre que je pourrais redécouvrir des pépites dans mes tiroirs. Pas besoin d’aller en magasin
Textile: j’ai de quoi couvrir mes besoins en linge de lit, serviettes, torchons etc.

Photo de Andrea Piacquadio sur Pexels.com

LOW BUY: Achats limités au maximum

Vêtements: j’ai fait mon tri annuel et identifié des vêtements à vendre et à donner
Livres: ma pile à lire est importante, mais je ne veux pas me limiter si jamais je tombe sur un livre
Décoration: je ne vois pas ce que je pourrais rajouter chez moi. J’ai enfin mes abat-jour au complet (8!) et il est grand temps que je les installe. Il me manque un poster 50 x 70 cm pour remplit un cadre que j’ai déjà, c’est pourquoi cette catégorie est en « Low buy ».

La fatigue décisionnelle est une réalité. Trop d’options tuent le plaisir de choisir. Alors se restreindre devient une hygiène de vie pour être plus satisfait de son existence.

Et vous, êtes-vous tenté de restreindre votre consommation dans le but d’être plus satisfait de votre vie?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Des mesures pour économiser en cette rentrée 2022

Je l’ai déjà écrit, je trouve que je vis confortablement. J’ai largement de quoi vivre, j’ai un toit sur la tête, une voiture, assez d’argent pour m’offrir des vacances et en mettre de côté. Dans le climat actuel, je mesure ma chance. Ce n’est pas pour autant que j’en perds le sens des réalités. La vie est de plus en plus chère et il est stupide de gaspiller de l’argent inutilement.

J’ai donc revu mon budget mensuel et mes priorités. Et j’ai décidé de réduire certains postes de dépenses.

Mesure N°1: Résilier ma box fibre

Déjà c’est un exemple d’une promotion temporaire telles que je les déteste: j’avais un tarif à 20€ pendant un an, qui a explosé à 45€ à partir du treizième mois.

Même si je travaille environ 3 jours par semaine de chez moi, j’ai décidé de me passer de la classique Box Fibre, incluant bouquet de chaînes télé et téléphonie fixe. Je ne me servais que de l’Internet au final. Je remplace par une ligne téléphonique 5G, puisque je suis desservie. J’ai 210 Go à dépenser, ce sera, je pense, suffisant.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

Mesure N°2: Ne pas renouveler mon abonnement Microsoft office

Cela m’est facturé 69€ par an, alors que j’ouvre un ficher Excel 2 fois par mois… Encore une fois, c’est un abonnement onéreux pour une valeur ajoutée faible. Je bascule donc sur un tableur et un traitement de texte plus simple et surtout gratuits. Je me servais de OneDrive, mais il est devenu redondant avec iCloud. En revanche, je garde bien mon abonnement de sécurité, je ne recommande pas de faire d’économies sur ce poste.

Mesure N°3: poursuivre, encore et toujours le désencombrement

J’ai fait du tri et du rangement et identifié, encore et toujours, des objets dont je pourrais me séparer. Au delà de mes sacs, très clairement, je cible mon équipement de cuisine. Je cuisine de moins en moins et avoir des gadgets dans tous les sens me distrait plutôt qu’autre chose. J’aimais bien mon Instant Pot, mais clairement, le modèle de 6 litres était surdimensionné pour mon foyer d’une personne. Je l’ai remplacé par un rice cooker plus compact et revendu l’Instant Pot.

Puisque c’est du bon matériel, je parviens à le revendre sur Internet (Rakuten, Le Bon coin…) sans trop de souci. Pour ce qui a peu de valeur, je vais le disperser fin septembre lors de la brocante de ma ville. Si personne n’est intéressé, je le donnerai.

Photo de Julia M Cameron sur Pexels.com

Mesure N°4: « no buy » jusqu’à la fin de l’année

Clairement, je n’ai pas besoin de davantage de bordel. J’ai des projets à long terme à financer, je dois retaper ma santé et ma condition physique, donc pas de shopping à l’horizon!

