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Mon ménage de printemps 2024

Les années se suivent et ne se ressemblent pas. Si on m’avait dit l’année passée que je serais en recherche d’emploi, clouée chez moi à postuler en ligne à des jobs pas très intéressants… Je crois que je l’aurais cru, car j’ai bien conscience du type de monde dans lequel nous vivons et du secteur d’activité dans lequel j’évolue. Mais quand même, çà pique.

Je ne comptais pas déménager cette année, sauf opportunité merveilleuse ailleurs. Mais clairement, je ne m’attends pas à ce qu’on vienne me chercher pour çà.

Donc, je suis toujours dans mon 3-pièces de 62 mètres carrés avec balcon, parking et ascenseur, cuisine séparée, toilettes séparées et d’un point de vue immobilier, je devrais être parfaitement heureuse… J’ai vraiment de la place pour moi et les chats.
Et pourtant, je me plains constamment de devoir toujours tout nettoyer, ranger, maintenir, c’est très fatigant.

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Plus le temps passe et plus que je me dis que je devrais emménager dans plus petit et me simplifier la vie. Le virus du minimalisme me reprend, par période, même si parfois il devient un piège: je n’ai toujours pas de décision définitive sur le nombre d’objets que je devrais avoir chez moi. J’ai encore fait du gros désencombrement récemment. Ayant (involontairement) du temps devant moi, j’en ai profité pour lancer des centaines d’annonces sur le Bon Coin, Vinted et autres Rakuten.

L’arrivée du printemps m’a incitée à:
– identifier les vêtements que je n’ai pas portés cet hiver (comme ce manteau gris qui peluche et qui fait plus négligé qu’habillé)
– faire la revue de ma garde-robe printemps-été et voir ce qui ne me convient pas maintenant (doublons, vêtements en mauvais état, mauvaise taille etc)
– mettre de nouvelles annonces sur Vinted
– faire le tour de mes placards
– mettre de nouvelles annonces sur le Bon Coin
– regrouper ce qui ne s’est pas vendu dans un délai raisonnable et l’apporter à la ressourcerie du coin

Une fois qu’un peu de vide a été fait: NETTOYER!! Je n’aime vraiment pas çà et très honnêtement, la tentation d’avoir une femme de ménage quand je serai à nouveau active est très présente

Et vous, êtes-vous adeptes du ménage de printemps?

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Le bilan d’un mois sans Réseaux Sociaux

Agacée de passer des heures chaque jour sur des réseaux sociaux tels que Tiktok et Instagram, j’avais décidé de supprimer ces applications de mon téléphone et de mes tablettes. Pendant ce mois de mars 2024, j’ai donc essayé de me sevrer de cette pratique, que je qualifierais d’addictive.

Ai-je vraiment passé un mois sans réseaux sociaux? pas vraiment!
– Je me suis régulièrement connectée à Facebook depuis un navigateur. C’était trop difficile de suivre des matches de rugby sans savoir la composition, ni de voir les ralentis et résumés.
Linkedin: grosse consommation, du fait de ma recherche d’emploi hyperactive du moment. Oui, je considère que LinkedIn est un réseau social et comme il est « utile », on culpabilise peut-être un peu moins de passer du temps dessus. Et pourtant, il est tout aussi chronophage et aspirationnel qu’Instagram.
Youtube: essayant de me sevreer des vidéos courtes et addictives de Tiktok; je me suis remise à Youtube et à ses formats plus longs. Spoiler: maintenant il y a un format « shorts » qui est exactement le format et le contenu de Tiktok, donc du coup, on repassera pour le sevrage. J’ai pris une version d’essai sans publicités et c’est quand même nettement mieux, mais je n’arrive pas à regarder des vidéos de plus de 20 minutes, sauf un documentaire fait pour la télé. Surtout, combien de vidéos d’apartment tours et d’apprentis minimalistes vais-je pouvoir absorber jusqu’à être complètement saoulée?
– Il a été facile de ne pas aller à sur X/Twitter car je n’y allais que pour cliquer sur un lien, pas pour scroller pendant des heures.

Photo de Tracy Le Blanc sur Pexels.com

Ce que j’ai appris sur moi:

Je vis une tablette ou smartphone à la main, constamment. Ce sont mes deuxièmes cerveaux. Impossible de m’en passer aujourd’hui, car je n’ai pas vraiment d’autres occupations. Certes, je passe du temps à prendre soin de moi: kiné 2 fois par semaine, sport à la salle, balades oxygénantes, mais comme je suis en recherche d’emploi, je passe un 99% de mon temps chez moi. Donc une tablette à la main quand je ne fais pas le ménage ou que je dors. Un peu comme un fumeur, je suis accro au geste.

J’aime partager des moments de vie. Qui saura que j’ai atteint 500 jours d’affilée sur Duolingo et sera fier de moi? Qui partagera avec moi ma joie pour la victoire de mon équipe de rugby? Qui s’émerveillera de la beauté de mon chat quand il me fait les yeux doux?

D’un autre côté, qui en a quelque chose à faire?

Mon bilan pour moi est qu’il m’est difficile de me passer complètement de ces connexions. Mais je reconnais plus que jamais le côté éphémère et artificiel de partager tout et n’importe quoi sur sa vie.


