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Il est revenu le temps des inventaires!

Déjà plus de 10 ans que je baigne dans le minimalisme, que j’ai finalement découvert en lisant un livre de Dominique Loreau: l’Art de l’essentiel. Une lecture assez fondamentale qui en a amené d’autres. Pour autant, tous les livres de cette même autrice ne sont pas intéressants. Elle a quand même plutôt répété les mêmes choses dans ses livres suivants (forme ultime du minimalisme: recycler ses idées ad nauseam).

Depuis tout ce temps, ainsi que je l’ai documenté sur ce blog, j’ai désencombré, vendu, racheté, re-minimisé, trié etc… J’ai l’impression que cette quête de l’essentiel n’en finit jamais. Les envies et les besoins fluctuent et je n’ai pas encore atteint mon nivau d’équilibre. Je sens que j’ai encore un peu de travail. Puisque j’ai restreint mon temps quotidien sur Tiktok et sur Instagram, j’en ai plus pour m’occuper de ce type de projets.

Photo de Konstantin Mishchenko sur Pexels.com

Ayant fait d’autres bilans dans mon existence (dans ma carrière, par exemple, ou encore dans ma santé), j’en reviens à mes chers placards! Pour la cuisine, je suis en très bonne voie. Que ce soit au niveau du matériel de cuisine ou du fond de placard, je connais ma stratégie et mes objectifs.

Pour ma garde-robe, je crois que j’ai un peu débordé récemment, même si je continue assidument mes ventes sur Vinted pour m’assurer de ne pas être submergée de fringues. Je reprends donc la rédaction d’un inventaire, comme j’ai pu le faire il y a plusieurs années. L’objectif est naturellement d’être sous les 100 vêtements et sacs (sous-vêtements et vêtements de sport exclus). Il n’est pas impossible que je partage ma collection de sacs, une fois n’est pas coutume.

Côté cosmétiques, j’ai trop de choses qui traînent un peu partout: dans ma salle de bain, bien sûr, dans des tiroirs de ma chambre, dans mon sac à main…

C’est donc mon challenge de l’automne 2023:
– faire l’inventaire de ce que j’ai déjà
– identifier les éléments essentiels
– éliminer les éléments non-essentiels
– maintenir le tout!

Et vous, avez-vous des projets à finaliser chez vous cette saison?

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Bilan du Challenge minimaliste de février 2021

Alors, que s’est-il passé dans ma salle de bains en ce mois de février 2021?

Déjà, je dois avouer que tous les produits cosmétiques et pharmaceutiques que je possède ne sont pas dans ma salle de bain… Ils sont même essentiellement dans ma chambre. Je préfère avoir les médicaments dans un tiroir de ma table de chevet et mon maquillage dans ma commode, afin de bénéficier de la lumière du jour. Ma salle de bain, comme beaucoup de salles de bains modernes, n’a pas de fenêtre, et je préfère me maquiller à la lumière naturelle !

Mon évier de salle de bain

Bref, cette catégorie d’articles est disséminée entre la chambre et la salle de bain.

L’un de mes tiroirs de salle de bain. L’autre contient des serviettes de toilette.

Dans ma salle de bain, on trouve des savons, mon sèche cheveux (que je dois brancher une fois dans l’année) , mon épilateur, des cosmétiques d’hôtel, mon peigne, ma brosse à cheveux, ma brosse à dents. Bref, le basique de chez basique. J’ai des savons achetés en 2014 qui n’ont toujours pas été utilisés, je m’emploie à les « passer ».

Le tiroir de médicaments, avant
Le tiroir de médicaments, après

J’ai un stock de médicaments plus en plus raisonnable. Suis-je moins hypocondriaque qu’avant ? Je ne sais pas… Peut-être que je connais mieux les besoins, tout simplement.

Le haut de ma commode, avec mon étagère à huiles essentielles, avant tri.