Et vous, avez-vous une recette anti-inflation?

A la maison, Bilans, Défis, Garde-robe, Minimalisme, Solo living

Plus d’un sac à mon tour

Il est temps pour moi de refaire un inventaire de mes sacs, cette grande passion qui m’anime depuis mon adolescence.

Ce n’est pas mon premier article sur le sujet sur ce blog: l’historique est ici:
Passion: Sacs!
Des sacs et des sacs

État des lieux à fin février 2022

L’état des sacs à aujourd’hui. Oui, il y a eu une rotation totale par rapport au dernier inventaire. Je n’ai plus aucun sac Guess! Maintenant, je suis accro à Kipling. Plus faciles à utiliser au quotidien: souples, lavables, moins ”habillés ». Ceci dit, je suis quand même en train de m’en lasser et j’ai réduit mon inventaire.

Il manque sur la photo un sac Kipling Riri orange et un autre sac bandoulière Kipling Arto beige, qui sont déjà en vente sur Vinted et donc stockés dans la caisse des ventes, et également mon sac du moment : un Longchamp Pliage bleu marine.

Cet inventaire est bien trop fourni pour mes besoins, pandémie (télétravail intensif?) ou non. Même si j’ai prévu des voyages en 2022, je n’ai pas envie de garder toutes ces options « au cas où », cela prendrait trop de place dans mon futur dressing ! Je peux rationaliser dans cette catégorie, pas de souci !

Ceux qui sont donc mis en vente :

Sac Kipling pratique mais pas photogénique

le sac à dos Kipling City Pack argenté (vendu): trop de poches dans tous les sens, c’est agaçant de chercher quelque chose et de retourner toutes les poches pour mettre enfin la main dessus. Je ne suis pas convaincue d’avoir besoin d’un sac à dos de ville non plus. J’avais déjà eu le même modèle en noir. Même forme, mêmes problèmes. Si je reprends un autre sac à dos de ville, si jamais un besoin impérieux se fait sentir, il aura moins de compartiments, c’est certain ! En vrai, je ne l’utilisais pas tant que çà.

le sac ordinateur Kipling Perlani bleu foncé (vendu): très bien pour transporter mes affaires un jour de bureau, mais tellement grand qu’il devient trop lourd quand on le remplit. Mon nouveau boulot m’a fourni un sac à dos pour ordinateur bien costaud, que je vais donc utiliser (j’ai vendu mon sac à dos Samsonite bleu et blanc quand j’ai su qu’on m’en donnerait un – pas besoin de 2 sacs à dos pour ordinateur !). Je pense aussi que mon dos me dira merci, car tout trimballer sur une épaule, c’est déséquilibré et ça peut générer des douleurs. Mon nouveau sac est ni trop grand ni trop petit et bien rembourré au niveau des bretelles. On pourrait faire de la randonnée avec! Donc exit ce grand cabas.

– le sac cabas Kipling Art M bleu à motifs (vendu): un peu trop grand. Je n’en ai pas un grand besoin. J’ai de plus un sac cabas Kipling Art bleu fait pour voyager (on peut l’accrocher à une valise à roulettes) et que je n’ai pas encore utilisé une seule fois. Donc c’est un doublon. Autant vendre celui qui a déjà servi et commencer à utiliser le tout neuf. Au quotidien, j’utilise souvent des tote bags en coton tout simples. D’ailleurs, j’en avais un peu trop et j’en ai donné. Il m’en reste 3, c’est largement suffisant.

Sur le papier, une bonne idée. En vrai, bof.

le petit sac moutarde H&M (vendu). Je l’avais acheté car je trouvais çà classe d’assortir son sac et son foulard. Finalement, il fait très cheap et je ne le mets pas. Je préfère sortir mes sacs en cuir. J’ai acheté récemment 2 sacs Marc Jacobs sur Vinted et j’ai aussi acheté un petit sac See by Chloe, car j’ai dû dépenser mes bons d’achat Galeries Lafayette qui allaient expirer. Ces 3 sacs sont jolis et classiques. Ils ont en plus une certaine valeur à la revente. Ok, c’est pas très végane, mais c’est « habillé ». Je ne désespère pas de trouver des sacs véganes et jolis.

