Culture, Défis, Solo living

La vie est courte: Ma bucket list

S’il y a une chose que la vie m’a apprise ces dernières années est que la vie est courte et qu’il ne faut pas reporter indéfiniment ce qu’on a envie de faire, sous peine de ne jamais réaliser ses rêves et ses projets !

Pour mon voyage au Japon, initialement prévu au printemps 2020, je n’ai guère le choix que de patienter jusqu’à ce que la situation sanitaire soit clarifiée, mais pour d’autres choses, je peux commencer maintenant.

J’ai arrêté les cours d’allemand avec ma formation initiale en école de commerce et j’ai rarement eu l’occasion de le pratiquer. J’avais pourtant un bon niveau et j’aimais bien la langue. Ma maîtrise de l’anglais a balayé bien des choses sur son passage… Je nourris ce regret d’avoir perdu mes compétences de germaniste depuis une bonne dizaine d’années. C’est tellement dommage d’avoir investi tout ce travail pour rien !

Finis les regrets, place à l’action : j’ai donc googlé des cours d’allemand sur Paris et, une fois mon test de niveau fait (A2 à l’écrit, B1 à l’oral) je me suis retrouvée en cours du soir avec d’autres adultes dès la semaine suivante. Je n’ai pas eu le temps de me trouver des excuses pour reporter! 42 heures en présentiel et en distanciel sont prévues. Je pourrais peut-être même compter sur un financement de mon entreprise…

Parmi les autres projets que j’ai :

  • me remettre à l’italien (mes cours d’italien sont plus récents que mes cours d’allemand – je m’y suis mise après mes 30 ans, et j’essaye de garder mon petit niveau, mais les langues vivantes, ça se pratique !)
  • apprendre le chant lyrique (est-ce trop tard à mon âge ?)
  • apprendre la clarinette ou le hautbois (enfant, on m’a imposé la flûte traversière, que je n’aimais pas spécialement…)
  • visiter les musées d’Art Contemporain des villes que je visite
  • Courir un 10 kilomètres
  • Être classée en tennis 🎾
  • Publier un roman ou un recueil de nouvelles (sur Amazon Kindle Publishing, ce n’est pas si inabordable – un rêve d’adolescente à réaliser… pourtant ce blog compte presque 500 articles en 15 ans, mais ce n’est pas un livre!)

Et vous, quels sont les projets que vous souhaitez concrétiser ? Qu’attendez vous pour le faire ?

A la maison, Journal, Solo living

Rituels du dimanche

Quand je ne suis pas en vadrouille, ce qui n’arrive plus très souvent depuis le début de la pandémie, j’aime passer mon dimanche chez moi.

Photo de Ba Tik sur Pexels.com

Ma vie est rythmée par mon travail en semaine, avec deux jours de télétravail le mercredi et le vendredi. J’ai décidé d’aller marcher 30 minutes tous les matins au saut du lit pour renforcer mes routines. Le samedi est consacré aux activités extérieures: courses non alimentaires, cinéma, sorties culturelles. Le dimanche est consacré à mon intérieur.

Je commence souvent mon dimanche en regardant une vidéo d’Orlane sur sa chaîne Youtube « libre et sauvage ». Cela me procure un peu de chlorophylle depuis mon appartement de banlieue. Je vis un peu par procuration, je dois dire, mais je n’ai pas du tout la main verte et aucune envie de vivre à la campagne à plein temps!

Le Dimanche est le jour où je prends le temps pour tout : le petit déjeuner est plus tardif et plus copieux qu’en semaine, je fais le plus gros ménage (la litière, par exemple, ou la lessive de draps) et où je passe plus de temps dans ma salle de bains. Rien n’est plus agréable que d’oublier les horaires. Je me laisse porter par mes envies… Des fois, je reste devant ma télé, des fois je vais faire un tour… Je ne m’impose aucune contrainte. Cela me revigore avant d’entamer la prochaine semaine, car j’ai parfois un petit coup de pompe dit « syndrome du dimanche soir ».

Et vous, que faites-vous de vos dimanches?

Bilans, Journal, Minimalisme, Solo living

Dans le rétroviseur

J’ai commencé à bloguer il y a de nombreuses années. Bien sûr, le contenu a évolué avec mes changements de préoccupations et avec mon développement personnel. Ces articles reflètent à la fois les objets de mon passé mais aussi les relations humaines que j’ai pu nouées. Honnêtement, je trouve de moins en moins d’intérêt dans le passé, je suis plus absorbée par le présent et happée par l’avenir.

Il y a des sujets qui me semblaient de la plus haute importance à l’époque (cf la quantité astronomiques d’articles sur les cosmétiques) et qui m’indiffèrent complètement aujourd’hui. Cela ne me cause aucune émotion : c’est normal d’évoluer. Cela m’inquiéterait vraiment si j’étais la même personne qu’en 2007. À quoi bon vieillir si l’on apprend pas de ses expériences ?

Photo de Sound On sur Pexels.com

En fait, je trouve les vieux articles souvent marrants. J’ai recatégorisé tous les posts, en rajoutant des étiquettes et des illustrations. Je suis tombée sur quelques pépites qui m’ont bien fait rire. Des fois, je me prends pour un magazine féminin… Je pense que je me suis bien calmée depuis et que j’ai adopté un ton bien plus bienveillant! Et cette rengaine sur « quitter Paris« . 3 fois je suis partie, 3 fois je suis revenue. Il me faut accepter mon destin de francilienne d’adoption.

