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Le bilan « Sacs» de la rentrée 2022

Après mon été à crapahuter en Europe et à rentabiliser (enfin!) mes bagages, il est temps de faire le point sur l’inventaire de mes sacs (c’est ma grande passion).


En début d’année, j’ai fait un désencombrement assez important. L’activité sur ma boutique Vinted a été calme depuis, puisque il me reste peu de choses en vente et que je me suis mise en vacances de Vinted, comme de Rakuten, pendant l’été.

Les entrées:
Une fois n’est pas coutume, je me suis laissée tenter par de nouvelles acquisitions. Je ne suis pas très fidèle en la matière. Je suis aussi devenue plus exigeante: exit les sacs avec trop de poches, trop grands, trop fragiles, difficiles à assortir… Bref, une fois que j’ai testé et pas approuvé, c’est la sortie direct! Pour être sûre de mon choix, il m’arrive fréquemment de racheter le même sac, mais dans une autre couleur, cela m’est arrivé sur des sacs Reisenthel, Kipling ou encore Marc Jacobs).

J’ai craqué sur 2 sacs Marc Jacobs pour mon anniversaire. Au moins, le jour où je m’en lasserai, ils auront une valeur à la revente. J’en ai aussi acheté un en magasin d’usine. J’ai aussi acheté un pliage Longchamp, un cabas Uniqlo, un sac en toile Bensimon (sur Vinted, j’avais le même en violet il y a quelques années). On peut dire que ça va, ça vient…

Point de la collection actuelle:

mes sacs  » de ville » – depuis la photo, j’ai décidé d’en vendre 2: ceux en positions 7 et 8 – voir plus bas

Bilan de la rentrée, sont mis en vente:
un sac porté épaule en cuir gris Marc Jacobs (acheté sur Vinted -> je pensais que c’était un crossbody, en fait non et il n’était pas possible de changer la bandoulière) * VENDU
un mignon sac bandoulière en cuir beige See by Chloe (acheté en soldes aux Galeries Lafayette, avec des bons d’achat qui allaient expirer… mais trop petit à mon goût) * VENDU
un sac en faux cuir écru Coach (acheté en outlet -> ouverture par zip pas très pratique à l’usage) *VENDU

Autres articles dont je me sépare:
– une trousse cosmétique Caudalie: je n’en ai pas l’utilité VENDUE
– une trousse de toilette bleue Kipling: trop petite et trop de compartiments, pas pratique à l’usage * VENDUE
– un sac weekeng gris Reisenthel: à peine utilisé, car il est trop grand, donc trop lourd une fois rempli et porté en bandoulière
– un sac en toile recyclé Réversible: trop grand à l’usage, je ne m’en suis servie que pour stocker des affaires dans mon armoire, très peu à l’extérieur.

Ainsi que ces 2 petits sacs bandoulière:

petits et mignons, mais je m’en suis lassée… le consumérisme est une maladie!

Ma wishlist?
un sac mini tote en cuir Marc Jacobs. Soit rouge, soit bleu, soit ce que je trouve comme couleur (il est vendu 415€, je suis à l’affût du stock et de la bonne affaire)
un sac camera/ snapshot Marc Jacobs, dans une couleur un peu funky – idem pour le stock et la bonne affaire
un sac weekend avec un nombre raisonnable de compartiments… pas urgent, mais nice to have…

Et vous, aimez-vous vos sacs?

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Ma transition ménagère

Je pensais être une écolo, une bobo minimaliste… En fait, il n’en est rien! Certes, j’ai bossé sur ma garde-robe, mes livres, mes bidules de cuisine, mais force est de constater que j’ai accumulé une quantité de produits et d’équipements de ménage bien trop conséquente pour mon mode de vie actuel. Sans compter que tout ce barda n’est pas forcément bon pour la santé.

C’est le même constat que pour ma salle de bain en son temps : ça déborde ! Je ne sais même plus ce dont je dispose et ce dont j’ai vraiment besoin. Pourtant, je sais que très peu de produits suffisent à l’entretien d’une maison: du vinaigre, blanc, du bicarbonate de soude et du savon noir suffisent pour à peu près tout!

J’ai eu une certaine prise de conscience grâce à un Tiktok sur les perturbateurs endocriniens. J’ai donc repris les basiques et retrouvé ce petit livre de ménage au naturel, sans chimie lourde.

Une partie de ma « collection »

J’ai donc regardé quelques vidéos de ménage sur Youtube pour me donne de l’inspiration et de l’élan et j’ai rassemblé tous mes produits de ménage au même endroit, façon Konmari.

Le tout, donné sur Geev

Pourquoi ai-je donné sur Geev des produits dont je ne suis pas sûre qu’ils soient bons pour ma santé? Parce que nous sommes tous différents et qu’à tout prendre, si quelqu’un en veut, je ne vais pas tout mettre à la poubelle. J’ai aussi donné un seau (doublon) et un embout de serpillière espagnole. L’idée était avant tout de simplifier mes produits de ménage et d’éviter les produits chimiques trop lourds. Je vais néanmoins finir mes tablettes lave-vaisselle et ma lessive liquide actuelles avant de transitionner vers des formules plus neutres.

Et vous, faites vous, vous aussi, votre ménage au naturel ?

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Rituels du dimanche

Quand je ne suis pas en vadrouille, ce qui n’arrive plus très souvent depuis le début de la pandémie, j’aime passer mon dimanche chez moi.