Voilà, déjà 4 sacs qui vont sortir de la collection – actuellement dispo sur mon compte Vinted ! Ce qui fait redescendre le nombre de mes sacs à 10. Je pense que je pourrais me séparer facilement d’encore 2 ou 3 pièces. Je referai le point à la rentrée 2022, quand j’aurais fini mes voyages.

Cet article n’a abordé que les sacs « de ville », j’ai aussi du désencombrement à faire dans les sacs de courses, bagages et autres sacs de sport !

Et vous, combien avez-vous de sacs ? À votre avis, de combien en avez-vous vraiment besoin ?

A la maison, Minimalisme, Santé, Solo living

Ma transition ménagère

Je pensais être une écolo, une bobo minimaliste… En fait, il n’en est rien! Certes, j’ai bossé sur ma garde-robe, mes livres, mes bidules de cuisine, mais force est de constater que j’ai accumulé une quantité de produits et d’équipements de ménage bien trop conséquente pour mon mode de vie actuel. Sans compter que tout ce barda n’est pas forcément bon pour la santé.

C’est le même constat que pour ma salle de bain en son temps : ça déborde ! Je ne sais même plus ce dont je dispose et ce dont j’ai vraiment besoin. Pourtant, je sais que très peu de produits suffisent à l’entretien d’une maison: du vinaigre, blanc, du bicarbonate de soude et du savon noir suffisent pour à peu près tout!

J’ai eu une certaine prise de conscience grâce à un Tiktok sur les perturbateurs endocriniens. J’ai donc repris les basiques et retrouvé ce petit livre de ménage au naturel, sans chimie lourde.

Une partie de ma « collection »

J’ai donc regardé quelques vidéos de ménage sur Youtube pour me donne de l’inspiration et de l’élan et j’ai rassemblé tous mes produits de ménage au même endroit, façon Konmari.

Le tout, donné sur Geev

Pourquoi ai-je donné sur Geev des produits dont je ne suis pas sûre qu’ils soient bons pour ma santé? Parce que nous sommes tous différents et qu’à tout prendre, si quelqu’un en veut, je ne vais pas tout mettre à la poubelle. J’ai aussi donné un seau (doublon) et un embout de serpillière espagnole. L’idée était avant tout de simplifier mes produits de ménage et d’éviter les produits chimiques trop lourds. Je vais néanmoins finir mes tablettes lave-vaisselle et ma lessive liquide actuelles avant de transitionner vers des formules plus neutres.

Et vous, faites vous, vous aussi, votre ménage au naturel ?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Que faire de sa vaisselle superflue?

Ma cuisine (toute neuve, toute belle) croulait sous le poids des produits alimentaires, que j’ai entre-temps rationalisés, mais aussi de la vaisselle et des ustensiles et appareils électroménagers que j’y stockais. Ce n’est pas la première fois que je suis contrainte d’examiner le contenu de ma cuisine et de faire du tri pour vider. Et je pense que cela ne sera pas la dernière!

En parallèle de cuisiner mes excès de produits alimentaires, j’ai déterminé la quantité de vaisselle que je souhaite conserver et qui me permettra de parer à 99% de mes besoins.

Photo de Nataliya Vaitkevich sur Pexels.com

J’ai donc retenu un « service » pour 8. Pour rappel, mon foyer comporte un humain et deux félins. Je reçois peu, donc pas besoin de prévoir une table pour 12. 8 assiettes creuses, 8 verres à eau etc… seront amplement suffisant pour mon style de vie.