Il y avait beaucoup d’articles en mode « journal » pas toujours passionnants. Ce que j’en retiens est que j’ai bien fait de me tourner vers le minimalisme ! Qu’est-ce que j’ai passé de temps à acquérir, utiliser et me séparer de mes objets… Hallucinant ! Quelle perte de temps, rétrospectivement.

Et vous, si vous avez un blog, relisez-vous de temps en temps vos vieux articles ? Quelle est votre réaction ?

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4 trimestres de challenge « Cagnotte garde-robe »

Déjà 1 an de mon challenge « Cagnotte pour une nouvelle garde-robe ». Depuis le 1er juillet 2020, je mets de côté les sous que je récupère en ventes diverses et en cashback, bref, en petits revenus qui ne viennent pas de mon salaire ou de mes placements financiers (à l’exception des intérêts du livret où je loge ces ventes).

J’avais fait le point après 3 mois, après 6 mois et après 9 mois.

Perte de poids : toujours rien. De ce côté-là, je n’ai pas du tout commencé à atteindre le moindre objectif. Le trimestre passé a surtout été dédié à mon déménagement et emménagement, à gérer mes petits problèmes de santé et ceux de mon chat. Vraiment pas la tête à faire un régime plus sérieux.

Ventes Vinted : 2€ (plus grand chose dans le dressing)

Ventes Rakuten : 0€ (plus grand chose à vendre dans les placards)

Ventes autres: en l’occurence ebay: 61.25€: une chaise de bureau et une étagère

Autres rentrées d’argent non salariales ni commerciales (subventions du CSE pour mes vacances, cashback de ma banque pour avoir mis en place un virement automatique sur mon assurance vie): 0€

Cashback: 24.91€ – Le début de la fortune…

Total du trimestre: 88.16€ – soit un total de 2240.35€ depuis le début du challenge

Maintenant que ce challenge a pris fin, que vais-je faire? Et bien, mon emménagement m’a fait prendre conscience qu’un certain nombre d’objets n’étaient pas si utiles et nécessaires que çà. Mais aussi que j’avais pas mal de doublons.

Je poursuis donc mes efforts de désencombrement, même si l’espace dont je dispose aujourd’hui est plus grand que celui d’il y a un an. Compte tenu de mon déménagement, j’ai aussi dû racheter de nouveaux meubles, car je compte rester dans cet appartement longtemps et je veux investir dans des choses de qualité, qui me plaisent. Je sais, j’ai la bougeotte, mais quand même, un jour ou l’autre, on se calme.

Un certain nombre de meubles, de gadgets électroniques et de vêtements/sacs seront mis à la vente à la rentrée, afin de financer mes nouvelles envies de déco. Quant à l’aspect perte de poids, je m’y repencherais quand les conditions optimales seront réunies: moins de stress, une cuisine aménagée et équipée complètement (ces jours-ci, je campe, ou presque).

L’idée de ce challenge était séduisante, mais on ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie. En ce moment, je fais surtout ce que je peux!

Et vous, ça vous aurait dit de faire ce challenge?

Bilans, Garde-robe, Minimalisme, Perte de poids

9 mois de challenge « Cagnotte garde-robe »

Voilà 9 mois commençait mon challenge « Cagnotte pour une nouvelle garde-robe ». Depuis le 1er juillet 2020, je mets de côté les sous que je récupère en ventes diverses et en cashback, bref, en petits revenus qui ne viennent pas de mon salaire ou de mes placements financiers (à l’exception des intérêts du livret où je loge ces ventes).

J’avais fait le point après 3 mois et après 6 mois.

Aujourd’hui, j’accouche des résultats suivants :

Perte de poids : rien, nada, que chi. Merci le couvre-feu.

Encore des babioles débarrassées qui vont garnir la cagnotte

Ventes Vinted : 162.50€ (des vestes, car franchement, je n’en mets jamais, des boîtes en plastique, une chemise, un portefeuille… les babioles habituelles). Il ne reste plus grand chose en vitrine.

Ventes Rakuten : 18.34€ (un livre et un gaufrier) Honnêtement, il n’y a plus grand chose à vendre dans les placards dans la boutique non plus (1 livre + 1 radio, je vais peut-être rajouter des livres, ceux que je n’ai toujours pas lus depuis 2 ans…).

Ventes autres: J’ai vendu le lit empilable qui m’encombrait et une étagère, sur Ebay pour 115€.

Autres rentrées d’argent non salariales ni commerciales (subventions du CSE pour mes vacances, cashback de ma banque pour avoir mis en place un virement automatique sur mon assurance vie): 0€

Total du trimestre: 295.84€ – soit un total de 2152.19€ depuis le début du challenge

Verdict: j’ai beaucoup vendu en 2020, et je n’ai pas acheté tant de choses que çà. Enfin si, quand même, car j’avais pris un abonnement Amazon Prime. J’ai eu la carte bleue facile pendant un temps, sauf que ce sont des choses que j’ai très majoritairement gardées et non pas revendues peu de temps après. Le niveau de ma garde-robe est à son plus bas depuis des années, voire des décennies. Il me reste une quinzaine de livres dans un tiroir, je fais tourner 5 sacs de ville (probablement trop), l’électronique a été optimisée (même si peut-être encore quelques efforts à faire), bref, plus grand chose à mettre en vitrine! Aurais-je atteint mon Graal minimaliste?