J’ai donc décidé des mesures suivantes:
Tiktok ne sera installé que sur une tablette et limité à 1 heure par jour (je n’ignorerais plus le signal) – il était déjà banni de mon téléphone, depuis que j’ai oublié de descendre du tram à ma station car j’étais trop distraite.
Instagram sera limité au rugby, aux chats et à un profil personnel – Plus de scrolling sur du contenu que je n’ai pas choisi et approuvé.
X/Twitter: limité au rugby et à la sphère professionnelle.
Facebook: limité au rugby et à prendre/donner des nouvelles. Je ne commenterais plus aucun post, je n’efforcerais de ne pas me perdre à lire les commentaires des autres.
Linkedin: utilisation intensive jusqu’à décrocher mon prochain job, pas le choix.

Et vous, quelle est votre attitude envers les réseaux sociaux?

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Un mois sans réseaux sociaux

Le mois de mars commence sous la grisaille et la pluie… Je n’ai rien tant envie de faire que de rester sous ma couette et de scroller sans réfléchir sur mon téléphone ou ma tablette, de préférence pour regarder des vidéos courtes pour me vider la tête… Après tout, quoi de mieux pour oublier mes turpitudes de recherche d’emploi et mes multiples déceptions en la matière?

Mes statistiques sur Tiktok donnent le vertige: j’ai à de multiples reprises dépasser les 40 heures par semaine sur l’application. Plus qu’un temps plein en France! C’est effrayant. Clairement, je suis devenue addict à ces vidéos courtes, accrocheuses… avec des impacts certains sur ma vie sociale et ma santé. Déjà j’ai dû me résoudre à avoir des lunettes de vue, avec une légère correction, soit, mais je m’en serais passée, pour avoir accès à mes écrans. D’autre part, tout ce temps passé à scroller n’est pas dédié à des activités plus productives: sortir, voir du monde, faire du sport, lire, etc.

Photo de cottonbro studio sur Pexels.com

Mon comportement addictif m’a inquiété au point de refaire une diète de réseaux sociaux. Pour ce mois de mars 2024, j’ai enlevé les applications Facebook, Twitter, Instagram et Tiktok de mes appareils mobiles. Je ne m’interdis pas d’aller sur Facebook seulement depuis mon ordinateur, ponctuellement et uniquement pour voir ce qui se passe pour mon club de rugby préféré. En revanche, je conserve une activité importante sur LinkedIn, du fait de ma recherche d’emploi. C’est mon principal medium.

Par ce régime anti-réseaux sociaux, j’espère ne plus me perdre dans la guerre des commentaires, qui est juste épuisante. Il y a tellement d’abrutis sur terre et ils ont le droit de s’exprimer, tout autant que les gens intelligents. Sauf qu’il y a très peu de filtres contre l’idiotie, la misogynie, le racisme, le classisme et autres stupidités, notamment sur Tiktok, et voir les commentaires a juste commencé à générer de l’anxiété. Surtout quand ces mêmes abrutis me prennent à parti. J’ai beau être une adulte qui ne se laisse pas faire, toute cette haine et toute cette négativité me pèsent. Ce n’est clairement pas ce dont j’ai besoin ces temps-ci.

Je prends aussi mes distances avec Facebook/Instagram, car je me rends compte que très peu de mes proches partagent des choses. Je me sens seule et isolée, alors que c’est censé produire l’effet inverse. Donc je garde mon contenu pour moi. Cela ne changera pas ma vie et cela ne changera la vie de personne, je pense.

Et vous, les réseaux sociaux, c’est avec ou sans modération?

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Désencombrer, et après?

Puisque j’ai du temps devant moi, pas à mon initiative, j’en profite pour faire le vide dans mes possessions et aussi écrire sur ce blog, une fois n’est pas coutume. L’objectif est de m’alléger au possible dans l’optique de retourner vivre à Dublin. J’ai l’impression de ne jamais en finir, mais clairement, je pense aussi que ma tolérance à l’accumulation (peut-on dire maximalisme?) a changé. Mon point d’équilibre a diminué.

Je me rappelle d’un temps où j’avais besoin de plusieurs armoires et commodes pour stocker mes vêtements, sacs et accessoires… Maintenant que j’ai lu les ouvrages de Dominique Loreau et de Marie Kondo, et que Tiktok regorge de vidéos de désencombrement, je ne vois pas l’intérêt d’accumuler tout ce foutoir. Je n’hésite pas à retourner un achat qui ne me conviendrait pas ni à vendre/donner/jeter le superflu. Je limite le nombre d’articles par catégorie de garde-robe à 8 maximum. J’ai par exemple 8 gros pulls pour l’hiver, et c’est largement suffisant. Il suffit de faire de la lessive régulièrement. Je n’achète pas de meubles de rangement en plus, je fais en sorte que ce que je détiens tienne dans mes placards existants.

Si cela ne me sert pas et que je ne l’aime pas, ça dégage! Et je m’accorde des points bonus si les objets font partie de mon fantasy self!

Photo de Andrea Piacquadio sur Pexels.com

Et que se passe-t-il quand on s’est séparé de ces objets superflus, qu’on a passé beaucoup de temps à photographier, mesurer, lister, livrer etc? Honnêtement: PAS GRAND CHOSE. Est-ce que j’ai déjà regretté de m’être séparée de certaines choses? OUI, évidemment, car je ne suis pas parfaite et parfois je ne prends pas les bonnes décisions. Mais quand je regarde la liste des objets vendus/donnés les années précédentes, je me souviens à peine de l’objet en question. Loin des yeux, loin du coeur résonne pour les gens autant que pour les objets. Parfois je me remémore même des expériences négatives, comme un vêtement trop petit, pas pratique, un sac qui sciait mon épaule etc. Bon débarras!