Je ne fais pas partie de cette génération qui se marie pour quitter ses parents et se retrouve avec un service complet de porcelaine avec une soupière et qui stocke cette « belle vaisselle » dans une vitrine dans sa salle à manger et ne l’utilise qu’à Noël, et qui utilise au quotidien de la vaisselle plus basique. Chez moi, je ne veux que des choses que j’utilise. Donc j’ai de la jolie vaisselle, mais qui passe au la lave-vaisselle.

Voici le résultat du désenconbrement de Noël 2021 (il manque 2 verres ébréchés sur la photo)

2 tasses en bon état, 2 tasses hors d’usage, 1 vieille planche à découper, 2 range-couverts superflus

Du coup, que faire de cette vaisselle encore en bon état ?

Je vous propose plusieurs options :

la donner à un proche qui en a besoin (on ne refourgue pas des objets dont on ne veut plus à des gens qui n’en ont pas besoin, on s’assure qu’ils vont VRAIMENT s’en servir)

la vendre sur eBay ou le bon coin (honnêtement, pas sûr que la logistique associée en vaille la peine, la vaisselle, c’est lourd et fragile, ça ne s’envoie pas par la Poste, ce qui limite la zone de chalandise.)

l’échanger contre un bon d’achat : si votre vaisselle vient d’Ikea, il y a de temps en temps des Opérations « reprise de vaisselle »: vous rapportez de la vaisselle et vous obtenez un bon d’achat dans le magasin. Ça peut être malin!

Photo de cottonbro sur Pexels.com

la donner sur un site comme Geev. Je suis adepte depuis septembre pour me débarrasser rapidement d’objets encore en état d’être utilisés, mais trop pénibles à vendre : meubles griffés par les chats par exemple, ou draps en bon état mais plus compatibles avec ma literie actuelle.

la donner à une association ou une ressourcerie. Vous êtes ainsi sûr que votre excès de vaisselle profitera à des personnes dans le besoin ou sera revalorisé de façon responsable.

J’espère que je vous ai donné des idées pour finaliser votre désencombrement, côté cuisine. Sinon, avez-vous des bons plans à partager?

A la maison, Alimentation, Perte de poids, Solo living

Cuisiner ses excès de placards

Certains cuisinent leur fond de placards, et d’autres, comme moi, avec tous mes privilèges de blanche occidentale de la classe moyenne, je me retrouve à m’atteler à mes excès de stockage alimentaire. Oui, je le reconnais, je stocke bien trop de nourriture pour mon foyer d’une personne et 2 chats.

Le challenge lancé il y a quelques temps m’a conduit à vider mes placards et faire un inventaire. Il est temps désormais de vider les excès et ne pas gaspiller. Comme il s’agit de nourriture que j’ai achetée pour moi, j’ai décidé de consommer toutes ces denrées et de ne pas les donner. L’idée est surtout de contrôler mes dépenses et mes impulsions, mais aussi et surtout de prendre soin de ma relation complexe avec la nourriture.

L’excès de placards en question

Le contenu : des choses que je ne mange jamais : pollenta, farine de pois chiches… Des choses en trop: paquets de pâtes, sauce tomate, raviolis végétariens.

Je vais cesser d’acheter tout produit sec, tant que la caisse n’est pas vide. Ça va être sympa ! Je dois aussi m’attaquer au placard « Petit déjeuner & snacks ». Y a un peu trop de friandises dedans, ce qui n’aide pas au contrôle du poids.

Et vous, que faites-vous des produits alimentaires que vous avez en trop?

A la maison, Alimentation, Bilans, Défis, Santé, Solo living

Faire du tri dans les placards

Mon foyer comprend une personne et 2 félins. J’habite en ville, il y a plusieurs supermarchés dans un rayon de deux kilomètres. Mais aucun magasin bio ou en vrac.