Pour le prochain trimestre, je m’attends à encore faire du vide et j’espère des ventes, dans l’optique de déménager léger! Ensuite, puisque je déménage dans plus grand, je risque de racheter des meubles, qui seront adaptés à mon nouvel espace. Le fruit de mes ventes ne sera pas consacré à ma garde-robe, car honnêtement, je n’ai pas besoin de plus. Je ferai à nouveau le bilan dans 3 mois!

Et vous, ça vous tente, ce challenge cagnotte pour financer un projet particulier?

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Le challenge minimaliste de mars et avril 2021: vaincre la paperasse

Les challenges de janvier et février 2021 ont été très gentillets. Il est temps désormais que j’affronte ma bête noire: les papiers !

De toutes les tâches qu’un adulte se doit d’accomplir, c’est celle que je déteste le plus. Je préfère faire les vitres plutôt que de m’attaquer au rangement de mes papiers. Certes, la digitalisation croissante m’a grandement soulagée de ce fardeau (mes classeurs d’extraits de compte papier ne me manquent pas) mais j’ai encore de la paperasse à gérer, de façon physique et numérique.

Le challenge est si grand pour moi que je vais y consacrer 2 mois : trier les papiers, numériser et ranger ce qui doit l’être et détruire ce dont je n’ai pas besoin.

Pas mes classeurs. Peut on rêver de classeurs?

J’imagine que je ne suis pas la seule personne à détester m’occuper de ma paperasse. Heureusement pour moi, je suis globalement à jour de ce que je dois faire, je gère beaucoup par prélèvement et j’évite les découverts. Mais je rechigne toujours à m’occuper de mes papiers. Je préfère changer la litière des chats, laver les draps, faire deux heures de meal prep, plutôt que de ranger ces fichus papiers.

Et vous, quelle est votre bête noire en tant qu’adulte ?

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Bilan du challenge désencombrement de l’équipement de cuisine

Force était de constater que ma volonté de perdre du poids, et donc de cuisiner sainement, m’a fait faire des achats pour ma cuisine. Puisqu’une grande partie de la réponse au surpoids est dans l’assiette, j’ai eu à cœur de m’équiper correctement afin de pouvoir préparer tout ce dont j’ai besoin pour atteindre mon objectif. L’excuse rêvée pour faire du shopping compulsif.

Mais les gadgets, c’est comme les sucreries, il faut les limiter. Mon challenge de ce mois de janvier 2021 était donc de faire faire une cure minceur à mes placards. J’ai donc débarrassé 59 bidules de cuisine et je n’ai gardé que les outils préférés (je crois que je peux encore faire davantage de tri, mais je referai le bilan dans quelques mois).

Voici ce qu’il reste après tri
J’ai encore largement de quoi faire ! Aucun risque que ce que j’ai débarrassé me manque !

J’ai donc donné à la ressourcerie. J’ai également mis en vente des récipients plastique pour pique niques et autres lunchbox inutilisés sur Vinted.

Des doublons et des objets dont je ne me servais pas, ou pas suffisamment pour justifier la place prise dans mes tiroirs et placards

Cela fait du bien, tout ce tri!

Et vous, avez-vous des placards de cuisine remplis comme les miens ? Voulez-vous faire du vide ?

Garde-robe, Minimalisme, Santé

Les réseaux sociaux m’ont pompé trop d’énergie

Alors je suis en train de les remettre à leur place: secondaire. De vrais voleurs de temps. Oui, c’est pratique pour garder contact, enfin, avec ceux qui jouent le jeu. Vu le nombre de personnes qui se connectent juste pour épier autrui, sans jamais rien partager, soit un nombre non-négligeable de mes amis.

Finalement, qu’est ce que ça m’apporte ? Dans ce Ted Talk, un professeur américain (Cal Newport) explique très bien que nous n’avons pas besoin des réseaux sociaux dans notre vie. (après, c’est un homme marié, alors sa femme fait probablement une mission de lien social qu’il n’imagine pas forcément).

Je l’ai appris bien récemment à mes dépens. Je ne parle pas des confinements de 2020, qui m’ont bien isolée du reste de la planète, comme tout un chacun, mais d’un événement plus intime. J’ai subi une petite opération chirurgicale, et en conséquence, je l’ai partagée après sur Facebook. Je voulais juste un peu de « love » et j’ai finalement eu zéro réaction à mon post, même pas un like. Les gens n’aiment pas les mauvaises nouvelles, les gens n’aiment pas les maladies, même quand elles ne sont pas contagieuses. J’aurais dû le savoir. A la douleur physique s’est ajoutée la douleur mentale devant cette indifférence total de la part de ma centaine d’amis officiels. De quoi se remettre les esprits en place.

De plus, je supporte de moins en moins les publicités présentes entre deux posts (j’ai conscience que ce blog WordPress n’est pas exempt de publicités car j’utilise pour le moment une version gratuite, donc forcément financée par des annonceurs, que je ne choisis pas, en plus). Les pubs Youtube sont vraiment atroces. Pire que sur M6. Merci aux quelques chaînes non monétisées… Parce qu’il faudrait débourser 12€ par mois pour ne pas donner son espace de cerveau disponible à Google via Youtube.

J’ai trouvé d’excellents conseils dans cette vidéo plus longue avec le même intervenant: ne pas avoir d’applications de réseaux sociaux sur son téléphone portable par exemple. C’est décidé, ces voleuses de temps ont toutes été effacées du mien!