Le seul objet que j’ai vraiment cherché, car je croyais l’avoir encore était un ciseau pour les cheveux. En fait, il avait fait partie d’un carton de donation à Emmaus 4 ans auparavant. Et je n’en ai pas racheté un finalement, vu le peu d’utilité que j’en avais et que j’en aurais. Je vais chez le coiffeur 2 fois par an.

Quels sont les critères qui font d’un objet un « indispensable »? Très vaste question. J’ai réduit ma bibliothèque à une trentaine de livres, que je revends dès qu’ils ont été lus, et certains hurlent au sacrilège de ne pas garder ses lectures… Quand on envisage, comme moi, un déménagement, à l’étranger, sur une île, chaque kilo transporté coûte cher, alors je m’en fous d’impressionner qui que ce soit parce que j’ai lu des livres de Bourdieu. On s’en fout, c’est mon portemonnaie qui est impacté par cette décision.

Puisque le « déchet » de l’un est le trésor de l’autre, vous pouvez m’aider à désencombrer en regardant les objets en vente dans mes boutiques en ligne:
Vinted: vêtements et sacs
Rakuten: livres et matériel électronique
Le Bon Coin pour tout le reste

Et vous, que faites-vous du superflu?

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Mars: un mois végétal

Mes placards débordent de produits secs, mon congélateur est plein, je vais donc profiter de l’arrivée du printemps pour consommer mes denrées. L’hiver est fini, il est temps de vider les réserves et de se renouveler, comme la Nature le fait d’elle-même.

D’une part, avoir quantité de nourriture dans mes placards génère une certaine fatigue décisionnelle. Trop de choix tue le choix. J’ai parfois du mal à me rappeler ce que j’ai déjà dans mon fond de placard et je me retrouve à racheter quelque chose que j’ai déjà. Je n’ai pas besoin d’un litre de vinaigre de cidre d’avance, même si j’en consomme régulièrement! J’ai bien purgé mes placards des aliments qui ne sont pas bons pour moi (très transformés, riches en gluten etc), donc pas d’excuse: j’ai tout ce qu’il me faut!

D’autre part, j’ai déjà dépensé cet argent pour me nourrir. Vu que je suis particulièrement attentive à mon budget pour 2023, je ne veux pas gaspiller de la nourriture. Pas question de jeter des aliments car je ne les ai pas consommés dans les temps. J’attends donc une forte baisse de mes dépenses en supermarché. Peut-être m’offrirais-je un chouette spa avec les économies réalisées?

C’est pourquoi j’ai décidé comme défi du mois de mars 2023 de ne pas acheter de nourriture autre que du végétal frais donc, fruits, légumes et yaourts de soja – bref, des produits à durée de vie courte.

Et vous, avez-vous une bonne résolution printanière?

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Besoin de faire une pause « Shopping »

Car oui, j’ai atteint une limite! J’ai beau me laisser endormir par les pics de dopamine liés à des achats, j’en ai assez de dépenser…

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J’ai pas mal fait de shopping pendant les soldes d’hiver 2023 (soup maker, four micro-ondes, vêtements, électronique, etc…) la plupart du temps pour du remplacement, mais j’ai quand même atteint un certain niveau d’écoeurement et une sensation de « TROP« . Soit, je n’ai pas besoin de surveiller mon budget de façon trop serrée, même si j’ai fait l’évaluation de mon impôt sur le revenu et que j’ai failli laisser couler une petite larme… C’est le prix de vivre en France et de contribuer à l’effort national en étant célibataire, sans enfant, à gros revenus. Donc je ne me plaindrais pas.

Je me fixe donc quelques résolutions « no buy, low buy » pour l’année 2023, plus pour juguler ma consommation et tirer un certain contentement de ce que je possède déjà.

Photo de energepic.com sur Pexels.com

NO BUY: 0 achat

Cosmétiques: j’ai un stock énorme à passer, je doute que j’aurais besoin de faire le moindre achat! Je suis quasi sûre qu’on pourrait tenir tout 2024 aussi. Challenge!
Maquillage: j’en utilise de moins en moins, j’ai fait du tri et personne n’a besoin de 18 rouges à lèvres. Même de 12.
électronique: j’ai fait le plein de tout ce qui pouvait me manquer, notamment pour mes voyages: batterie externe, sacoche de rangement, câbles de chargement etc à moins que quelque chose ne tombe en panne et ne nécessite un remplacement immédiat et vital, je ne vois pas pourquoi je dépenserais des euros dans ce domaine-là.
Electroménager: idem que pour l’électronique
Articles de papeterie: j’en ai trop, je ne les utilise pas assez. Je suis sûre que je pourrais redécouvrir des pépites dans mes tiroirs. Pas besoin d’aller en magasin
Textile: j’ai de quoi couvrir mes besoins en linge de lit, serviettes, torchons etc.