Photo de Ba Tik sur Pexels.com

Ma vie est rythmée par mon travail en semaine, avec deux jours de télétravail le mercredi et le vendredi. J’ai décidé d’aller marcher 30 minutes tous les matins au saut du lit pour renforcer mes routines. Le samedi est consacré aux activités extérieures: courses non alimentaires, cinéma, sorties culturelles. Le dimanche est consacré à mon intérieur.

Je commence souvent mon dimanche en regardant une vidéo d’Orlane sur sa chaîne Youtube « libre et sauvage ». Cela me procure un peu de chlorophylle depuis mon appartement de banlieue. Je vis un peu par procuration, je dois dire, mais je n’ai pas du tout la main verte et aucune envie de vivre à la campagne à plein temps!

Le Dimanche est le jour où je prends le temps pour tout : le petit déjeuner est plus tardif et plus copieux qu’en semaine, je fais le plus gros ménage (la litière, par exemple, ou la lessive de draps) et où je passe plus de temps dans ma salle de bains. Rien n’est plus agréable que d’oublier les horaires. Je me laisse porter par mes envies… Des fois, je reste devant ma télé, des fois je vais faire un tour… Je ne m’impose aucune contrainte. Cela me revigore avant d’entamer la prochaine semaine, car j’ai parfois un petit coup de pompe dit « syndrome du dimanche soir ».

Et vous, que faites-vous de vos dimanches?

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Ces 5 choses qui se sont avérées rentables

Dans cette société consumériste, qui nous incite à accumuler des objets, dont on n’a pas forcément envie ni besoin, il y a parfois des achats pour lequel on en a eu pour son argent, des choses qui valent le coup. Voici ma sélection :

1- Portefeuille Ogon. Je l’ai acheté d’occasion sur Vinted. Il était un peu rayé mais tout à fait utilisable. Je voulais essayer le format, moi qui ai longtemps utilisé un porte-monnaie tout simple comme portefeuille. Les petits compartiments sont très bien pour les cartes et la carte d’identité. Petit format idéal, léger. Bref. Essai concluant. Je m’en offrirais un nouveau prochainement, avec un extérieur plus costaud que celui en alu brossé.

2. Smartphone Motorola – J’ai l’habitude d’acheter mes smartphones neufs puis de les revendre après 12 à 18 mois d’utilisation. Généralement je récupère la moitié de la valeur d’achat et cela me sert à financer mon nouvel achat. Voilà longtemps que j’ai délaissé la sphère iphone. Dans la gamme Apple, je n’aime que les ipad, et encore… C’est bien trop cher pour ce que c’est! Ce modèle est mon deuxième Motorola et je suis absolument convaincue par son rapport qualité prix. A titre professionnel, j’ai un Samsung, sensiblement plus cher et je ne le trouve pas spécialement plus performant ou pratique que mon Motorola personnel. Pourquoi dépenser plus? Avec 200€, on a un smartphone tout à fait décent, et c’est bien difficile de s’en passer de nos jours.

3. Airfryer (friteuse sans huile, en bon français): indispensable dans ma cuisine depuis près d’un an. Je m’en sers quasiment tous les jours pour rôtir mes pommes de terre, légumes, falafels etc. Tellement plus rapide, pratique et facile à nettoyer qu’un four! Je ne sais pas si je prendrais à nouveau ce modèle, mais clairement, je ne peux plus m’en passer. Une bénédiction quand on veut manger moins gras et tout aussi savoureux.

Photo de William Fortunato sur Pexels.com

4. Abonnement Kindle Unlimited – J’ai redécouvert récemment le plaisir de me laisser emporter par les livres. Car oui, j’étais un peu fâchée avec l’objet « livres »: encombrant, lourd, difficile à stocker, possiblement dévoré par mon chat papivore… Maintenant que j’ai déménagé, j’ai aussi un trajet en tram à optimiser. J’avais un Kindle Fire 8, finalement pas si pratique, alors j’ai pris une tablette Samsung 8 pouces, qui est très bien pour mon utilisation, tout en étant plus performante que la Kindle, que je vais mettre en vente, du coup. Pour avoir toujours quelque chose à lire, je me suis laissé tenter par un abonnement Kindle Unlimited. Soit, toute la bibliothèque de l’humanité n’y est pas disponible, mais j’y trouve de quoi satisfaire mon appétit de lecture.

5. Un mètre-ruban. C’est un des objets les plus anciens chez moi, que j’ai acheté quand je suis arrivée à Paris en 2003. Je l’ai acheté dans une droguerie et il tient encore la distance. Selon les périodes, je m’en sers plus ou moins souvent. J’ai aussi encore le marteau que j’ai acheté en même temps au même endroit. Les outils, cela vaut la peine d’investir dans de la qualité, c’est certain!

Et vous, quels sont vos achats qui ont tenu la distance et pour lesquels vous en avez eu pour votre argent ?

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Les chaînes Youtube que je suis (sur tous les thèmes)

Après avoir fait une petite revue de mes chaînes vegan préférées, j’ai envie de parler des autres chaînes que je suis. J’ai des intérêts divers et variés, j’en conviens!

Laurette, l’influenceuse de plus de 40 ans (et la maturité, ça fait du bien! J’ai pas envie qu’une minette de 22 ans me bombarde de vidéos lifestyle)

J’aime : Laurette parle d’un peu tous les sujets: déco, brico, shopping, maquillage, chaussures… Elle a un style rafraîchissant et elle ne se la pète pas comme beaucoup d’autres youtubeuses, surtout les jeunettes. En jeune quadra, je m’identifie à elle, même si on a des vies bien différentes.

J’aime moins : le contenu maquillage ou chaussures, car ce ne sont pas des passions pour moi.