Honnêtement, je n’ai pas besoin de stocker tout ce que j’ai déjà dans mes placards… C’est trop! Y a tellement de choses que je n’y vois plus clair et que je rachète souvent des choses que j’ai déjà et je me retrouve avec des doublons, ce qui représente un gaspillage de place et d’argent. Même si je gagne bien ma vie, je n’aime pas le gâchis. Je n’ai pas été élevée comme çà et j’ai conscience que nous n’avons qu’une seule planète à disposition.

J’ai donc résolu de lancer une opération Konmari dans mes placards alimentaires. J’ai donc tout sorti et exposé sur ma table de salon (pas sur le lit comme les vêtements) et le bilan est édifiant !

Ma collection de boîtes de conserve

C’est vraiment trop!

Pour les chats, c’est simple : le principe est que je commande 2 paquets de croquettes pour chat diabétique à la fois et que j’attends d’entamer le deuxième paquet pour renouveler la commande. Cela me permet d’atteindre le montant minimum pour avoir les frais d’envoi gratuits (les croquettes vétérinaires ne sont pas données). Je commande sur CroquetteLand. Je n’achète plus de pâtée, même si mes loulous adorent çà, car nous devons rester sur les croquettes vétérinaires. Mon chat non diabétique n’est pas difficile et mange quand même de bon cœur les croquettes spéciales.

Dans mes placards, bien loin de mon idéal minimaliste, et bien consciente de mes privilèges de classe moyenne, on trouve beaucoup trop de choses, j’ai donc fait du tri!

Voici le résultat « après tri ». J’ai mis tous les produits « en excès » dans une caisse, et je vais entreprendre de tout consommer. Cela fait quelques kilos de nourriture, quand-même ! De quoi passer les fêtes de façon frugale.

Et vous, qu’en pensez-vous: les placards pleins, bonne ou mauvaise idée?

A la maison, Alimentation, Défis, Minimalisme, Solo living

Mission: simplification

J’ai déménagé il y a 6 mois dans mon appartement de région parisienne : 3 pièces, 62 mètres carrés et un balcon rien que pour les chats et moi. J’ai pu concevoir et faire installer la cuisine de mes rêves : 7 mètres carrés fonctionnels et plein de rangements, dans des coloris et des matières que j’ai choisis. Malgré tous les travaux que j’ai pu faire dans mon existence, c’était la première fois que je me lançais dans la mise en place d’une cuisine en partant d’un mur blanc.

Hélas, je crois que je me suis laissée un peu débordée par ces larges capacités de rangement. J’ai acheté de la vaisselle, juste parce qu’elle me plaisait, pas parce que j’en avais besoin. Et j’ai fait des achats de nourriture parce que c’était en promotion… Aujourd’hui, ça déborde et mon foyer d’une personne et 2 félins n’a pas besoin de tout çà.

J’ai donc résolu de trouver une place pour chaque chose pour que chaque chose ait sa place, et je vais commencer par vider les placards du superflu!

Ce n’est pas parce qu’on a vécu une pandémie qu’on a besoin de stocker outre mesure. L’expérience l’a prouvé : il n’y a pas eu péril en la demeure, même si les gens se sont rués sur le papier toilette et la farine. J’ai gardé les fesses propres et je n’utilise jamais de farine, donc tout s’est bien passé.

Je lance donc ce nouveau défi minimaliste dans mes placards de cuisine pour les prochaines semaines : identifier la quantité nécessaire et suffisante de nourriture pour mon foyer. Les périodes de fête sont propices aux excès de consommation, notamment alimentaires, alors prenons les devants!

Et du côté de chez vous, c’est vide ou ça déborde ?

Défis, Minimalisme

Bilan du « no-buy » de 2021

En début d’année, je m’étais fixée quelques lignes directrices d’un point de vue shopping, histoire de juguler mes compulsions et de rester raisonnable pour le déménagement qui était dans l’air.

Décembre arrivant, quel est mon bilan face à ces bonnes résolutions? Evidemment, il s’est passé des choses, entre les différents confinements/couvre-feu/restrictions de mobilité, intensification du télétravail, j’ai surtout effectivement déménagé dans un nouvel appartement.