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LOW BUY: Achats limités au maximum

Vêtements: j’ai fait mon tri annuel et identifié des vêtements à vendre et à donner
Livres: ma pile à lire est importante, mais je ne veux pas me limiter si jamais je tombe sur un livre
Décoration: je ne vois pas ce que je pourrais rajouter chez moi. J’ai enfin mes abat-jour au complet (8!) et il est grand temps que je les installe. Il me manque un poster 50 x 70 cm pour remplit un cadre que j’ai déjà, c’est pourquoi cette catégorie est en « Low buy ».

La fatigue décisionnelle est une réalité. Trop d’options tuent le plaisir de choisir. Alors se restreindre devient une hygiène de vie pour être plus satisfait de son existence.

Et vous, êtes-vous tenté de restreindre votre consommation dans le but d’être plus satisfait de votre vie?

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Bidules électroniques : Bilan 2022

Mon cheptel d’objets électroniques a évolué au fil de mes envies et besoins, goûts et dégoûts… J’ai renoué avec l’univers Apple, alors que je l’évitais soigneusement, car j’en ai eu marre des sauvegardes à moitié efficaces sur OneDrive ou Google Photos. La planète Apple est unifiée, ce qui allège ma charge mentale!

Depuis mon bilan de 2021, j’ai changé d’employeur et mais aussi de setup de télétravail. J’ai aussi pris la décision de repartir vivre à l’étranger dès que possible. Ce qui impacte mes achats et ventes de produits électroniques.

Voici donc la mise à jour de mon équipement personnel (en gras, ce qui n’a pas changé)

  • Smartphone (à ce jour un Motorola G Pro, très pratique avec son stylet) -> J’ai désormais un Apple iPhone 13 en principal et un dumbphone en secours. Le Motorola a été vendu.
  • Tablette 8 pouces (plus grand, cela ne me servirait pas car trop encombrant en déplacement, j’ai à ce jour, une Samsung Tab A 8 pouces, basique mais efficace. Si le prochain iPad mini est intéressant, je me laisserais peut-être tenter) – Tablette Samsung vendue, j’ai désormais un iPad mini 6 violet!
  • PC personnel (à ce jour, Microsoft Surface)
  • 1 PC stick (j’aime le concept, mais je l’utilise peu, il risque de finir sur Rakuten lui aussi…)
  • Clés USB + cartes microSD (200 Go et 64 Go)
  • Chargeur de piles et piles rechargeables, Amazon Basics
  • 3 enceintes Amazon Echo (Dot, Dot+clock, Show) la Dot toute simple prend un peu la poussière… TOUTES VENDUES
  • 3 webcams Wansview (pour surveiller mes chats quand je ne suis pas chez moi) TOUTES VENDUES
  • 1 lecteur MP3 (que j’ai utilisé une fois. Il n’est pas impossible que je m’en sépare, pour l’instant, je le garde #fantasyself )
  • des écouteurs sport avec fil ( vert pomme, de marque Panasonic, trimballés depuis 10 ans voire davantage)
  • des écouteurs sport sans fil (j’aime surtout leur étui) – revendus et remplacés par des plus pratiques!
  • 1 Radio JBL Tuner 2 (achat 2022)

Le matériel fourni par mon employeur:

  • PC pro (c’est toujours un Dell)
  • 1 Speaker Jabra (en vente sur Rakuten)
  • 1 kit clavier et souris sans fil (que je n’utilise pas) – à mettre en vente
  • 1 smartphone Samsung ->Non, c’est un Apple iPhone 11 maintenant
  • 1 casque Jabra -> remplacé par un autre Jabra et je le laisse au bureau, je n’en ai pas besoin chez moi.
  • 1 souris basique que j’ai gardée d’un précédent employeur (ça dépanne)

Et le matériel de home office dont je suis propriétaire:

  • 2 écrans PC (à ce jour, un de 21.5 pouces et un autre de 24 pouces, Iiyama) -> vendus et remplacés par un seul écran: Samsung M5 SmartMonitor 32 pouces
  • 1 Webcam (en vente)
  • 1 souris ergonomique sans fil
  • 1 clavier ergonomique avec fil
  • 1 Hub avec prise type C avec 2 prises HDMI et d’autres connectiques pour tout avoir sous la main
  • 1 imprimante laser
  • 1 multiprise résistant à la foudre

Et vous, êtes-vous minimaliste ou maximaliste de l’électronique?

Alimentation, Bilans, Défis, Perte de poids, Santé

Bilan du mois sans sucre (juin 2022)

Suite à quelques petits problèmes de santé, j’ai ressenti le besoin de faire le point sur ma consommation de sucre (ajouté, pas naturel) dans mon alimentation. J’étais donc partie pour passer un mois entier sans consommer de sucre. Le temps est venu de faire le bilan.

1- Respect des règles
D’une manière générale, après avoir fait l’inventaire de mes réserves, je n’ai pas eu de difficultés à éliminer les produits trop sucrés de mes placards. Vu que j’ai été immobilisée à cause de mon entorse à la cheville, forcément il y a eu moins de tentations à l’extérieur également, mais quand même un peu.