J’adore les huiles essentielles, je les utilise quasiment tous les jours. Mais j’ai un peu abusé sur l’inventaire… Je n’ai pas besoin d’une pharmacopée de compétition pour ma famille d’une personne. J’ai donc passé en revue tous les flacons et viré tous ceux qui étaient expirés depuis trop longtemps.

Le butin final: quelques médicaments et huiles essentielles expirés, une eau de Cologne vide et mon seul flacon de vernis à ongles qui prend sa retraite, et qui ne sera pas remplacé.

Ça fait toujours du bien de faire du vide, le tout est de ne pas re-remplir… C’est mon objectif des prochains mois : encore et toujours du vide. J’ai quand même remplacé l’eau de Cologne que j’avais terminée. Je ne mets plus ni parfum ni déodorant, je me contente désormais d’eau de Cologne et ça me va très bien ! Je fais beaucoup d’économies ainsi.

Et vous, qu’avez-vous fait en février sur le front du minimalisme?

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Challenge de février 2021: désencombrement des cosmétiques et médicaments

C’était un de mes premiers chantiers « minimalistes » il y a 6-7 ans: désencombrement dans ma salle de bains de la montagne de cosmétiques qu’elle renfermait.

J’ai bien bien bien mis de l’ordre dans mon bazar, au point de devoir racheter des remplacements de produits achevés. Il est temps de refaire un bon tri, il n’y a pas besoin de garder des bidules qui ne me servent pas: vides, expirés, etc.

Pas mes affaires, j’en ai bien moins, je pense!
Photo de Hana Brannigan sur Pexels.com

Voici donc venu le temps du challenge de février! Je vais passer en revue mes tiroirs et m’assurer que je ne conserve rien qui ne me soit utile!

  • Tri des cosmétiques : je m’en tiens au minimum. Même si j’ai acheté du shampooing pas solide pour la première fois depuis des années (c’était entre les 2 confinements, j’ai senti mon coiffeur habituel dépité, j’ai cédé à sa recommandation)
  • Tri des huiles essentielles: elles ne sont pas éternelles – certaines me servent bien peu, pas de raison de les garder sur mes étagères.
  • Tri du kit do it yourself: je déteste Aroma-Zone mais j’aime Aroma-Zone. Raisonnablement, je fais mon dentifrice, mon vinaigre de toilette et éventuellement un shampooing sec. Le reste, pas vraiment.
  • Tri régulier médicaments

Rendez-vous à la fin du mois pour faire le point sur ce qui dégage!

Et vous, quel est votre challenge minimaliste de février?

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10 choses que je n’achète plus (cosmétiques)

Depuis ces 5 dernières années, tout au long de mon cheminement vers le minimalisme, j’ai analysé mes habitudes de consommation et j’ai notamment grandement questionné ma consommation de cosmétiques. J’ai toujours été intéressée et attirée par les parfums, le maquillage, les soins etc. Il fut un temps j’étais une grande lectrice de magazines féminins. Je ne les prenais pas pour parole d’évangile, car mon budget ne me permettait pas d’acheter des crèmes à 100€ le pot de 30 ml. Mais j’ai certainement été influencée par eux. J’ai cru avoir besoin d’un certain nombre de produits, pour modifier mon apparence et pour résoudre des problèmes (imaginaires). J’ai depuis appris et réalisé que la beauté vient de l’intérieur, essentiellement. Une bonne alimentation riche en végétaux, pas de consommation d’alcool et de produits laitiers et les « problèmes » de peau disparaissent comme par magie.

Bref, j’ai pris conscience que je n’avais pas besoin de tout un tas de produits qu’on nous vend comme « indispensables« . Personnellement, je pense qu’on peut vivre sans cosmétiques. Vraiment. Seuls le savon et la crème solaire sont vraiment utiles. Le reste, ma foi, c’est la pression sociale qui nous le fait acheter. Il faut savoir que les ingrédients utilisés dans les cosmétiques conventionnels ont de quoi faire se dresser les cheveux sur la tête: produits qui traversent l’épiderme, perturbateurs endocriniens, cancérigènes… Bref, il y a beaucoup de ménage à faire dans nos armoires de toilette. Je ne vais jamais au rayon cosmétiques dans un supermarché, car je n’y achète plus rien depuis des années !