Certains meubles sont partis, d’autres m’ont rejointe. Les mouvements ont été incessants, j’ai passé beaucoup de temps sur Rakuten, Ebay, Vinted ou encore Geev. J’ai fait des dons, des ventes… L’objectif est d’atteindre mon intérieur idéal: un nid douillet et fonctionnel, facile à nettoyer.

le chantier

Bref. Ce fut agité. J’ai parfois fait des erreurs et il faut le reconnaître. J’avais sélectionné les catégories suivantes:

  • Maquillage et cosmétiques
  • Bijoux
  • Livres papier
  • Appareils électoménagers et électroniques
  • Articles de papeterie

J’ai connu diverses situations, dont je suis plus ou moins satisfaite:

Maquillage et cosmétiques: j’ai fait beaucoup d’achat sur Fleurance Nature pour les cosmétiques et Kiko pour le maquillage. J’en ai profité pour virer des produits expirés et être bien équipée. Très honnêtement, j’ai

Bijoux: j’ai acheté 3 paires de boucles d’oreille fantaisie, pas de quoi m’encombrer outre mesure

Livres papiers: j’en ai acheté un seul, « Droit du Travail, Droit Vivant« , édition 2022. C’est une documentation professionnelle, mais bon, c’est quand même un livre papier

Appareils électoménagers et électronique : des sorties, des entrées. J’ai mené en 2021 un certaine simplification au niveau de la cuisine, car j’ai une nouvelle cuisine et j’ai dû trouver une place pour tout. Je n’ai clairement plus besoin de rien. J’ai TOUT. Pour l’électronique, il y a une rationalisation, mais qui n’est pas finalisée. A suivre en 2022.

Articles de papeterie: la mise en place formelle de mon bureau séparé m’a permis de regrouper dans un petit meuble à roulettes toutes mes fournitures. J’ai acheté quelques babioles, notamment des achats impulsifs aux soldes d’été Ikea.

Et vous, avez-vous réussi vos défis 2021, relatifs au minimalisme ou pas?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Comment je gagne ma vie

J’adore regarder les rubriques « Porte-Monnaie » de certaines publications. Celles de Rue89 sont devenues payantes, mais il y a celles de Mademoizelle, qui sont gratuites. Je trouve trop rarement des porte-monnaie correspondant à ma situation, n’étant ni millionnaire, ni rentière, ni mère célibataire galérant à joindre les deux bouts. Voilà donc ce qui constitue mes rentrées d’argent:

1- Mon salaire: évidemment ma plus grosse source de revenus!
Je suis cadre dans une entreprise internationale.
Non seulement mon contrat de travail m’octroie un salaire, mais également des droits sociaux: couverture Frais de santé, Prévoyance, Retraite, Épargne Salariale etc. Ce régime français fait qu’il est intéressant d’être salarié (et non indépendant) car il y a un véritable « filet de sécurité » en cas de pépin: prise en charge de dépenses médicales, épargne à moyen et long terme, ouverture de droits à indemnisation chômage etc. Clairement être salarié en France est un statut de privilégié. Il suffit de jeter un oeil à ce qui se passe ailleurs. Ce n’est pas une raison pour accepter tout et n’importe quoi, mais il faut reconnaître une situation de privilège.

2- La location d’un appartement
C’était mon projet en France, et finalement je l’ai réalisé en Irlande. Mon crédit est couvert par les loyers perçus. C’est assez spécifique au marché immobilier irlandais: les loyers sont plus élevés que des traites d’emprunt. Je m’y retrouve, car la taxation est moins importante qu’en France. C’est un investissement plutôt risqué, vue la volatilité du marché et le fait que le taux d’emprunt soit variable et élevé, et à très long terme (endettement sur plus de 20 ans). Pour l’instant, je garde cet investissement, car je ne désespère pas de revenir vivre à Dublin, où je me suis sentie « chez moi » pendant plus de deux années.