Pour autant, j’utilise encore les réseaux, mais de manière plus professionnelle, c’est à dire uniquement sur mon ordinateur portable, quane je suis assise à un bureau, avec un clavier. Pas dans le bus, pas en me couchant.

Petite revue des réseaux que j’ai utilisés:

Twitter: Membre depuis 2009 sur mon compte principal. Je me suis fait insulter un certain nombre de fois par des inconnus ne partageant pas mon opinion. Milieu toxique. Plus d’une fois j’ai désinstallé l’application. C’est dommage, j’y trouve des gens spirituels et drôles. Mais trop de trolls. Mon compte Peony est là: elodiepeony – mes nouveaux articles de blog s’y partagent automatiquement.

Facebook: Membre depuis 2007. Compte obligatoire pour débloquer d’autres services : WhatsApp Messenger, Instagram… Une période de quelques semaines sans ne me ferait pas de mal. Mes amis n’y postent rien ou presque. Mais c’est essentiel pour garder des contacts avec mes amis internationaux. Donc, à conserver et à utiliser avec modération.

Instagram:Membre depuis 2015. J’ai mis du temps à comprendre l’intérêt puis c’est devenu addictif. Moins de trolls que sur Twitter, puisque c’est surtout un medium d’images. Ma page Peony est là: Elodie Peony – pareil que Facebook: ne suivre que des comptes qui apportent de la valeur et ne pas lire les commentaires, surtout ne pas lire les commentaires.

Pinterest: c’était un concept intéressant au début, pour garder trace de mes achats sur Internet; désormais, c’est un ramassis d’articles pas intéressants entre deux pubs. Trop de perte de temps, pas de valeur. Pas impossible que je supprime complètement. Mon compte Peony est là: Elodie Peony.

LinkedIn: présente depuis 2006, assez incontournable pour la gestion de carrière. Idéal pour garder contact avec d’anciens collègues, pas en mode Facebook. Pour autant, c’est aussi devenu un puits sans fond d’articles, de commentaires, de trolls. Evidemment, je vais garder, car j’y ai une vraie communauté et j’en tire une réelle valeur. Passer moins de temps dessus ne me nuira pas, je pense. J’y suis suffisamment présente (plus de 2500 connexions) pour que l’investissement en temps soit rentable en visibilité et en potentiel de carrière.

Les presque réseaux sociaux, où je gaspille du temps à lire la vox populi: YouTube, The Guardian…

Résolutions pour 2021, au delà du no buy: ne plus lire les commentaires, c’est un puits sans fond

Si quelqu’un connait un réseau social sans pub, je suis preneuse !!

Bilans, Garde-robe, Perte de poids

Cagnotte « garde-robe », le point après 6 mois.

Depuis le 1er juillet 2020, je mets de côté les sous que je récupère en ventes diverses et en cashback, bref, en petits revenus qui ne viennent pas de mon salaire ou de mes placements financiers (à l’exception des intérêts du livret où je loge ces ventes).

Des babioles vendues sur Vinted

Il y a 3 mois, la cagnotte se montait à : 836.22€. J’étais déjà très satisfaite de ce résultat.

Ces 3 derniers mois, j’ai obtenu les résultats suivants :

Perte de poids : zéro. Je suis revenue au point de départ. Je ne me décourage pas pour autant. J’ai eu besoin d’ajuster mon rythme de vie à cause de quelques petits soucis de santé.

Ventes Vinted : 287.07€ (encore des sacs, des vêtements et autres objets non utilisés, surtout des pulls col V, que je ne porterai pas avant un sacré moment et aussi mes cachemires) – Je garde le compte ouvert et actif pour vendre à la fin de mon challenge les vêtements de bonne qualité qui ne m’iront plus à cause de ma robuste perte de poids (oui, je rêve encore un peu).

Ventes Rakuten : 626.90€ (j’ai vendu un Robot Kitchenaid Artisan qui m’encombrait et que je n’utilisais pas, 2 radios, 2 téléphones portables, 1 casque audio et 2 accessoires pour robot Magimix, reçus avec une offre promotionnelle et dont je ne me servais pas.

Au delà de ces ventes, j’ai aussi vendu, pour 494.70€, 2 ordinateurs portables dont je ne me servais plus afin de financer ma Microsoft Surface, trouvée en promo à 1000€ au lieu de 1700€ au moment du Black Friday. Des années que je louche sur une Surface. Je trouvais que ce n’était pas juste de financer une garde-robe avec des ventes qui finance un remplacement de matériel. J’ai encore un Surface Laptop à céder. Ce que je ferais le trimestre prochain, quand j’aurais trié mes données (documents, musique et photos) – ce qui financera le delta, a priori. Je voulais la Surface et non la Surface Laptop. Comme quoi, il vaut mieux prendre l’original que l’inspiration. Et je suis ravie de ma Surface!

Autres rentrées d’argent non salariales ni commerciales (subventions du CSE pour mes vacances, cashback de ma banque pour avoir mis en place un virement automatique sur mon assurance vie): 100€ de la part de Boursorama (vraiment une bonne banque selon moi!)

Cashback : pas d’encaissement ce trimestre sur igraal, car je n’ai pas atteint le plancher.

Intérêts du livret d’épargne sur lequel j’ai transféré mes ventes petit à petit pour les isoler du reste de mes revenus et économies (30€ étaient déjà sur ce compte sur livret à faible rendement de Boursorama): 0,13€ après prélèvements sociaux. Ça ne va pas chercher loin.