Photo de Breakingpic sur Pexels.com

J’avais 2 problèmes:

  • Trop de produits: démaquillants, crèmes pour le corps, pour le visage, pour le contour des yeux etc. Mon armoire de toilette ressemblait à une succursale de Sephora, c’est dire. J’ai eu un temps un abonnement à une box beauté, ce qui n’a fait qu’aggraver le problème. Heureusement que je suis revenue à plus de raison.
  • Trop de chimie: au fond, je savais que ce n’était pas bon pour moi, mais je vivais quand même avec tout l’attirail. J’ai pourtant déjà fait des allergies à des produits. Et çà m’a fait mal! Et pas qu’au porte-monnaie.

Voilà donc la liste des 10 cosmétiques que je ne consomme pas ou plus. Chacun fait comme il veut, c’est juste mon opinion:

  1. Colorations pour cheveux: je dis oui au naturel et donc aux cheveux blancs. Je me réjouis de voir l’effet du temps qui passe sur mon corps. C’est sain. J’ai les cheveux très foncés et longs et quelques jolis fils d’argent.
  2. Après-shampooing: je fais très peu de shampooings et je ne vois pas l’intérêt de se tartiner de silicone qui ne traite même pas réellement le cheveu. C’est juste une couche de chimie inutile.
  3. Vernis à ongles: saviez-vous qu’on l’enlève aux personnes qui sont hospitalisées, car c’est un vrai nid à bactéries. (il me reste un flacon que je jetterais sans le remplacer quand il sera périmé, sans doute en 2019, je n’en mets que sur les ongles des pieds, certainement pas des mains, car on porte sa main à la bouche plusieurs fois par heure!)
  4. Fond de teint: je n’ai jamais trouvé la bonne formule ni la bonne couleur. Je déteste l’effet plâtre. Je préfère ma peau au naturel, bien hydratée par ma consommation de végétaux et d’eau. Les hommes ne mettent pas de fond et on ne leur dit rien. Alors pourquoi les femmes devraient-elles s’infliger ça ?
  5. Poudre: j’ai déjà vu de la poudre invisible ou translucide. Quel intérêt si cela ne se voit même pas!
  6. Anti-cernes: je m’étais diagnostiquée un problème de cernes. J’ai depuis décidé de dormir mieux, de boire plus d’eau et de manger plus de fruits. Aujourd’hui, je ne trouve pas que j’ai des cernes.
  7. Produits de contouring: je ne suis pas Kim Kardashian. J’ai un job normal, qui me laisse le temps de me maquiller très basiquement. Je ne ressens aucun besoin de me grimer pour Instagram. Je ne fais pas de selfie sur Instagram. Je n’ai personne à impressionner, je m’en fous.
  8. Déodorant: pour la peine, bien trop de chimie pour moi. Je me contente d’un mélange huile de coco+bicarbonate de sodium+huile essentielle. C’est efficace et naturel. Aucun problème d’intolérance de mon côté.
  9. Parfum: J’adorais les parfums, j’étais super fan. J’attendais Noël avec impatience pour me faire offrir un joli flacon de grande marque. Et puis, avec le temps, j’ai de moins en moins supporté les parfums de synthèse. J’ai arrêté de mettre du parfum ou de l’eau de toilette. Je suis passée à de l’eau de Cologne, de temps en temps. Quant aux parfums des autres, ils me font souvent mal à la tête.
  10. Crème/cire dépilatoire: j’aimerais bien me passer de l’épilation, mais je n’assume pas l’aisselle et la jambe poilues à l’air libre. Je ne m’épile qu’à la belle saison, en tout cas. Mais j’utilise uniquement un rasoir avec savon ou un épilateur. J’ai eu de mauvaises expériences avec la crème dépilatoire. Je ne vais pas en institut car je trouve çà cher et contraignant. Et je suis douillette, la cire ne me fait pas de bien. Vivement que le poil fasse sa révolution et qu’on nous laisse vivre en paix avec lui, nous les femmes.