3- Investissements et placements
J’ai différents placements: épargne salariale, assurance-vie, PEA, PERP. Je viens d’acquérir ma résidence principale. Pour moi, c’est à la fois une nécessité (besoin d’un toit sur la tête) et un investissement (il n’est pas impossible que je la loue un jour si je quitte la région parisienne, donc j’ai raisonné comme pour un investissement locatif dans ma recherche immobilière). J’ai tranché, pour mon cas personnel, le dilemne « acheter ou louer ». En plein centre de Paris, clairement, la location gagne, car le prix au mètre carré est exorbitant et il faut rester plus de 20 ans au même endroit pour rentabiliser l’investissement. Mais dans ma banlieue (95), l’achat se révèle rentable. Le loyer que je payerais pour mon appartement est à peu près équivalent à mes mensualités d’emprunt, charges de copropriété incluses, avec un taux fixe et bas. Donc je me constitue un patrimoine au lieu de payer un loyer.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

4- Ventes d’occasion
Bon an, mal an, je génère plusieurs centaines d’euros en revendant des choses qui ne me servent plus. J’ai une petite tendance à faire des achats compulsifs et cela me rassure toujours de savoir que je peux minimiser les ravages de cette tendance sur mon porte-monnaie en récupérant quelques sous… Je vends sur Rakuten ou Vinted ou Ebay, selon le type d’objets.

5- Cashback / Coupons
Je suis très attentive à ce que je dépense, car mon argent ne tombe pas du ciel. Déjà, j’essaye de n’acheter que ce dont j’ai besoin et de rentabiliser ce que j’ai déjà chez moi. J’utilise le système de cashback d’iGraal au maximum pour récupérer quelques euros sur des achats que j’aurais de toute façon faits. Je profite aussi des cashbacks de Boursorama (selon moi la meilleure banque en France, sans frais) et de son espace « the Corner » pour obtenir des réductions (places de ciné etc) sur des chèques-cadeaux (Ikea, 13% de réduction sur La Redoute, Darty, 5% sur Décathlon, Amazon…).

6- Cadeaux / Subventions
Ce n’est clairement pas un flux financier majeur, mais mon CSE m’accorde des chèques-cadeaux pour Noël et des chèque-vacances. Je reçois aussi parfois des « awards » de mon employeur, ce qui me génère encore des chèques-cadeaux.
Pour le reste, j’ai une politique de « zéro cadeau » pour moi, donc mes proches ne m’offrent rien. Il arrive qu’ils me donnent des objets, comme il arrive que je leur en donne, mais cela ne constitue pas un « cadeau ». C’est très très marginal.

Et vous, comment gagnez-vous votre vie?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Signes extérieurs de… Richesse ?

J’ai la conviction qu’exhiber une bibliothèque bien fournie ne signifie pas qu’on en ait lu tous les volumes ni qu’on soit intelligent. Ça veut simplement dire qu’on possède des livres (Achetés? Neufs? D’occasion ? Récupérés?) Et qu’ils sont stockés en évidence dans des rayonnages. Même si on les a lus, en a-t-on forcément tiré tous les enseignements? Connaît-on parfaitement leur contenu? Notre cerveau organise les informations à sa façon et la connaissance ne se forge pas que dans les livres, bien heureusement.

Je suis devenue une minimaliste de la bibliothèque pour plusieurs raisons, même si j’aime lire: les livres sont encombrants, comme les CD et DVD, prennent la poussière, ceux que je n’ai pas lus me narguent (cela m’agace), et j’ai investi dans un abonnement Kindle. Est-ce qu’un visiteur rentrant dans mon salon et voyant la petite vingtaine de livres dans mon buffet va me juger et me prendre pour une inculte? A vrai dire, je m’en fiche et ce qu’il pense de moi est son problème. Je me considère suffisamment éduquée.