Soit un total trimestriel de 1020€ – pas mal du tout!

Total depuis le début du challenge: 1856,35

Verdict: J’ai pas mal vendu en 2020, alors que je pensais naïvement avoir bien vidé mes placards et ne pas m’être ré-encombrée depuis mon retour en France. J’ai eu tort, la nature a horreur du vide. Il me reste encore beaucoup de poids à perdre, donc le challenge va durer encore 2 trimestres minimum. Je vais souvent le tour de chez moi pour trouver des articles à débarrasser, mais je crois que je suis quand même pas loin du bout de ce que je peux faire! Mais on n’en finit jamais de désencombrer, non?

Et vous, avez-vous des résolutions de bonne année qui vont dans le même sens que les miennes?

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La femme Prosecco, et moi?

Cet article du Guardian m’a fait réfléchir, en ces temps de cadeau obligatoire. Voilà des années que je ne fais plus de cadeau et que, surtout, je demande à ne pas en recevoir ! Pas besoin de grand chose, horreur du bazar qui traîne, cadeau à côté de la plaque… J’en ai déjà parlé .

Dans cet article, pour ceux qui ne comprendraient pas l’anglais, l’auteure constate qu’elle reçoit des cadeaux sur le thème du Prosecco, ce vin italien, plus abordable que le champagne, très populaire dans les Îles Britanniques : bouteilles, t-shirts, mugs… Elle se demande si finalement, « Prosecco » n’est pas devenu un type de personnalité, sa personnalité. Évidemment que non, mais elle vient de réaliser que ce que ses proches connaissent d’elle, c’est son goût pour ce vin, mais pas vraiment grand chose d’autre. Aïe.

Voilà des années que les cartes qu’on m’adresse des cartes à thème »chat », donc je comprends ce qu’elle peut ressentir. Bien sûr, j’adore les félins, mais pour autant, j’aime bien d’autres choses dans la vie: l’art contemporain, le théâtre, la musique latino, la salsa, les voyages etc. Mais finalement, ce que mes « proches » retiennent de ma personnalité, c’est que je suis une « crazy cat lady ».

C’est dur de se le prendre en pleine face, mais force est de constater que mes goûts et ma personnalité ne doivent pas transparaître plus que ça… Encore une fois, je ne souhaite pas de cadeau. C’est juste que ça m’embête d’être perçue uniquement sous le prisme de mon amour pour les chats, je suis tellement plus que çà!

Et vous, recevez-vous des cadeaux et cartes sur le même thème ? Êtes vous plutôt chats ou Prosecco?

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Revue de régimes -N°0 : introduction

J’aimerais tellement que l’histoire soit différente, mais c’est comme ça… Depuis l’enfance, on m’a fait comprendre que j’étais « rondelette ». C’est sûr que j’avais des bonnes joues, mais quand je regarde les photos, objectivement, je n’étais pas grosse, j’avais une physionomie tout ce qu’il y a de plus normale, si ce n’est que j’étais grande pour mon âge. Jusqu’à la classe de cinquième, ma croissance s’étant interrompue à 1m73, j’ai toujours été parmi les plus grands, on me donnait facilement un ou deux ans de plus, voire davantage (« non, je n’ai pas encore eu les résultats du bac, je passe mon brevet l’année prochaine »).

Évidemment, l’adolescence a été difficile comme pour la majorité des filles. Ma croissance s’est fort logiquement arrêtée et j’ai pris des formes de femme, mais assez progressivement, je dois dire. Alors que je faisais de la danse classique (honnêtement, j’étais dans les normes pour une jeune fille de ma taille, ni mince ni grosse), on m’a abondamment reproché mon physique trop « fort’. Curieusement, j’ai arrêté la danse. Et la gym. Et je me suis mise à détester le sport. Mes profs de sport ont également joué dans cette aversion, certains donnant plus dans le sadisme que dans la bienveillance. J’aurais donné n’importe quoi pour en être dispensée, tellement je détestais aller en cours de sport. En famille, nous n’avions pas d’activités physiques, à peine une promenade par-ci, par-là. Mes parents n’ont jamais été sportifs, du coup, ce n’est pas dans notre culture d’aller se bouger les fesses.

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J’ai eu des profs assez déplaisants dans l’ensemble. Du genre à se croire tout permis parce qu’ils étaient PROF et ADULTE. J’ai vraiment très peu appris avec eux sur l’activité physique en général. C’est bien plus tard que j’ai compris comment cela fonctionnait… Et c’était donc trop tard pour prendre de bonnes habitudes et intégrer le sport dans mon rythme de vie.

Entre ce prof qui m’a fait faire de l’athlétisme en chaussures de ville (j’avais oublié mes baskets ce jour-là), et l’autre qui nous regardait courir sur la piste glacée sous la neige, bien au chaud dans son cabanon. En fait, non c’était le même que j’ai eu la malchance de me coltiner plusieurs années. Un authentique connard. Une année, j’étais dans la classe de son fils, pareil, un connard. Les chiens ne font pas des chats. Dans le lot, j’en ai eu 2 bien, bienveillants, à expliquer ce qu’il fallait faire et comment ils notaient. Les autres avaient décrété que j’étais nulle et ne faisaient rien pour me motiver. J’ai même perçu quelques pointes de sadisme. Certains ne devraient pas être profs, s’ils ne sont là que pour leur chèque de fin de mois et pas pour encourager leurs élèves.