Et vous, y-a-il des produits cosmétiques que la plupart des gens ont dans leur armoire de toilette et vous non?

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La pub et moi: être une femme en 2017 dans le regard des publicitaires

Pour parler d’autres choses que de bouffe, de fringues, de produits de beauté ou encore de rangement (sujets éminemment liés au minimalisme auquel je m’astreins), je vais aborder aujourd’hui un sujet connexe: la féminité vue par les publicitaires. Il faut le dire: être une femme, c’est compliqué. Nous avons plein de « problèmes » pour lesquels les publicitaires et les industriels veulent proposer (vendre, refourguer…) des « solutions ».
 
En plus de mon aversion irréversible envers les magazines féminins, dont l’unique objectif est de récupérer du fric, en vous vendant du contenu (en fait, du papier) qui vous fait saliver et en vendant à des régies publicitaires du temps disponible de vos cerveaux, j’ai aussi une relation ambiguë à la télévision, surtout à ce qui la finance: la publicité.
 
Je n’ai plus de télé, mais j’avais l’habitude de couper le son pendant les coupures de publicité, tellement je me sens agressée pour la musique criarde, les slogans faciles, les produits parfaitement inutiles qu’on s’est cru obligés de créer et de commercialiser. Sans vouloir faire ma vieille schnock, je constate que peu de produits dont on fait la réclame sont vraiment essentiels: avez-vous vu de la publicité pour du vinaigre blanc, du bicarbonate de soude ou encore du vrai Savon de Marseille? En revanche, pour des sauces toutes faites, des détergents en tout genre et des cosmétiques toxiques, il y en a pléthore. Limite le logo « vu à la télé » est devenu pour moi un repoussoir: si cela a besoin d’un budget marketing démentiel pour se vendre, c’est que c’est un besoin créé de toutes pièces pour un produit dont on n’a pas besoin et qu’il faut vraiment mettre le paquet pour convaincre  le chaland de débourser un kopeck…
 
Et finalement, quand on se penche un peu sur les styles de vie minimalistes (car j’en distingue plusieurs), on prend conscience qu’il en faut peu pour être heureux. Mais le bonheur ne fait pas vendre, la peur du manque si. On nous prend donc vraiment pour des cloches, surtout les femmes… Petit panorama sexiste:
 
– une pub pour des serviettes hygiéniques prétend nous offrir « jusqu’à 8 heures de protection« . Petit rappel: les femmes nubiles saignent tous les mois depuis la nuit des temps. De quoi devrait-on se protéger?
 
– une marque lance un déodorant pour avoir « de belles aisselles ». Je vais paraphraser Florence Foresti qui clamait qu’on ne séduisait pas les hommes avec ses cuticules. Scoop, c’est la même chose avec les aisselles. En quoi cela devrait être beau ou pas beau? C’est une partie du corps, c’est tout, comme un doigt de pied ou encore une oreille.
 
– j’ai toujours hurlé devant la pub « du côté des mamans« , genre papa reste dans son fauteuil en charentaises et lit son journal, il ramène la pitance, il ne va quand même pas s’abaisser à nourrir lui-même son enfant. Ils ont rajouté « et des papas« . Ma préconisation, histoire de s’épargner la guerre des sexes: « du côté des parents« , ce serait nettement plus pertinent.
 
 
Bref, c’est quand même bien débile toutes ces conneries qu’on veut nous faire gober. Je dis STOP, je dis HALTE LA, je dis DÉBRANCHE TA TÉLÉ qui te met des idées stupides en tête. Ou alors, fais comme moi: supprime-la!
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Niveau Cosmétiques, je vis très bien sans…

Petite liste des produits abandonnés en cours de route minimaliste ou en fin de vie (pas gâcher, ma fille, pas gâcher):

 