2- Quelles difficultés ?
Le premier jour, nickel.
Au bout de 3-4 jours, j’ai eu des envies de sucre, telles que passer dans une boulangerie acheter un croissant ou manger des crèmes glacées. La première quinzaine est néanmoins passée sans encombres. Ensuite, ça s’est compliqué. J’ai malheureusement échoué à respecter mes règles dans les situations sociales: invitation à dîner, repas d’entreprise… Trop difficile et stigmatisant de refuser une bière ou un bout de gâteau. Je ne me suis pas bâfrée, mais clairement, j’ai très vite retrouvé mon appétence au goût sucré. En plus, la canicule a réactivé mes envies de crèmes glacées…

Photo de Nicole Michalou sur Pexels.com

3- Quel impact sur la balance ?
Je ne partagerais pas mon poids ici, c’est une donnée confidentielle. Je lutte depuis des décennies contre les kilos en trop, dont l’origine est largement multifactorielle.
Bref, sans m’apesantir sur le sujet, j’ai constaté une fluctuation de poids à la baisse, mais c’est certainement aussi dû au fait que je fais de moins en moins de petits déjeuners, sans pour autant manger plus aux autres repas. Cela peut s’apparenter à un jeûne intermittent. Rien à voir avec le sucre, en fait. Mais je trouve que je me sens mieux avec 2 repas au lieu de 3.

4- Alors, stop ou encore ?
J’ai expérimenté plusieurs symptômes de sevrage. Mais comme j’ai « replongé » après seulement 15 jours d’expérience, je crois qu’il va falloir que je poursuive mes efforts dans ce domaine.

Et vous, êtes-vous prêts à manger moins de sucre pour améliorer votre santé?

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Juin 2022: un mois sans sucre

Je me suis malheureusement fait une entorse en jouant au tennis il y a deux semaines. Les causes de l’entorse sont multiples: chaussure inadaptées au terrain, fatigue, surpoids… Il est trop tard pour éviter l’entorse, je ne peux que faire de mon mieux pour la soigner et éviter l’entorse à répétition. Clairement, m’alléger de quelques kilos (de gras) ne pourra que faire du bien à ma pauvre cheville, et à mon corps tout entier, bien sûr. Moins il y a de poids, moins il y a de pression sur mes articulations et mes ligaments et moins je risque la surblessure… Je veux reprendre le tennis dès que possible, mais je veux le faire en toute sécurité!

Etant à cours d’idées sur les régimes possibles (oui, je sais, régime est un gros mot, on dit « rééquilibrage alimentaire »), j’ai décidé de m’attaquer, de façon très court terme, à mon addiction au sucre. Au delà d’avoir un bec sucré, et suite à ma lecture de « The Obesity Code » du docteur Jason Fung, faire une cure sans sucre pour un mois ne pourra avoir sur moi que des effets positifs! L’alimentation moderne hypertransformée contient de grosses quantités de sucres, dont l’humain n’a pas besoin pour vivre. Je ne parle pas des glucides, mais bien des sucres ajoutés!

Photo de Ofir Eliav sur Pexels.com

étape N°1: établir les règles du challenge « Mois sans sucre »
– éviter produits transformés contenant du sucre. Une exception : les produits fermentés et mon complément alimentaire.
– 0 alcool (pas besoin de trop me forcer, je bois très peu…)
– manger plusieurs fruits de saison par jour (au moins, en plus du goût sucré, ils apportent des fibres et des vitamines, et donne bonne mine.
– Pas d’entorse (sans jeu de mots), même dans les situations sociales. Pas de petits fours, pas de snacks avec sucre ajouté, pas de happy hour alcoolisée.

Évidemment, pas de faux sucre non plus. Ceci je n’en consomme plus depuis des années, pas plus que les produits allégés, cette inconscience nutritionnelle. Rien ne vaut la vraie nourriture.

Photo de Mikhail Nilov sur Pexels.com

étape N°2: Analyser mes placards
Ce n’est pas la première fois que je fais un raid dans mes placards. J’essaie de toujours faire au mieux pour qu’ils soient suffisamment remplis, mais pas trop non plus, et qu’il y ait toujours des options saines en cas de fringale!

Voici quelques produits usuels que je mets de côté pendant le challenge:
– yaourts de soja sucrés
– sauces tomate préparées
– chocolat noir (il y a quasiment toujours du sucre dedans)
– bouillon de légumes (oui, il y a du sucre dedans, c’est un exhausteur de goût)

Photo de Polina Tankilevitch sur Pexels.com

étape N°3: Faire le bilan
Pour cela, rendez-vous dans 30 jours.

Et vous, êtes-vous prêts à manger moins de sucre pour améliorer votre santé?

Alimentation, Défis, Perte de poids, Santé

Le corps au passé

Dans le cadre de mes projets de minimalisme, où j’en ai profité pour réduire drastiquement mes documents et photos stockés sur mon ordinateur, j’ai remis le nez dans mes photos d’il y a 11 ans, la période où j’ai été la plus mince à l’âge adulte. J’avais un IMC NORMAL, alors que par ailleurs j’ai constamment oscillé entre surpoids et obésité modérée. En regardant ces clichés, avec mon visage aminci, où l’on pouvait clairement distinguer la couleur de mes yeux, j’ai ressenti un mélange de sentiments, parfois contradictoires.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

D’une part, je me suis souvenue des énormes et douloureuses plaques d’eczéma qui me handicapaient au quotidien (j’avais même un dossier de photos de mes plaques, que j’ai décidé de virer, pas besoin de me rappeler de çà quand je serai dans ma maison de retraite), et que je devais soigner et camoufler. Jamais je n’avais eu de telles poussées. Était-ce un mécanisme de protection contre l’attention masculine ? Peut-être, je ne sais pas. À cette époque, je n’avais pas plus de succès auprès des hommes qu’à une autre. Comme quoi le physique ne fait pas tout. Si on n’est pas prêt à une rencontre, elle ne se matérialise pas.