Evidemment, quand je suis devenue adolescente, ma mère est devenue encore plus toxique qu’avant, me faisant faire n’importe quoi, ne m’écoutant jamais. C’est bien simple, quand je la contredisais (parce que j’étais éduquée et elle pas), sa réponse était « ça se passe mal à l’école? ». Et bien, non, pas toujours. J’ai eu mon lot de bizutage, mais l’avantage d’être parmi les plus grands et costauds, c’est qu’on ne vous emmerde pas bien longtemps. Des parents à l’écoute et bienveillants et surtout bien informés m’auraient été plus utiles que les guignols qui en ont fait l’office. Ils n’ont pas été à la hauteur. Jamais, en fait… Comme si avoir des enfants n’étaient qu’une charge pour eux. Pourquoi en ont-ils fait trois, alors que, objectivement, ils s’en désintéressaient complètement? Allez savoir.

Bref, je m’égare. Il s’agit d’un article introduisant tous les régimes que j’ai pu faire dans ma vie. C’est néanmoins important de commencer par la genèse: une famille dysfonctionnelle et mal éduquée sur le sport et la nutrition. Ce qui donne une vie ponctuée de stress, de prise de poids, de prises de bec…

Aujourd’hui : à 40 ans, je n’ai toujours pas trouvé mon poids sain. Je suis médicalement obèse. Pas merci, maman, pas merci, papa. Ce n’est pas tout à cause de vous, je prends ma part de responsabilité, mais vous n’avez pas été d’une grande aide.

Ceci est le premier article de ma série sur les régimes. C’est hélas une longue série. Qui risque d’être déprimante, mais j’ai envie de me donner le temps de raconter mon cheminement, tout aussi important que le véganisme ou le minimalisme. On en vient à chercher des solutions parce qu’il y a un problème, pas pour se faire mousser.

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« No buy challenge » des vacances

Au gré de mes aventures minimalistes, j’ai déjà bien réduit le contenu de mes placards: vêtements, cosmétiques, maquillage, affaires de sport, livres… J’ai encore du boulot dans ma cuisine (ustensiles/robots/garde-manger) mais je crois que je n’ai jamais eu aussi peu de choses chez moi, sauf peut-être quand j’étais étudiante, et encore, j’avais encore une chambre pleine d’affaires (ne me demandez pas quoi, je n’en ai plus aucune idée) chez mes parents.

Je me suis rendu compte que les vacances ont souvent été l’excuse d’une multitude d’achats: bagages, vêtements, équipements de sport, médicaments etc. S’il est plutôt positif de faire l’inventaire chaque année de ce qui traîne dans ses placards, je me désole de retrouver des choses que je n’utilise qu’en vacances. Je ne parle pas d’un adaptateur pour une norme différente de la France, mais par exemple, de pantalons de randonnée, de sandales pour aller dans l’eau etc.

Partir loin de chez soi et faire des activités non habituelles génèrent des dépenses, c’est certain. Mais avoir des choses qui ne me servent qu’une seule fois dans l’année au maximum m’agace. C’est pourquoi cette année, alors même que les stocks sont au plus bas, j’ai décidé de me lancer ce challenge : ne rien acheter pour les vacances à la montagne. Je ne prévois pas de trek ni de camping, je n’ai donc pas besoin de toute une palanquée d’objets qui ne me serviraient que pour çà.

Pour avoir passé pas mal de temps le nez dans mes placards, traquant le moindre article pouvant alimenter ma cagnotte « nouvelle garde-robe », j’ai confiance en mon intuition. J’avais 6 soutien-gorge de sport : 4 feront très bien l’affaire (et sans doute 2 d’ailleurs). J’avais beaucoup d’affaires que je ne peux plus mettre car j’ai trop grossi: pantalons de randonnée, T-shirts de sport. Ils sont partis sur Vinted, pour une bouchée de pain, mais j’ai moins mauvaise conscience puisqu’ils n’encombrent plus mes tiroirs. Je les avais acheté il y a 10 ans pour la plupart, donc ils ont été plus qu’amortis.

Je vais m’en remettre à ce qui me va aujourd’hui: des caleçons un peu extensibles, des hauts larges. Je ne compte pas conserver ma circonférence actuelle, donc pas d’investissement prévu en garde-robe avant un bon moment (je fais même un petit challenge sur le sujet en ce moment).

J’emmènerai ce que j’ai actuellement dans ma trousse de médicaments (je passe mes vacances en France, il y aura toujours une pharmacie pas loin en cas d’urgence), de toilette (j’ai encore du stock pour tout ce dont j’ai besoin) et autres. A priori, je ne vais pas emmener pléthore de paires de chaussures, ce sera pas mal de choses à usage multiple.

Voyager léger : le top!

J’avoue que mes chaussures de randonnée ne me servent qu’en vacances. Je les ai achetées il y a 3 ans, elles ont encore beaucoup de vie en elles. Je suis également largement équipée en sacs de randonnée et de voyage. Il fut un temps où j’en avais 2 de plus: un qui me faisait mal au dos et un de 38 litres, pour les treks de plusieurs jours. J’ai revendu les deux. Je ne me vois pas faire de trek à l’avenir et je ne conserve pas les choses qui ne me conviennent pas. J’ai donc un sac à dos de randonnée à la journée de chez Decathlon, qui fait une vingtaine de litres et qui m’a coûté une dizaine d’euros. Non seulement je l’embarque en randonnée pendant mes vacances, mais il me sert aussi quand je pars en weekend. Il est léger et pratique, je n’ai besoin de rien d’autre. Je l’ai rentabilisé et je compte l’utiliser le plus longtemps possible.