– vernis à ongles et dissolvant (çà prend trop de temps, c’est pénible et çà pollue)
– crème dépilatoire (trop chimique)
– anti-transpirant (la transpiration est un phénomène naturel)
– crème de nuit (je suis passée aux huiles, c’est plus sain)
– gel douche (polluant, agresse la peau et j’en passe)
– produit de douche sans savon (du moins ceux qui sont pleins de pétrochimie comme ceux que m’a conseillés la dermato)
– élastique à cheveux (je suis une fille à bandeau et les élastiques abîment la crinière)
– correcteur de teint (pour l’été, çà ne sert à rien)
– masque pour la peau (pas le temps)

En revanche, jamais sans:
– mon bandeau
– mes savons saponifiés à froid 
– mes pschitts d’eaux florales
– mes huiles végétales
– mon gant démaquillant à l’eau

 

Cosmétiques

Adieu, Cosmétiques conventionnels

Le sujet « cosmétiques » est un des libellés que j’ai retenus pour mon blog-notes. Le sujet m’intéresse. Quand j’étais jeune étudiante, j’avais dans l’idée de me lancer dans les cosmétiques pour hommes, car c’était le segment qui connaissait la plus forte croissance. Ah, la belle époque où je me rêvais businesswoman! Je suis revenue à des aspirations plus terre à terre, depuis.

Et puis, j’ai eu de nombreux problèmes de peau: allergies, eczéma, brûlure au second degré liée à une simple exposition au soleil… et j’ai assidûment fréquenté les dermatologues. Tous n’ont pas été de bon conseil, pour être honnête. Je n’y vais plus qu’une fois par an, pour surveiller les grains de beauté et me faire prescrire de la cortisone pour calmer mon eczéma. Pour le reste, je n’attends rien d’eux, ils ne m’écoutent pas.

En m’intéressant de près au sujet « minimalisme et simplicité », j’ai forcément été sensibilisée à l’abondance disponible au rayon « cosmétiques ». C’est à mon avis beaucoup trop de marketing pour des bénéfices presque nuls.

Tout le bazar dont je me suis séparée: beaucoup trop de pétrochimie sur ma peau…


Je suis donc dans la phase finale de migration vers les cosmétiques bio. L’étape d’après sera le fait maison avec des ingrédients sains et bien identifiés pour leur innocuité et leur efficacité.J’ai déjà commencé au moment où les produits ont été finis. 
Cosmétiques

Synthèse de la trousse de maquillage

J’essaye de limiter au maximum ce que je charrie dans mon sac à main…
Au menu: du bio au maximum!

trousse Ikéa (était accrochée à un sac de plage)
rouges à lèvres Benecos « Marry me » et « Just red »
crayon à sourcils Benecos brun
mascara Benecos noir

pas bio:
anticernes Nyx
crayon à yeux Lancôme noir
fard à paupières Sephora red Wine

pinceau Hema
miroir de poche (non photographié)

J’ai aussi une petite boîte (anciennement pour cotons-tiges) qui contient un kit d’urgence:

– une mini pince à épiler
– un stick à lèvres
– un mini flacon d’huile d’argan
– un roll on purifiant pour la peau  
– un roll on contre les piqûres d’insectes

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Synthèse de la trousse de toilette

Suite à mon post sur l’armoire de toilette, voici le contenu de ma trousse de toilette quand je suis en déplacement.


Dans un sac, pas spécialement fait pour être une trousse de toilette d’ailleurs, il y a:

– un bonnet de douche
– un savon solide Dr Bronner
– du dentifrice solide Lush
– un déodorant solide Clémence et Vivien
– de l’eau de rose Melvita
– de l’Aloe Vera Lily of the Desert

– une brosse à dent et son étui
– un mini set à ongles
– une brosse à cheveux Mason Pearson
– un vieux peigne (qui va dégager au prochain tri)
– un rasoir dont on ne change que la tête (c’est un chouia plus écolo que le tout jetable, mais ce n’est pas parfait)   

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Petit tour des cosmétiques en stock

Profitant de mes quelques jours de congés de fin d’année pour penser à autre chose qu’au travail, j’ai bougé quelques meubles et commencé à vider quelques babioles.