Photo de Juan Pablo Serrano Arenas sur Pexels.com

Je fais le même constat sur les équipements de cuisine. Ce n’est pas parce qu’on a du matériel coûteux et de qualité qu’on s’en sert, ni même qu’on sait s’en servir. Quand je vois ces monumentales cuisines en inox dans un duplex New-yorkais, je me fais souvent la réflexion que les occupants se sont simplement fait plaisir. Il est probable qu’ils mangent souvent à l’extérieur. Du coup, ils ont chez eux des équipements surdimensionnés par rapport à leurs besoins ! Ou alors ils ont un chef à domicile (le rêve…).

Photo de Marcus Aurelius sur Pexels.com

Je me rends moi-même un peu coupable de ce type de comportement : je prends soin de mon inventaire, je sélectionne, je retiens… Je partage sur Instagram… Suis-je une horrible snob? J’ai juste besoin de me rassurer, de me raccrocher à des choses tangibles, surtout que je suis en pleine « nidification« .

Et vous, qu’en pensez-vous? Avez-vous besoin de montrer que vous avez des trucs?

Journal, Minimalisme, Solo living

Le confort, l’éthique, le minimalisme

Je crois que j’ai un peu atteint les limites de l’exercice minimaliste. Après des années de pratique, je crois que j’ai bien identifié ce qui me convient, ou non. Je prends très vite des décisions, ce qui est une force, la plupart du temps.

Pour moi, l’objectif n’est pas d’avoir des placards vides ou un mur blanc, mais d’avoir identifié ce dont on a besoin dans son existence. Et les besoins sont individuels. En tant que solo, urbaine, maman-chat, télétravailleuse intensive, j’imagine mon logement idéal différemment d’un couple, campagnard, sans animal et ne pratiquant pas le télétravail… Pour autant, pas la peine pour moi d’avoir 200 mètres carrés. Qu’est-ce que je ferais de tout cet espace ? Ça me prendrait un temps fou pour l’entretenir, sans compter les charges afférentes. Je préfère donc me cantonner au nécessaire et suffisant. Bref, à une certaine définition du minimalisme.

J’ai regardé avec amusement et tendresse cette vidéo, qui parle du minimalisme sous un angle religieux, voire un peu mystique.

C’est vrai qu’un mouvement avec ses gourous, qui prêchent la bonne parole autour du monde, cela peut s’apparenter à la définition d’une religion. D’autant que le mouvement est surtout animé par des Américains, qui sont très versés dans les églises et s’identifient aisément à des mouvements spirituels. Joshua Becker, influenceur minimaliste professionnel, vient d’ailleurs d’une famille de prêcheurs. On retrouve très souvent des concepts religieux dans ses interventions.

Pourtant, ce discours a résonné en moi, qui ne suis pas croyante. L’idée de posséder moins et mieux m’était séduisante il y a plusieurs années et encore aujourd’hui. Je ne vais pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Durant toutes ces années, j’ai appris des choses grâce aux minimalistes, et je leur en suis reconnaissante. J’ai acquis des réflexes bon pour mon budget et ma santé mentale. Clairement, j’ai renoncé à la « rat race » et je suis contente de mon sort. Je suis assez bien comme çà.

Ce qui compte à présent pour moi est de vivre bien, sans excès, avec ce dont j’ai besoin pour mon confort. Je suis très contente d’avoir déménagé dans mon 3 pièces. D’aucuns diraient que c’est fort peu minimaliste. C’est vrai, je pourrais vivre dans un studio. Mais j’aime ma chambre séparée, ma cuisine séparée et mon bureau séparé. Cela me rend heureuse d’avoir cet espace. Les chats apprécient eux aussi tout cet espace de vie.

Un jour peut-être, j’aurais envie d’un logement plus modeste et moins gourmand en entretien et charges. Mais aujourd’hui, j’y suis bien et je peux me le permettre. Donc je ne vais pas me priver.

Et vous, qu’en pensez-vous? Le minimalisme est-il une religion?