D’autre part, je n’étais pas plus à l’aise dans ce corps affiné, j’étais toujours complexée. Je ne faisais qu’une activité physique modérée. Sur mes photos de randonnée, certes je suis « fine« , mais bien dégoulinante de sueur et bien rouge. Je pense qu’aujourd’hui, même étant plus charpentée (presque 30 kilos au dessus), je suis en meilleure condition physique. Je bosse vraiment mon cardio… C’est un des facteurs qui font que je perds du poids en ce moment. Merci le côté social du tennis, qui fait que je ne renâcle pas à aller à l’entraînement tous les mercredis soirs et merci à ma nouvelle habitude d’aller une fois par semaine à la salle de sport. Je fais également attention à ne pas manger plus que nécessaire. Dès que j’arrive à satiété, je pose ma fourchette.

Photo de RODNAE Productions sur Pexels.com

Évidemment, j’espère toujours que ce « régime » sera le dernier, que j’atteindrai mon poids cible et que je le conserverai. Je suis lucide à ce sujet. Ça prendra du temps, et j’ai dépassé la quarantaine… Même si je me sens en forme, grâce à toute mon activité physique, je ressens bien que perdre du poids est plus difficile qu’il y a 10 ans.

Le facteur-clé de ma réussite actuelle est ailleurs… J’ai enfin trouvé un équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle. J’ai atteint le niveau de poste que je souhaitais et j’ai maintenant l’espace mental nécessaire pour mon prochain chantier: mon corps! J’espère bien revenir à un IMC normal (même si c’est une invention d’assureur et pas un gage de bonne santé), pouvoir me mouvoir comme je veux, réussir à faire des randonnées sans souffrir, courir un semi-marathon et être classée au tennis… Voilà pourquoi je fais des efforts.

Et vous, avez-vous conservé votre corps de jeunesse?

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La vie est courte: Ma bucket list

S’il y a une chose que la vie m’a apprise ces dernières années est que la vie est courte et qu’il ne faut pas reporter indéfiniment ce qu’on a envie de faire, sous peine de ne jamais réaliser ses rêves et ses projets !

Pour mon voyage au Japon, initialement prévu au printemps 2020, je n’ai guère le choix que de patienter jusqu’à ce que la situation sanitaire soit clarifiée, mais pour d’autres choses, je peux commencer maintenant.

J’ai arrêté les cours d’allemand avec ma formation initiale en école de commerce et j’ai rarement eu l’occasion de le pratiquer. J’avais pourtant un bon niveau et j’aimais bien la langue. Ma maîtrise de l’anglais a balayé bien des choses sur son passage… Je nourris ce regret d’avoir perdu mes compétences de germaniste depuis une bonne dizaine d’années. C’est tellement dommage d’avoir investi tout ce travail pour rien !

Finis les regrets, place à l’action : j’ai donc googlé des cours d’allemand sur Paris et, une fois mon test de niveau fait (A2 à l’écrit, B1 à l’oral) je me suis retrouvée en cours du soir avec d’autres adultes dès la semaine suivante. Je n’ai pas eu le temps de me trouver des excuses pour reporter! 42 heures en présentiel et en distanciel sont prévues. Je pourrais peut-être même compter sur un financement de mon entreprise…

Parmi les autres projets que j’ai :

  • me remettre à l’italien (mes cours d’italien sont plus récents que mes cours d’allemand – je m’y suis mise après mes 30 ans, et j’essaye de garder mon petit niveau, mais les langues vivantes, ça se pratique !)
  • apprendre le chant lyrique (est-ce trop tard à mon âge ?)
  • apprendre la clarinette ou le hautbois (enfant, on m’a imposé la flûte traversière, que je n’aimais pas spécialement…)
  • visiter les musées d’Art Contemporain des villes que je visite
  • Courir un 10 kilomètres
  • Être classée en tennis 🎾
  • Publier un roman ou un recueil de nouvelles (sur Amazon Kindle Publishing, ce n’est pas si inabordable – un rêve d’adolescente à réaliser… pourtant ce blog compte presque 500 articles en 15 ans, mais ce n’est pas un livre!)

Et vous, quels sont les projets que vous souhaitez concrétiser ? Qu’attendez vous pour le faire ?

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Plus d’un sac à mon tour

Il est temps pour moi de refaire un inventaire de mes sacs, cette grande passion qui m’anime depuis mon adolescence.

Ce n’est pas mon premier article sur le sujet sur ce blog: l’historique est ici:
Passion: Sacs!
Des sacs et des sacs

État des lieux à fin février 2022

L’état des sacs à aujourd’hui. Oui, il y a eu une rotation totale par rapport au dernier inventaire. Je n’ai plus aucun sac Guess! Maintenant, je suis accro à Kipling. Plus faciles à utiliser au quotidien: souples, lavables, moins ”habillés ». Ceci dit, je suis quand même en train de m’en lasser et j’ai réduit mon inventaire.