J’ai aussi fait un petit bilan des stocks, niveau cosmétiques. Mon bilan? c’est juste trop! Je n’ai certainement pas besoin de tout ce bazar. Très clairement, je ne dois plus rien acheter avant d’avoir bazardé au moins la moitié du stock!

Pas moins de 11 eaux florales (dont 2 à la lavande), tous ces flacons ne sont pas pleins, mais il est temps de les « passer ».
 Je ne suis pas une grande fan des huiles parfumées, justement parce que leur odeur est trop forte. Je vais tâcher de les donner à quelqu’un qui les appréciera plus que moi.
Pour finir, j’ai 12 huiles végétales, dont 2 huiles d’argan. Elles ont toutes des propriétés différentes. Là aussi, c’est trop et toutes ne sont pas pleines. Je dirais qu’en rythme de croisière, 4 huiles maximum devraient suffire dont celles de jojoba et d’argan, que j’ai identifiées comme les meilleures pour mon cas.
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Synthèse de l’armoire de toilette – ma sélection

Au fur et à mesure de mes expériences, voici les produits que j’ai identifiés comme étant mes basiques:


A côté de l’évier et du miroir:
eau florale de bleuet ou d’hélichryse italienne
gel d’aloe vera
– huile d’argan ou de jojoba
– des lingettes réutilisables pour appliquer les produits du dessus
– du liniment oléo-calcaire
– une lingette pour le démaquillage (type Lapiglove)
– une brosse à dent + dentifrice solide
– un déodorant solide
– un parfum bio

– une bonne brosse à cheveux (Mason Pearson)
– un peigne à queue
– un oriculi

Dans la douche:
shampooing solide
savon saponifié à froid
– un pochon à savon, pour utiliser le savon jusqu’au bout!
– 2 porte-savons, pour les produits sus-mentionnés

Et basta! Rien besoin de plus pour être propre et soignée.
Après, se maquiller ou non relève d’un choix personnel, tout comme le parfum. J’ai récemment passé plusieurs mois sans parfum parce que je n’avais pas envie de me parfumer, tout simplement. Puis le goût m’est revenu.

NB: je ne touche pas de commission sur les produits mentionnés ci-dessus. Promis!

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Après presque 2 ans à désespérer devant mes stocks de salle de bain, voici le Bilan et l’inévitable mise à jour!

Il y a presque 2 ans, je considérais que ma salle de bains ressemblait à  » une succursale de Séphora », ce qui ne me réjouissait absolument pas.

Fin 2014, en vacances à New York, j’ai succombé aux tentations shopping de Noël, et j’ai ramené une quantité impressionnante de cosmétiques: maquillage, accessoires, soins… En 2015, à nouveau une prise de conscience, plus durable celle-là. Les achats se sont faits bien plus réfléchis: bio, zéro déchet.

A mon sens, les basiques de l’hygiène:
une brosse à dents et du produit pour les dents (je suis en train de finir mon ultime tube de Colgate, j’ai déjà des pastilles Lush, et je passerai au 100% naturel dès que possible)
une brosse à cheveux et un peigne (pas de changement)
du savon pour les mains (entre savon liquide et solide, mon cœur balance, mais j’ai un stock à passer)
du shampooing adapté (j’ai fini mon shampoing liquide, je suis passée au tout solide)
un soin capillaire adapté (j’ai les cheveux longs,encore aujourd’hui, l’huile de jojoba est top!)
un hydratant (finies les promesses pétrochimiques, aujourd’hui, c’est hydrolat et huile végétale)
un peu de maquillage: un crayon noir, un fond de teint poudre compact, 2 sets d’ombres à paupières (un pour la journée, un pour le soir), un gloss voire un rouge à lèvres. Pas fan de mascara, je m’en passe aisément. (j’ai encore des réserves…)
– du démaquillant, (et non! remplacé par l’huile de jojoba ou de carotte!)
un support pour le démaquillant: (lingettes réutilisables Lamazuna)
– gel douche ou savon pour le corps (à mon grand regret, j’ai encore des produits de douche bien chimiques, à cause de mon eczéma, pour autant, pas d’amélioration, je passerai un jour au savon doux)
– un coupe-ongles ou pince à ongles

Tout çà devrait rentrer dans une trousse de toilette à emporter en voyage.