A small wardrobe (contenu en anglais)

J’aime : Patricia a évolué vers un minimalisme assez radical, depuis son Australie natale. Je kiffe qu’elle réussisse à vivre de sa chaîne. Et elle a un chat très choupichou.

J’aime moins : comme elle fait beaucoup de vidéos, les thèmes tournent en boucle et j’ai parfois une impression de déjà vu. Et aussi, ses looks à base de nuisette en satin ne passeraient pas du tout en France.

Sophie Shohet: l’obsédée du luxe (en anglais)

J’aime : je la prends vraiment au second degré, car elle me fait marrer avec sa collection de sacs Chanel et Dior. Personne n’a besoin d’accumuler autant de fanfreluches, mais ça a l’air de la passionner. On n’imagine pas que les riches ont des problèmes, et pourtant: un sac Chanel qui ne garde pas sa forme à l’usage…

J’aime moins : son côté « logo allover » et bling bling est un peu « too much ». D’un autre côté, c’est sa marque de fabrique. Je ne pense pas acheter le moindre sac qu’elle possède, je vis un peu par procuration… Quoi que je dise, je reste une fan de sacs! Je n’ai juste pas besoin d’un sac pour être heureuse. J’admire juste l’objet et la fabrication.

Kitten lady (en anglais)

J’aime : des chatons, des chats, des animaux à sauver, des conseils pour s’occuper des félins… J’adore!

J’aime moins : c’est très américain, très cheesy. Mais je n’ai pas grand chose à reprocher à cette chaîner.

Alexandra Gater: déco moderne à la Canadienne

J’aime: la bonne humeur d’Alexandra, les idées malines et pas chères, les couleurs, les astuces rangement et déco

J’aime moins : le côté pas fonctionnel de ses propositions dans certains cas, les étagères ouvertes ramasse-poussière, son amour des pompoms…

Justine Leconte: mode et style (en anglais)

J’aime : le contenu varié sur la mode, non seulement les formes, les couleurs, les proportions, mais aussi l’éthique, la fabrication etc.

J’aime moins : pas trop de conseils pour les femmes rondes. Et moi, je suis plutôt « +size ». Donc certains conseils me passent un peu au dessus de la tête.

Et vous, avez-vous des chaînes Youtube qui vous inspirent?

Journal

Regarder les objets du passé

Depuis 2014 et mon déclic minimaliste, j’en ai viré des choses et des choses, que ce soit des vêtements, des livres et autres produits culturels ou encore des bidules de cuisine.

J’ai donné, vendu, recyclé ou jeté jusqu’au plus soif, bien aidée par non pas un mais deux déménagements internationaux vers une île puis de retour vers le continent.

Photo de Edward Jenner sur Pexels.com

J’ai parfois gardé des clichés de ce qui a quitté ma vie et je suis fière de ce que j’ai accompli dans le domaine. La lutte contre le bazar est constante, comme celle contre la junk food. Après tous ces challenges minimalistes, est-ce que je regrette des objets dont je me suis séparé? Dans l’écrasante majorité des cas: non! et si j’ai eu un regret, j’ai toujours trouvé un objet similaire.

J’essaye de ne plus garder des choses pour des très hypothétiques « au cas où », mais les tentations sont présentes partout, tout le temps. Il est rare qu’un nouvel objet résolve un de mes « problèmes ». Généralement il en crée un immédiat: son stockage, puis sa maintenance et finalement, sa fin de vie.

Bref, mon album photos des objets du passé ne me rend jamais nostalgique. Je me fais plutôt des remarques sur le fait que je ne me rappelais plus que j’avais tel ou tel objet chez moi et que je vis sans depuis des années sans que mon confort de vie n’en ait pati.

On n’a vraiment pas besoin de grand chose pour vivre, c’est évident. L’accumulation d’objets me semble aujourd’hui pathologique, une idée du passé. A quoi bon vivre dans une armoire géante?

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Un truc #sololiving : avoir différentes adresses e-mail

Aujourd’hui, il est très facile de naviguer entre plusieurs adresses e-mail et cela permet de bien différencier nos différentes « vies ». Il suffit d’un smartphone et d’un peu de réflexion!

Photo de Torsten Dettlaff sur Pexels.com

Personnellement, j’utilise les services de Gmail et de Yahoo Mail. L’un et l’autre ont leurs avantages et leurs inconvénients. Comme ce sont des services gratuits, très clairement, la vie privée n’est pas 100% garantie. Peut-être qu’un jour je me dirigerai vers une solution payante comme ProtonMail.

Voici comment j’ai structuré mes adresses e-mail:

  • 1 adresse pour les commandes/livraisons/paperasses – afin de retrouver les factures, relevés de compte etc
  • 1 adresse pour gérer la vie perso/facebook/instagram privé/engagements sociaux comme les clubs etc: choisir une combinaison de son nom et prénom et non pas poupounedu92@caramail.com
  • 1 adresse « professionnelle » pour les sites de recherche d’emploi et les candidatures – pour moi, c’est vraiment à part du reste
  • 1 adresse « junk » pour y enterrer tous les mails non-désirés, comme les estimations d’assurances logement ou voiture…
  • 1 adresse par pays où on a des intérêts: j’ai créé une adresse spéciale pour ma vie en Irlande, je trouve que c’est plus simple. ça permet aussi d’utiliser un service mieux connu par les locaux. On peut en profiter pour simplifier son nom pour les locaux.
  • 1 adresse pour les sites de petites annonces, type Le Bon Coin, Vinted ou encore Meetic. Peut-être même séparer les petites annonces des sites de rencontres sur un autre e-mail. On n’est jamais trop prudent.
  • 1 adresse pour toute activité que vous ne souhaitez pas mélanger avec les autres, par exemple une recherche immobilière.