Il manque sur la photo un sac Kipling Riri orange et un autre sac bandoulière Kipling Arto beige, qui sont déjà en vente sur Vinted et donc stockés dans la caisse des ventes, et également mon sac du moment : un Longchamp Pliage bleu marine.

Cet inventaire est bien trop fourni pour mes besoins, pandémie (télétravail intensif?) ou non. Même si j’ai prévu des voyages en 2022, je n’ai pas envie de garder toutes ces options « au cas où », cela prendrait trop de place dans mon futur dressing ! Je peux rationaliser dans cette catégorie, pas de souci !

Ceux qui sont donc mis en vente :

Sac Kipling pratique mais pas photogénique

le sac à dos Kipling City Pack argenté (vendu): trop de poches dans tous les sens, c’est agaçant de chercher quelque chose et de retourner toutes les poches pour mettre enfin la main dessus. Je ne suis pas convaincue d’avoir besoin d’un sac à dos de ville non plus. J’avais déjà eu le même modèle en noir. Même forme, mêmes problèmes. Si je reprends un autre sac à dos de ville, si jamais un besoin impérieux se fait sentir, il aura moins de compartiments, c’est certain ! En vrai, je ne l’utilisais pas tant que çà.

le sac ordinateur Kipling Perlani bleu foncé (vendu): très bien pour transporter mes affaires un jour de bureau, mais tellement grand qu’il devient trop lourd quand on le remplit. Mon nouveau boulot m’a fourni un sac à dos pour ordinateur bien costaud, que je vais donc utiliser (j’ai vendu mon sac à dos Samsonite bleu et blanc quand j’ai su qu’on m’en donnerait un – pas besoin de 2 sacs à dos pour ordinateur !). Je pense aussi que mon dos me dira merci, car tout trimballer sur une épaule, c’est déséquilibré et ça peut générer des douleurs. Mon nouveau sac est ni trop grand ni trop petit et bien rembourré au niveau des bretelles. On pourrait faire de la randonnée avec! Donc exit ce grand cabas.

– le sac cabas Kipling Art M bleu à motifs (vendu): un peu trop grand. Je n’en ai pas un grand besoin. J’ai de plus un sac cabas Kipling Art bleu fait pour voyager (on peut l’accrocher à une valise à roulettes) et que je n’ai pas encore utilisé une seule fois. Donc c’est un doublon. Autant vendre celui qui a déjà servi et commencer à utiliser le tout neuf. Au quotidien, j’utilise souvent des tote bags en coton tout simples. D’ailleurs, j’en avais un peu trop et j’en ai donné. Il m’en reste 3, c’est largement suffisant.

Sur le papier, une bonne idée. En vrai, bof.

le petit sac moutarde H&M (vendu). Je l’avais acheté car je trouvais çà classe d’assortir son sac et son foulard. Finalement, il fait très cheap et je ne le mets pas. Je préfère sortir mes sacs en cuir. J’ai acheté récemment 2 sacs Marc Jacobs sur Vinted et j’ai aussi acheté un petit sac See by Chloe, car j’ai dû dépenser mes bons d’achat Galeries Lafayette qui allaient expirer. Ces 3 sacs sont jolis et classiques. Ils ont en plus une certaine valeur à la revente. Ok, c’est pas très végane, mais c’est « habillé ». Je ne désespère pas de trouver des sacs véganes et jolis.

Voilà, déjà 4 sacs qui vont sortir de la collection – actuellement dispo sur mon compte Vinted ! Ce qui fait redescendre le nombre de mes sacs à 10. Je pense que je pourrais me séparer facilement d’encore 2 ou 3 pièces. Je referai le point à la rentrée 2022, quand j’aurais fini mes voyages.

Cet article n’a abordé que les sacs « de ville », j’ai aussi du désencombrement à faire dans les sacs de courses, bagages et autres sacs de sport !

Et vous, combien avez-vous de sacs ? À votre avis, de combien en avez-vous vraiment besoin ?

Culture, Défis, Journal, Solo living, Voyages

Sortir de son cocon

Depuis début janvier 2022, j’ai décidé de faire une sortie culturelle tous les 15 jours. J’ai positionné cette petite parenthèse le vendredi soir, histoire de faire une transition entre la semaine de travail, et le télétravail à raison de 3 à 4 jours par semaine et le weekend, où j’ai aussi tendance à rester chez moi.

Photo de Anastasia Shuraeva sur Pexels.com

Après presque 2 ans de pandémie, de télétravail intensif, d’amitiés distendues voire défuntes, il est temps de reprendre une vie « comme avant ». Dans mon cas, comme avant mon départ en Irlande il y a 5 ans : profiter de Paris, ses opportunités culturelles, sa localisation centrale, trouver des bons plans pour des petits weekends à l’étranger. L’Europe est un terrain de jeu passionnant. J’ai retrouvé l’envie de bouger, après ces 2 années d’immobilisme forcé, entre pass sanitaire, quarantaine et autres joyeusetés sanitaires et gouvernementales.

Même si j’ai encore des envies de vivre ailleurs, j’ai décidé que je resterai en France au moins jusqu’aux Jeux Olympiques de Paris en 2024. Personnellement, je suis à fond ! Clairement, je prendrai 3 semaines de vacances et j’espère bien assister à au moins une épreuve. C’est une occasion qu’on n’a qu’une seule fois dans une vie. J’étais trop petite pour Albertville pour m’en rendre compte.