Et vous, dépensez-vous beaucoup pour ce que vous emmenez en vacances ?

A la maison, Garde-robe, Minimalisme, Solo living

1 in, 1 out… Ou encore mieux : 1 out, 0 in

J’ai beaucoup lu ici et là l’importance de ne pas laisser rentrer chez soi trop de choses. Et pour se discipliner, quoi de mieux que de s’astreindre à cette bonne vieille règle de « 1 qui rentre, 1 qui sort » afin de de pas être submergée par ses possessions.

Pour moi, c’est du bon sens. On ne se verrait pas garder son frigo quand on en acquiert un nouveau (généralement, on attend que le premier soit en bout de course), cela devrait être pareil pour son inventaire nécessaire et suffisant. Le frigo est lourd et imposant, c’est assez évident, mais cette règle devrait d’appliquer pour des objets plus petits: vêtements, chaussures, livres, etc. #sololiving.

Cette règle permet d’éliminer les doublons : quand on achète une nouvelle paire de bottines noires, la précédente paire de bottines noires doit partir. Qui a besoin de 2 paires de bottines noires ? Nous n’avons que 2 pieds par personne, au maximum.

Au quotidien, j’applique instinctivement cette règle et je commence fréquemment par « 1 article qui sort » plutôt que par « 1 article qui rentre ». Ce qui m’amène à pratiquer le désencombrement en vertu du « 1 out, 0 in ».

J’aime réfléchir à ce dont j’ai besoin et ce que je consomme vraiment. J’ai grandi dans une famille d’accumulateurs et j’ai eu du mal à me débarrasser de certains réflexes, dont le fameux « on garde au cas où ». C’est ainsi que mes parents vivent dans un placard géant de 160 mètres carrés où on ne retrouve jamais rien et où on rachète des choses qu’on a déjà, faute de remettre la main dessus quand on en a besoin. Et c’est aussi une maison où les enfants ont très peu vu leur mère, trop occupée a ranger la cave et à parler à ses plantes. Curieusement, cette mère n’a pas construit de relations durables avec ses enfants à l’âge adulte… C’est bien sûr la faute des enfants, ces ingrats.

Exemple de ce que ma mère faisait pendant ses week-ends: remuer de la poussière.

Dans mon placard, j’ai une robe bleue à fleurs qui me va bien et que je garde pour les occasions ( mariages, baptêmes, etc), qui est un parfait exemple de dilemme de « au cas où ». Je l’ai achetée il y a plusieurs années, pas trop cher. Elle me va toujours malgré les fluctuations de poids. Elle fait trop « habillée » pour la porter au travail. Résultat ? Je ne l’ai mise qu’une seule fois : pour le baptême de mon neveu. Elle serait idéale « au cas où » l’occasion se présenterait. Sauf que je n’ai aucun mariage ni baptême de prévu dans un futur proche ou lointain. Tous mes amis sont mariés et je ne fréquente pas les baptêmes de leurs enfants (qui sont déjà tous à l’école).

Cette robe est donc dans ma penderie et je ne l’utilise pas. Il est clair que quand je m’en séparerai, je ne la remplacerai pas par une autre robe « habillée ». Elle sera donc un exemple de « 1 out, 0 in » le temps venu. Je vais attendre l’été prochain pour prendre ma décision. Et si je n’ai pas eu l’occasion de la porter alors qu’elle le mérite, je la mettrai en vente sur Vinted. Peut-être même que je prendrais la décision avant ce délai.

Et vous, ça vous arrive de faire vraiment du vide?

Bilans, Garde-robe, Perte de poids

Une carotte sans bâton

Pour entamer ce semestre sur un projet un peu sympa, j’ai décidé de me lancer un défi !

Même si j’ai bien minimisé ma garde-robe, et que j’en suis satisfaite, j’ai besoin de perdre du poids et donc, j’aurai besoin d’ajuster mes fringues. Je ne peux pas conserver des vêtements qui sont trop grands, ce serait une invitation à reprendre du poids et à anéantir tous mes efforts.

Histoire de contrôler les dépenses prévisibles, je vais économiser, a compter du 01er juillet 2020 toutes les sommes que je vais réunir grâce à des ventes (Vinted ou Rakuten essentiellement) et du cashback (igraal essentiellement aussi) pour financer mon futur look.

Je vais placer sur un livret l’ensemble de ces gains et on verra bien dans 6 mois ou 12 mois le montant que j’aurai atteint.

Et vous, quel est vôtre défi du moment ?

Bilans, Garde-robe, Journal, Minimalisme

Fin du projet « Garde-robe épurée »

Collect moments, not things. That’s why I did not buy this top!

J’avais 5 articles en vente et 5 articles à donner fin novembre. Où en suis-je aujourd’hui ?

  1. Out (ou pas ?)

Un article en vente (petit sac de soirée très mignon, mais que je n’avais jamais mis) a été réintégré, car je lui ai enfin trouvé une utilité. Il présente très bien pour les « Christmas Parties ». Je compte aussi aller à d’autres événements et l’utiliser. Ce sera mon petit sac de soirée.

Et bien je confirme que les dons sont bien partis. J’ai même donné bien plus que ce que je pensais !