J’ai tout réglé sur mon téléphone, je ne perds aucun contact grâce au module « Contacts » d’Android, qui est un carnet d’adresses virtuel et je ne mélange pas les genres: l’agent immobilier n’aura pas accès à mon profil Facebook, par exemple, et le recruteur ne me retrouvera pas sur eBay.

Pour moi, associer son numéro de téléphone portable à sa boîte e-mail est à réserver aux comptes personnels, car les services d’aujourd’hui sont très connectés. On démultiplie facilement les adresses e-mail. C’est bien plus onéreux d’avoir un numéro de téléphone par usage.

OK, ce n’est pas spécialement un truc de solo, car n’importe qui peut l’utiliser. Conseil pour les non solos qui me lisent: éviter les adresses mails de couple ou familiales. Vous êtes un ensemble d’individus distincts, une adresse mail est un outil individuel. Cela ne coûte pas plus cher de mettre 2 destinataires qu’un seul!

Et vous, combien d’adresses e-mail avez-vous? partagez-vous ma stratégie?

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Le challenge minimaliste de mars et avril 2021: vaincre la paperasse

Les challenges de janvier et février 2021 ont été très gentillets. Il est temps désormais que j’affronte ma bête noire: les papiers !

De toutes les tâches qu’un adulte se doit d’accomplir, c’est celle que je déteste le plus. Je préfère faire les vitres plutôt que de m’attaquer au rangement de mes papiers. Certes, la digitalisation croissante m’a grandement soulagée de ce fardeau (mes classeurs d’extraits de compte papier ne me manquent pas) mais j’ai encore de la paperasse à gérer, de façon physique et numérique.

Le challenge est si grand pour moi que je vais y consacrer 2 mois : trier les papiers, numériser et ranger ce qui doit l’être et détruire ce dont je n’ai pas besoin.

Pas mes classeurs. Peut on rêver de classeurs?

J’imagine que je ne suis pas la seule personne à détester m’occuper de ma paperasse. Heureusement pour moi, je suis globalement à jour de ce que je dois faire, je gère beaucoup par prélèvement et j’évite les découverts. Mais je rechigne toujours à m’occuper de mes papiers. Je préfère changer la litière des chats, laver les draps, faire deux heures de meal prep, plutôt que de ranger ces fichus papiers.

Et vous, quelle est votre bête noire en tant qu’adulte ?

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10 astuces à 0€ pour faire des économies

Toujours dans ma mouvance minimaliste et dans le cadre de mon plan d’économies, je vous présente des astuces qui ne coûtent rien et qui permettent de ne pas dépenser plus que nécessaire!

1- Je garde des emballages pour mes propres envois : je ne parle pas des enveloppes matelassées ou des colis que je reçois, ça je pense qu’on le fait tous (une enveloppe matelassée coûte 50 centimes pièce, mine de rien). Je mets aussi de côté des emballages divers, tels que ceux de la pâtée des chats, qui sont en carton épais. Super pratique pour mes ventes sur Vinted, plutôt que de les mettre au bac de recyclage. Je garde aussi les emballages en papier des légumes et ceux de la boulangerie pour caler le contenu de mes colis. C’est à la fois économique et écologique.

2- Je reporte le week-end les vêtements de la semaine, s’ils sont encore propres. Laver trop souvent les vêtements les abîme, alors je préfère en tirer le meilleur parti et allonger leur durée de vie. Cela fait faire des économies de lessive et d’électricité et prolonge la vie de mes vêtements, sachant que ma garde-robe est minimaliste. Parfois, cela me fait porter des vêtements plus « habillés » que nécessaire, mais je m’en fiche.

3- Je n’achète pas ce qu’il est facile d’emprunter, par exemple des livres. Dans toutes les villes, il y a des bibliothèques ouvertes à tous et souvent gratuites, elles proposent en plus souvent des livres électroniques. Plus besoin de se déplacer pendant les horaires d’ouverture, ni d’aller toucher des livres dégueulasses (merci Covid, pour cette prise de conscience généralisée sur l’hygiène) ou poussiéreux.

Photo de cottonbro sur Pexels.com

4- J’utilise une banque en ligne sans frais. Pas de frais bancaires mensuels etc. Ma carte Visa Premier me coûte 0€. Certes, Boursorama m’a demandé de laisser 5000€ chez eux (et ce n’est pas à la portée de tout le monde), mais c’est très vite rentabilisé. Ils font aussi régulièrement des offres promotionnelles sur leurs différents produits. En 2020, j’ai récupéré 200€ de cashback en plaçant de l’argent sur différents produits que j’utilisais déjà (Assurance vie, Compte d’Épargne Financière Pilotée, Compte titres). Mon code parrainage est ici: Boursorama.

5- Je ne suis pas à découvert. Ça rejoint le point d’avant. Certes, j’ai droit à un découvert sans frais pendant 30 jours, mais je préfère ne pas dépenser de l’argent que je n’ai pas. Ce n’est pas facile pour tout le monde, je sais, mais les agios coûtent une fortune, en pure perte.