Photo de cottonbro sur Pexels.com

Je continue donc d’investir dans mon intérieur en banlieue, car je vais y rester pour les 3 prochaines années. J’ai encore des chantiers à mener à bien : création de dressing et rangements, peintures et papiers peints, accrochage de décoration, installation d’abat-jour. Naïvement, je pensais que j’aurais pu tout boucler avant Noël 2021. Mais cela demande du temps et du temps, je n’en avais pas tant que çà. En changeant de job, ça va mieux. N’ayant plus de boss localement, j’ai plus de latitude pour gérer mon temps comme j’en ai besoin.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

Donc je continue la nidification. Je rêve toujours un peu d’ailleurs, d’un coin de vert, mais la logistique me rebute fortement. J’aurais sans doute les moyens financiers, mais pas les ressources psychologiques de gérer un autre logement. J’atteins ma limite pour gérer de nouveaux projets toute seule. Donc pas de nouvel achat immobilier à l’horizon. Je fais mes petites sorties pour me faire plaisir, mes petits weekends pour me sortir de Paris et vogue la galère !

Et vous, souhaitez-vous en finir avec le syndrome de la cabane?

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Bilans des ventes et dons 2021

Même si mon challenge garde-robe n’a pas été un succès, et que je n’ai pas perdu un gramme cette année, j’ai quand même enregistré de beaux succès au rayon « désencombrement ».

L’année 2021 a été marquée par un déménagement, qui a nécessairement impliqué des ajustements. Certains meubles et objets avaient leur place dans mon ancien chez-moi mais plus dans le nouveau. Et j’ai dû trouver de nouveaux meubles et objets plus en adéquation avec mon nouvel environnement de vie. 12 mètres carrés et un balcon en plus, forcément il a fallu investir un peu et redimensionner certains meubles.

Le but de l’article n’est pas de recenser mes nouveaux achats, mais au contraire de faire le point sur tous les objets qui m’ont quittée: erreurs d’achats, doublons, objets superflus, en état moyen etc.

Les ventes (57 articles pour 1630,25€):

  • ebay (6 articles pour 253,90€)
  • Rakuten (18 articles pour 978,85€)
  • Ikéa reprise (2 articles, repris pour 53€)
  • Vinted (29 articles pour 318,15€)
  • Facebook market place (1 article pour 25€)

Les dons (103 articles):

  • 87 articles donnés en direct à la ressourcerie de mon ancienne ville ou à ma famille (je demande toujours avant de donner, je ne veux pas encombrer qui que ce soit, c’est une règle d’or)
  • 16 objets donnés sur Geev

Le recyclage (20 articles recensés – dans la vraie vie, sans doute davantage…):

  • les encombrants
  • les boîtes à livres
  • les points de collecte de textile
Photo de Olya Kobruseva sur Pexels.com

Bref, 2021 a été une année faste pour l’économie circulaire à l’échelle de mon foyer d’une personne et deux félins. J’ai encore des projets d’aménagement pour 2022 (un dressing, par exemple), donc j’ai encore des objets qui me quitteront, au delà des classiques ventes de vêtements et sacs sur Vinted (ma garde-robe a une rotation assez élevée, je dois dire).

Et de votre côté, comment ça s’est passé?

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Faire du tri dans les placards

Mon foyer comprend une personne et 2 félins. J’habite en ville, il y a plusieurs supermarchés dans un rayon de deux kilomètres. Mais aucun magasin bio ou en vrac.

Honnêtement, je n’ai pas besoin de stocker tout ce que j’ai déjà dans mes placards… C’est trop! Y a tellement de choses que je n’y vois plus clair et que je rachète souvent des choses que j’ai déjà et je me retrouve avec des doublons, ce qui représente un gaspillage de place et d’argent. Même si je gagne bien ma vie, je n’aime pas le gâchis. Je n’ai pas été élevée comme çà et j’ai conscience que nous n’avons qu’une seule planète à disposition.

J’ai donc résolu de lancer une opération Konmari dans mes placards alimentaires. J’ai donc tout sorti et exposé sur ma table de salon (pas sur le lit comme les vêtements) et le bilan est édifiant !

Ma collection de boîtes de conserve

C’est vraiment trop!

Pour les chats, c’est simple : le principe est que je commande 2 paquets de croquettes pour chat diabétique à la fois et que j’attends d’entamer le deuxième paquet pour renouveler la commande. Cela me permet d’atteindre le montant minimum pour avoir les frais d’envoi gratuits (les croquettes vétérinaires ne sont pas données). Je commande sur CroquetteLand. Je n’achète plus de pâtée, même si mes loulous adorent çà, car nous devons rester sur les croquettes vétérinaires. Mon chat non diabétique n’est pas difficile et mange quand même de bon cœur les croquettes spéciales.

Dans mes placards, bien loin de mon idéal minimaliste, et bien consciente de mes privilèges de classe moyenne, on trouve beaucoup trop de choses, j’ai donc fait du tri!

Voici le résultat « après tri ». J’ai mis tous les produits « en excès » dans une caisse, et je vais entreprendre de tout consommer. Cela fait quelques kilos de nourriture, quand-même ! De quoi passer les fêtes de façon frugale.

Et vous, qu’en pensez-vous: les placards pleins, bonne ou mauvaise idée?