Sont partis au don, au-delà des 5 pièces déjà identifiées :

  • 2 robes (une trop courte et l’autre dont le tissu n’était pas de bonne qualité)
  • 2 débardeurs (j’en ai suffisamment et je souhaite virer le « Made in Bangladesh » de ma garde-robe)
  • 1 T-shirt rouge, très peu cher, que j’ai beaucoup mis et dont les boutons faisaient trop cheap (il a été plus que rentabilisé)
  • 2 pulls en cachemire (un gris trop grand et un beige que je n’aime pas vraiment car il est un peu tristounet sur moi)
  • 1 petit sac vert en cuir qu’on m’avait donné, mais qui ne me plaisait pas
  • 1 top en coton blanc manches longues trop décolleté

Je dois encore élaguer côté gilets, ce n’est pas raisonnable d’en avoir 14 ! J’en porte beaucoup, certes été comme hiver, mais là, çà en fait beaucoup trop. Raisonnablement, 10 devraient faire le job.

Dans la catégorie « Ventes », j’ai rajouté 2 autres sacs, espérant leur trouver un nouvelle maison contre monnaie sonnante et trébuchante et j’avais déjà vendu 2 sacs avant Noël et donné un qui ne se vendait pas depuis des mois.

  • In

J’ai fait rentrer ces nouvelles pièces :

  • 1 petit cabas en faux cuir cognac
  • 1 sac bandoulière rouge

Le sac rouge est une horreur au niveau de la fermeture. Il n’a pas coûté cher et il fera partie du prochain gros désencombrement. Je l’ai acheté en ligne et très sûrement, je ne l’aurais pas acheté en magasin. Je le porterai pour l’amortir, mais vraiment, quelle déception !

  • Soon to be in

Avec tous ces mouvements, j’ai dû créer une wish list car des morceaux importants manquent ! Plus précisément. J’ai des écharpes et un chapeau d’hiver qui ne vont pas avec mes manteaux et l’un de mes manteaux est en train de se désagréger. Donc la wish list vient combler ces manques, à temps pour les soldes d’hiver :

  • Un manteau long navy, fermant avec un zip, longueur genou
  • Un bonnet/chapeau rouge épice
  • Une écharpe rouge épice
  • Un bonnet/chapeau navy
  • Une écharpe navy

J’use aussi trop vite mes pantalons et mes jeans, je dois donc étoffer le contingent avec :

  • Un pantalon d’hiver bleu marine ou anthracite
  • Un jean brut

Voilà des choix rationnels et j’espère de bons investissements pour l’avenir.

Une fois que j’aurais trouvé ma wishlist, vont dégager :

  • Une écharpe noire, crème et rose pâle
  • Un manteau kaki et navy
  • Un chapeau d’hiver noir
  • Bilan des « In » et des « Out »

Alors, avec tous ces mouvements, où en est-on côté chiffres ?

Au total, j’ai 144 pièces, réparties comme suit :

Catégories Nombre de article
Blouse 13
Chapeau 2
Chaussures de ville 8
Chaussures d’été 3
Chemise manches longues 1
Combi 2
Débardeur 11
Echarpe 3
Foulard 9
Gants 2
Gilet 14
Hoody 2
Jupe 2
Maillot de bain 2
Manteau demi saison 2
Manteau d’hiver 2
Manteau imperméable 1
Pantalon 4
Pull manches longues 10
Sac de ville 12
Short 1
Top manches Courtes 9
Top manches Longues 10
Veste 3
Robe Formal 3
Robe cocktail 2
Robe Casual 7
Jean 4
Total général 144

Bilan des courses : 150 articles est un montant qui me semble largement suffisant pour couvrir mes besoins tout au long de l’année 2019. Je vais peut-être descendre durablement l’objectif à 140 pièces. Il y a encore des articles en vente, donc dont je n’ai manifestement pas besoin.

Pour les achats de la wishlist, je fouinerai d’abord sur le marché de l’occasion. Ensuite j’envisagerais les magasins conventionnels. Et surtout, pas d’achat en ligne sans avoir essayé au préalable ou sans connaître précisément comment taille la marque. C’est pénible de renvoyer des vêtements qui ne vont pas, surtout depuis l’étranger.

  • Budget Fringues 2019

J’envisageais un « no buy » pour cette année, mais je suis en train de perdre du poids, je risque donc d’avoir besoin de nouvelles affaires à ma taille. Donc, je ne veux pas me mettre des bâtons dans les roues.

J’appliquerai la règle du « un qui rentre, un qui sort » et j’ai calculé mon budget sur la base des règles suivantes :

  • Pas d’affaires spéciales loisirs ou weekend, donc soit j’utilise mon inventaire de sport, soit je remets mes fringues de la semaine le week-end
  • Le « cost per wear » de mes vêtements doit descendre sous l’euro.
  • Je ne vais pas renouveler ma garde-robe à plus de 50%
  • En faisant la moyenne du nombre de pièces que je porte l’été (5) et l’hiver (9)

On arrive au calcul suivant = (5€ par jour x 5 mois de l’année x 20 jours ouvrables par mois + 9€ par jour x 7 mois de l’année x 20 jours ouvrables par mois)/2 car je réutilise des vêtements des années précédentes = 880€

Pour rappel, mon budget de 2018 s’était établi à 1538€ pour 84 articles dont 17 (soit 19.5%) sont sortis avant la fin de l’année, pour une valeur de 137€ (8,9%).

L’objectif est donc d’acheter moins (budget en baisse de 43%) et mieux (contenu de la wishlist uniquement) et de ne plus gâcher mon argent et mon temps en shopping.