6- Je fais des listes: shopping listes + to do listes. J’ai une shopping list pour les courses du quotidien, que je complète dès que je manque de pois chiches ou de flocons d’avoine. J’ai aussi une shopping list pour les vêtements et accessoires. Ma garde-robe est plutôt minimaliste, mais je renouvelle parfois des pièces. Quand quelque chose est depuis trop longtemps sur la liste, je l’enlève : si j’ai vécu sans pendant longtemps, c’est que je peux vivre sans pour toujours. (oui, je pense à toi, veste en jean dont je pensais que ma garde-robe avait besoin…)

7- Je prends une gourde d’eau du robinet dès que je pars de chez moi pour quelques heures. Certes, il y a le prix de la gourde, mais on peut aussi recycler un bocal ou une petite bouteille en verre. J’évite ainsi l’achat de boissons hors domicile, qui sont chères et qui laissent derrière des emballages plastiques pas très recyclés.

8- Je récupère les bocaux des produits que j’achète. Pas tous, et je ne les garde pas tous non plus. J’aime bien ceux de la confiture Follain que j’ai ramenée d’Irlande. Je teste différents formats pour voir ce qui convient à mes besoins réels et non à mon fantasy self. Ceux que je ne retiens pas partent au recyclage verre.

9 – Je compare toujours les prix avant de faire un gros achat, type électronique ou électroménager. Amazon n’est pas systématiquement le plus avantageux : Darty, la Fnac et la Redoute ont aussi des bons deals avec les fabricants, surtout si on y rajoute des cashbacks tels que ceux d’iGraal (parrainage ici) ou des bons d’achats payés moins chers sur TheCorner quand on est client Boursorama (parrainage ). Jackpot si on arrive à tout combiner!

10- Je fais le tri dans mes amis : exit ceux qui ne tiennent pas compte de mes contraintes et souhaits budgétaires : c’est ainsi que j’ai refusé tous les enterrements de vie de jeune fille pour les mariages de mes amies, systématiquement organisés à l’autre bout de la France… Transport, hôtels, nourriture, activités, part de la future mariée… Tout çà, ça chiffre. Sans compter le mariage lui-même (la tenue, le coiffeur, les frais de déplacement et de transport) et l’inévitable cadeau pour les mariés. Sans aller faire comme Carrie Bradshaw et me marier avec moi-même, juste que, pour une fois, on célèbre mes choix de vie et qu’on participe à mes frais de vie à moi, je dis non si cela me semble trop dispendieux. Est-on obligé de dépenser de l’argent pour passer un bon moment entre amies? Il me semble que non.

Très clairement, je ne participerai plus aux « weekends entre filles », qui me coûtent, au delà de l’aspect pécuniaire, une bonne dose de stress et de frustration. Les amitiés vieillissent parfois mal.

Je dois dire que c’est pareil pour les restaurants à plusieurs, je souhaite que le budget associé me convienne. Quitte à se contenter d’un café ou d’un verre plutôt qu’une formule complète. Évidemment, en ce moment, la question ne se pose pas vraiment. Mon budget sorties est à 0€ depuis les confinements, comme pas mal de monde, j’imagine.

Et vous, quelles sont vos astuces à 0€ pour économiser pour ce qui compte vraiment pour vous ?

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Bilan du challenge désencombrement de l’équipement de cuisine

Force était de constater que ma volonté de perdre du poids, et donc de cuisiner sainement, m’a fait faire des achats pour ma cuisine. Puisqu’une grande partie de la réponse au surpoids est dans l’assiette, j’ai eu à cœur de m’équiper correctement afin de pouvoir préparer tout ce dont j’ai besoin pour atteindre mon objectif. L’excuse rêvée pour faire du shopping compulsif.

Mais les gadgets, c’est comme les sucreries, il faut les limiter. Mon challenge de ce mois de janvier 2021 était donc de faire faire une cure minceur à mes placards. J’ai donc débarrassé 59 bidules de cuisine et je n’ai gardé que les outils préférés (je crois que je peux encore faire davantage de tri, mais je referai le bilan dans quelques mois).

Voici ce qu’il reste après tri
J’ai encore largement de quoi faire ! Aucun risque que ce que j’ai débarrassé me manque !

J’ai donc donné à la ressourcerie. J’ai également mis en vente des récipients plastique pour pique niques et autres lunchbox inutilisés sur Vinted.

Des doublons et des objets dont je ne me servais pas, ou pas suffisamment pour justifier la place prise dans mes tiroirs et placards

Cela fait du bien, tout ce tri!

Et vous, avez-vous des placards de cuisine remplis comme les miens ? Voulez-vous faire du vide ?

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Objectif : une garde-robe épurée

Cela m’a pris plusieurs semaines, mais je suis enfin arrivée au bout de ma mission !

Quelle mission ? Vider ma garde-robe de tous les éléments :

–          Pas à ma taille

–          Abimés

–          Pas mon style

–          Inconfortables

–          En double (de combien de gilets bleu marine une femme a-t-elle besoin ?)

Bref. Un gros boulot a été mené.

Je me suis appuyée sur mon bon vieux tableau Excel pour mettre à jour le contenu de ma garde-robe, ainsi qu’une application ; en l’occurrence, « Smartcloset » pour avoir ma garde-robe avec moi sur mon mobile, avec les photos de tous mes vêtements.

photo of black clothes on hangers
Photo de Artem Bali sur Pexels.com
  1. Contenu de l’inventaire :

J’ai inventorié l’intégralité de mes vêtements, à l’exception de :

–          Mes sous-vêtements : j’ai fait du tri, mais je n’ai pas compté les petites culottes ni les chaussettes – ma méthode est celle du tiroir : tant que tout tient dans le tiroir attitré, tout va bien. De toute façon quand un sous-vêtement est trop abîmé, il part à la poubelle sans attendre un gros tri.

–          Mon matériel de sport : là aussi, j’ai fait du tri, j’ai viré des machins distendus ou qui ne me plaisaient plus, mais ce n’est pas inventorié.