Le reste me semble assez gadget (d’ailleurs, çà a dégagé!)
– soins spécifiques pour les yeux
– crème contre la cellulite,

– laque ou produit coiffant (avec les cheveux longs, çà ne sert à rien)
– bains de bouche (du Synthol, çà suffit)
– des cotons-tiges (on peut aussi se laver les oreilles)
– vernis à ongles
– dissolvant…

Notes 2016:
ma salle de bain reste encore garnie, car je teste encore des hydrolats et des huiles végétales et, même si j’ai viré des produits à la composition bien dégueu, il en reste encore. Patience, on va y arriver, à se simplifier complètement la salle de bains!

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#Minsgame – Jour 12


Retour dans la salle de bains, pour ce lot de 12 articles de maquillage, qui prennent le chemin de la poubelle.


Cosmétiques, Défis

#Minsgame – Jour 7


Aujourd’hui, petit tour du côté de la Salle de Bains, avec ce petit lot de maquillage que je n’utilise pas, ou qui ne correspond pas à mes besoins ou qui est usagé.
Direction: la poubelle. Pas de recyclage pour ces machins. Encore une bonne raison de réduire dans ce domaine.

Je dois dire que je suis effarée par les youtubeuses beauté de 17 ans qui font des vidéos très élaborées… Rien de mieux à faire? Il n’y a pas que l’apparence dans la vie, cela risque de vous surprendre! Je précise que je n’ai rien contre le maquillage ou la mise en beauté, qui existent depuis les débuts de l’humanité, mais de grâce, ayez conscience des conséquences de votre consommation (tests sur les animaux, impact écologique, gestion des déchets, méfaits à long terme sur la peau) et développez de vraies passions, de celles qui vous donnent envie de vous lever le matin…

Cosmétiques

Cosmétiques terminés pendant les vacances

Une fois n’est pas coutume, j’ai bien vidé les stocks car je souhaite basculer vers des alternatives plus saines pour l’environnement et pour moi. Donc je transitionne vers des eaux florales, huiles essentielles et huiles végétales. Pas besoin de pétrochimie pour prendre soin de soi!
 
 
 
Donc, c’est clair que les produits Body Shop ne vont plus guère avoir droit de cité chez moi, à moins qu’ils deviennent irréprochables sur la composition…​
 
SoleilBiafine: crème solaire bien chimique, mais les alternatives bio ne sont pas satisfaisantes pour le moment. -> Je rachèterai peut-être.
 
Gelée corporelle fleur de lotus-frangipane Body Shop (du bon « green washing », quand on regarde la différence entre la mention « miel issu du commerce équitable » et la composition INCI) -> Je ne rachète pas.
 
Beurre corporel au cacao Body Shop  (le packaging fait un peu « produit brut et non-transformé, un coup d’œil sur la liste des ingrédients et on déchante!) -> Je ne rachète pas
 
Shampooing le Couvent des Minimes (pas bio, mais la composition est plutôt correct) -> Je rachèterai peut-être.
 
Aloe vera Aroma Zone, devenu un basique pour moi, mais le conditionnement est compliqué pour finir le produit!!! -> Je rachèterai.
 
Eau micellaire Jonzac, plutôt un bon produit, certifié bio, mais je ne vais plus utiliser d’eau micellaire. Je suis plus satisfaite des eaux florales. -> Je ne rachète pas
 
Gélules huile d’onagre Elusanes, achetées pour améliorer mon eczéma, le hic, c’est que les gélules sont conditionnées avec de la gélatine (sans doute porcine) -> Je ne rachète pas (problème: les autres marques ne semblent pas proposer d’alternatives végétariennes, donc je vais continuer mes investigations sur ce produit)