–          Mes vêtements pour rester à la maison : bien sûr, j’ai dégagé de vieilles chemises de nuit, mais je suis très raisonnable en la matière – j’ai aussi un petit bac dédié. Donc, çà ne déborde pas.

–          La petite maroquinerie : j’ai un portefeuille sur moi et un autre à vendre, et quelques petits porte-monnaie pour mes devises (£ ou $) et c’est tout. Il est loin le temps où j’avais des dizaines de pochettes et trousses de maquillage ou de toilette. #Minimalisme

–          Mes bagages : j’en ai sans doute trop (et j’ai pourtant vendu 4 valises cet été) mais j’ai besoin d’y voir clair dans mes projets dans un avenir immédiat pour savoir si j’aurais besoin de tous mes sacs de voyages ou non.

–          Mes bijoux : j’ai divisé par deux mon inventaire de boucles d’oreilles et de colliers fantaisie, données aux bonnes œuvres, car je ne les mettais pas suffisamment – et je n’en rachèterai pas de sitôt. J’ai tout ce dont j’ai besoin en la matière.

  1. Evolution des effectifs :

Avant le tri, les statistiques étaient les suivantes :

Catégorie/Sous-catégorieDébut octobreMi novembreVariation
Accessoires3024-6
Chapeau330
Echarpe660
Foulard1812-6
Gants330
Chaussures1614-2
Chaussures de ville1311-2
Chaussures d’été330
Sac1814-4
Sac de plage110
Sac de ville1713-4
Vêtement202130-72
Blouse2114-7
Chemise manches longues71-6
Combi220
Débardeur2515-10
Gilet1817-1
Hoody43-1
Jupe52-3
Maillot de bain220
Manteau demi saison220
Manteau d’hiver220
Manteau imperméable110
Pantalon2010-10
Pull manches longues2215-7
Robe bureau1612-4
Robe d’été118-3
Short31-2
Top manches Courtes229-13
Top manches Longues1411-3
Veste53-2
Total général266182-84

Certaines catégories ont été plus impactées que d’autres, car j’ai pu faire un diagnostic de ce que j’ai utilisé dans les 18 derniers mois (facile, c’est depuis que je suis en Irlande – il y a un avant et un après mon départ). Force est de constater que des vêtements trop formels ne sont guère utiles ici.  Quand je m’habille « normal », pour mes collègues, c’est déjà « dressy ». Du coup, j’ai rétrogradé en « casual », qui correspond à leur « normal ».

Pas de raison de conserver 2 blazers noirs, que je ne mets jamais, ni de collectionner les chemises, vêtements que je n’aime pas du tout (allergie caractérisée au repassage), donc j’ai été sans pitié : j’ai donné, j’ai jeté ou j’ai vendu ce qui pouvait l’être.

  1. Analyse du tri presque final :
  • Où sont fabriqués mes vêtements ?

Je suis effarée par le fait que beaucoup de mes vêtements ont plus voyagé que moi, et j’ai pourtant mis un pied sur tous les continents !

Cela donne les statistiques suivantes :

ProvenanceNombre
Bangladesh13
Bulgarie2
Cambodge7
Chine41
Egypte1
France4
Inconnu73
Inde5
Indonésie2
Mauritius1
Mongolie1
Myanmar2
Philippines2
Portugal3
Roumanie2
Sri Lanka1
Turquie5
UK1
Vietnam16
Total général182

Dans certains cas, la provenance n’est pas indiquée (quasiment tout ce que j’ai acheté chez C&A, c’en devient suspect) ou tout simplement, j’ai coupé l’étiquette.

Bref, toute l’Asie est représentée, surtout la Chine, le Vietnam (surtout chez Uniqlo) et le Bangladesh (beaucoup chez Penneys). J’ai clairement envie de prendre mes distances avec la fast fashion, mais cela ne se fera pas du jour au lendemain. Je souhaite consommer plus près de l’Europe. Donc ce sera Union Européenne et Turquie (pour les jeans) en priorité. A mon sens, le plus dur, ce sera pour les chaussures, mais le Portugal est encore actif dans la fabrication ; l’Italie risque d’être hors budget.

Je ne vais pas mettre tous mes vêtements de fast fashion à la poubelle (ce serait un gâchis encore plus important et simplement inutile) mais je ne vais plus en acheter. J’habite au pays de Penneys (Primark à l’international) et autant dire que les tentations sont partout. Mais mon éthique est importante. Acheter, c’est décider.

  • Quels sont mes magasins favoris ?

Mes vêtements viennent des enseignes suivantes :

La Redoute20%
C&A15%
Uniqlo14%
Banana Republic9%
Penneys8%
H&M7%
Autres25%
  • Plutôt en ligne ou en magasin ?

Mes achats ont été faits comme suit :

AchatsEn ligneEn magasin
En nombre36%64%
En valeur32%68%

Conclusion surprenante : je dépense en moyenne davantage en ligne qu’en magasin. Comme quoi, on pense faire de bonnes affaires en ligne mais c’est juste une perception. Il y a aussi l’effet Penneys/Primark. J’ai acheté 5 débardeurs à 2.5€ pièce. C’est du Made in Bangladesh, çà va durer 2 lavages et je n’en suis ni fière ni contente.

  • Budget total :
 Nombre Budget
Accessoires24280.41
Chapeau344.5
Echarpe6141.29
Foulard1286.62
Gants38
Chaussures14482.98
Chaussures de ville11420.58
Chaussures d’été362.4
Sac14834.25
Sac de plage19.9
Sac de ville13824.35
Vêtement1303072.76
Blouse14260.6
Chemise manches longues113.88
Combi244.4
Débardeur1598.89
Gilet17309.24
Hoody346
Jupe224.95
Maillot de bain256
Manteau demi saison299.6
Manteau d’hiver2107.5
Pantalon10312.82
Pull manches longues15876.43
Robe bureau12348.47
Robe d’été8159.89
Short110
Top manches Courtes951.87
Top manches Longues11136.39
Veste360.84
Manteau imperméable154.99
Total général1824670.4

En théorie, donc, j’ai dépensé au fil des années 4670€, en fait c’est largement plus. Car c’est juste la photographie de ma garde-robe à un moment donné.

Si je fais le décompte de ce que j’ai débarrassé depuis le début de 2018, on arrive à un total de 2350€ (donnés, jetés, vendus). Mon porte-feuille a mal.

  1. Et maintenant, qu’est-ce que je vais faire ?

Première étape : resserrer à 150 pièces. pour tenir toute l’année. Je suis convaincue que je peux y arriver.  Je pense que je n’ai pas besoin de 6 écharpes, ni de 8 robes d’été (j’habite en Irlande, c’est pas Ibiza !). Clairement, j’ai aussi de la marge côté chaussures et sacs. C’est dommage d’avoir des petits trésors qui prennent la poussière au fond d’un placard. Autant les vendre ou les donner.

Donc, avant Noël, je vais revenir à un inventaire de 150 maximum. Et si je n’ai pas réussi à vendre ce que je pensais pouvoir vendre, les objets partiront au don.

  1. Les règles vont changer !

Il est clair que passer par ce tri exhaustif m’a fait prendre conscience d’habitudes de consommation dont je ne suis pas fière. Il est temps de remettre de l’éthique sur l’étiquette !

–          Un article qui rentre, c’est un article qui sort, sinon l’objectif de 150 ne sert plus à rien !

–          Je vais mettre en place une wish list formelle : meilleure gestion du budget, priorités shopping très claires, pas de pertes de temps en magasin ou en ligne et pas d’achat impulsif !

–          Plus aucun vêtement ou chaussures asiatiques (je ne parle pas des baskets, qui sont hors sujet ici et dont je ne pense pas qu’il existe une usine de fabrication en Europe)

–          Plus précisément : j’achèterai exclusivement Made in Europe ou Turquie (pour les jeans uniquement). Je ne suis pas fixée sur le Maghreb. A ce jour, je n’ai aucun article fabriqué en Tunisie ou au Maroc. . Il me semble néanmoins que beaucoup de lingerie est fabriquée là-bas.

Rendez-vous en décembre pour découvrir les 32 pièces qui auront dégagé !

Bilans, Minimalisme

La liste de Tara

Tara Button a fondé le site « Buy Me Once », qui met en valeur des produits durables et dont l’achat est bien réfléchi.

Elle a aussi rédigé un joli article sur ce qu’elle a appris d’une année minimaliste, à lire ici en anglais.

Je trouve sa vision très intéressante, « insightful » pourrait-on dire en anglais.



Je n’ai donc pas pu résister à faire un petit post de commentaire sur la liste de Tara!
En gras, je fais la même chose.
Pas en gras, nous ne sommes pas d’accord.


Ce dont on n’a pas BESOIN – Let’s check the checklist!

Dans la cuisine:
Machine à pain
Gaufrier

pas plus de 4 casseroles
pas plus d’une poêle  
des tasses qui vont ensemble (matching mugs): j’aime bien avoir des choses assorties. Peut-être pas un service à thé complet
une machine à smoothie (OK, j’en ai une, mais je ne m’en sers pas)

Je rajouterais: 
– pas plus d’un robot ménager. C’est encombrant déjà. Et puis, on ne s’en sert pas souvent.
– une râpe (j’ai dégagé la mienne et elle ne me manque pas)
– des bocaux à cocktails (OK, c’est joli sur les photos, mais quelle galère à nettoyer la paille!)


Vêtements et accessoires
Montre (je n’en porte plus depuis décembre 2015 et je ne suis pas particulièrement en retard)
Pas plus de 8 paires de chaussures (chaussures de sport / sandales plates / chaussures d’hiver plates / tongs / chaussures à talon / bottes d’hivers /mocassins / chaussures confortables). Je n’ai pas encore exploré le sujet, mais je ne peux pas vivre sans bottines à talons pour l’hiver.
Pas plus d’une « capsule wardrobe »: Pour l’instant, c’est compliqué, je suis trop coquette.
 


Technologie
Console de jeu
Un ordinateur de bureau
Une ligne de téléphone fixe
des DVD
Un abonnement au satellite



Beauté, loisirs et meubles
+ de coussins
changer constamment ma déco
des bidules qu’on me donne et dont je n’ai que faire
des trucs de décoration qui n’ont aucune valeur pour moi
des décoration de fêtes
+ d’instruments de musique que mon piano et ma guitare (perso, je n’ai pas d’instrument à la maison. Mes jours musicaux sont derrière moi)   
+ d’équipements sportifs
magazines (si ce n’est professionnel): perso, je suis pour le zéro papier
des gadgets de massage, exfoliation ou pomponnage
rien d’autre que mes basiques maquillage: mascara, ombres à paupières, anticernes, rouges à lèvre et parfum. (je n’ai pas les mêmes)
rien d’autre que mes basiques cheveux: shampooing, après-shampooing et sérum: perso, shampooing solide et huile végétale et basta!
rien d’autre pour mes ongles que ma couleur préférée de vernis et du dissolvant: perso, j’ai encore un vernis et un dissolvant, mais je ne les renouvellerai pas. 

Garde-robe

Mes basiques à moi

Mes vrais basiques, ce qui me conviennent à moi. Car je ne me suis pas souvent retrouvée dans les listes des unes et des autres.
 
Dans n’importe quel cas: lavable en machine et se passant allègrement de repassage!  Mon temps est trop rare et trop précieux pour faire du lavage à la main ou sortir le fer à repasser du placard.
 
En bas:
– des jeans bruts, soit slim soit skinny mais surtout curvy. Mes fesses doivent rentrer et je dois le fermer sans me contorsionner. A l’usage, je n’aime guère le bootcut, sensé être un basique pourtant
– des pantalons noirs classiques, assez longs sur moi.
– une jupe noire juste au-dessus du genou (bien que je mette peu de jupes)
– des collants ou leggings opaques noirs
– des chaussettes basses en coton pour mettre dans des baskets
– des mi-bas dans des tons neutres: noir, gris, chair
– une paire de baskets de ville
– une paire de sandales dans un ton neutre à petits talons ou une paire de sandales à talons compensés
– une paire de tongs
– une paire de bottines noires si possible pas en cuir, à petits talons
– une paire de bottes noires si possible pas en cuir, à petits talons
– une paire d’escarpins dans un ton neutre, mais pas noir ex: beige
– des sous-vêtements sans couture, type culottes de course à pied (Kalenji forever!)
– un shorty ventre plat + un shorty pour mettre sous les jupes et les robes.
 
En haut:
– des tops manches longues ou à petites manches avec un décolleté soit V soit large, dans des tons marine, gris, rouge épice, kaki
– des débardeurs à bretelles larges dans des tons neutres ou assortis aux tops manches longues
– une chemise en jean (bleue ou grise)
– une marinière en laine à rayures bleues et blanches
– des pulls chauds pour l’hiver, à col V (les cols roulés, cela ne me va pas)
– une tunique un peu habillée (actuellement: bleu marine)
– quelques petites robes d’été colorées (en coton, faciles à vivre)
– une à deux robes de « soirée » dans un style classe, si possible qu’on puisse recycler au bureau avec une veste
– un blazer noir
– un gilet noir long
– un manteau d’hiver en laine gris anthracite ou bleu marine
– une écharpe épaisse qui aille avec le manteau
– des foulards pour égayer n’importe quelle tenue.
– des bijoux dorés
– une belle montre + une montre de sport
– un pyjama d’hiver
– une nuisette d’été
 
Sinon:
– un cabas qui passe pour le boulot et en dehors, évidemment pas en cuir
– une pochette de soirée
– un sac à dos pas trop grand pour ballade urbaine (et pas un pour le sport)
– un parapluie
 
 
Ce qui n’a plus sa place dans ma garde-robe quotidienne de parisienne de 35 ans:
– les T-shirts promotionnels (je n’en porte jamais ou alors pour déménager)
– les chemisiers (j’ai toujours détesté, çà fait mémère sur moi et çà demande du repassage)
– les pantalons colorés (au final, je ne les porte pas, trop difficiles à assortir, même en vert sapin ou marron taupe)
 
Ce que je peux garder pour le sport ou les vacances:
– le fluo
– le synthétique
– les tops en coton flashy

 

Minimalisme

Toujours sur la voie du "less is more"

Le printemps m’inspire: chaque dimanche, j’apporte un sac de vêtements ou de textiles au point relais. J’ai de plus en plus de facilité à me dire « je ne m’en suis pas servi depuis X temps » ou « je n’aime pas/plus » ou encore « j’ai fait une erreur, je n’aurais pas dû le laisser rentrer chez moi » et donc c’est direction le recyclage, le don direct ou la poubelle.

Grosse inspiration sur le blog « s’organiser, c’est facile ».

D’une part, avoir moins de choses chez soi, çà fait peur.

D’autre part, les 25 raisons de laisser un objet s’en aller.

C’EST TELLEMENT VRAI!

Je crois tout simplement que j’ai mûri et que j’ai moins peur de tout, parce que j’ai pris conscience que mes angoisses ne m’aidaient pas. Rien ne sert de lutter contre quelque chose qu’on ne maîtrise pas. En revanche, je maîtrise ce qui est chez moi et ce qui n’y est pas, donc je peux me rassurer sur ma capacité à être à l’optimum chez moi.




Défis, Journal, Minimalisme

L’essentiel, toujours l’essentiel…

Comme il est difficile de se débarrasser du superflu! J’y travaille, mais c’est une tâche de longue haleine. Voilà des mois que je m’y attèle, piochant notamment conseils utiles et astuces dans différents blogs.

Ce blog-ci a particulièrement retenu mon attention: http://sorganiser-facile.com/category/apprendre-a-sorganiser/
Sans concession, objectif, il reprend ce qu’on sait tous sans oser l’appliquer. Ce n’est que du bon sens, mais l’appliquer « pour de vrai » est bien difficile à la majeure partie des êtres humains, surtout aux vielles générations, qui ont tant besoin de se rassurer en possédant. Je les bien reconnus et ma mère en particulier, qui stocke, tel l’écureuil, des centaines, des milliers d’affaires, au cas où. Noisette pourrie? Noisette superflue? Tant qu’on a de la place, stockons, stockons… Qu’importe si on oublie dans quel trou ou dans quel arbre sont les noisettes…
Finalement, c’est sans doute cette rébellion contre mon éducation d’écureuil qui est le processus le plus douloureux, quoique le plus nécessaire.