A la maison, Bilans, Minimalisme, Solo living

Mon équipement de cuisine

Toujours dans ma volonté de simplifier, rationaliser, vivre simplement, je me suis à nouveau penchée sur mon bazar de cuisine. Je suis loin d’être une ménagère des années 1950, mais je craque souvent pour de la vaisselle, des appareils électroménagers etc… Je me retrouve parfois débordée par mes possessions, ce que je n’apprécie pas.

Un an que j’ai fait installer ma cuisine (j’ai pu tout choisir de À à Z, mon rêve !), il est temps de faire le point sur son utilisation.

Photo de Chait Goli sur Pexels.com

J’ai allumé l’énorme four 3 fois en un an, car je préfère nettement mon airfryer…

Les 2 feux de la table à induction sont largement suffisants pour mon usage (allez, je m’en sers une à deux fois par mois environ). Du coup, je suis assez suréquipée en casseroles. Je vais peut-être m’en séparer de quelques unes.

J’ai fait un gros tri il y a 6 mois et rien ne m’a manqué, donc c’est bien le surplus dont je me suis séparée.

Mes essentiels électroménager de cuisine, sans ordre de préférence :

Airfryer
Rice cooker
Soup maker
Pied mixeur / hâchoir
Râpe à légumes électrique
Gaufrier (pas vraiment un essentiel, mais j’en ai un)
Micro-onde
Bouilloire
Machine à café filtre
Blender Nutribullet

Je me suis séparée de:
Blender Magimix en verre (trop gros pour mon utilisation en smoothie du dimanche)
Robot multifonction Magimix (à part pour râper des carottes, je ne m’en servais pas)
Instant pot (j’ai pris la version 6 litres, alors que 4 litres auraient suffi, avantageusement remplacée par mon rice cooker)

Et vous, quels sont vos appareils de cuisine indispensables?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Des mesures pour économiser en cette rentrée 2022

Je l’ai déjà écrit, je trouve que je vis confortablement. J’ai largement de quoi vivre, j’ai un toit sur la tête, une voiture, assez d’argent pour m’offrir des vacances et en mettre de côté. Dans le climat actuel, je mesure ma chance. Ce n’est pas pour autant que j’en perds le sens des réalités. La vie est de plus en plus chère et il est stupide de gaspiller de l’argent inutilement.

J’ai donc revu mon budget mensuel et mes priorités. Et j’ai décidé de réduire certains postes de dépenses.

Mesure N°1: Résilier ma box fibre

Déjà c’est un exemple d’une promotion temporaire telles que je les déteste: j’avais un tarif à 20€ pendant un an, qui a explosé à 45€ à partir du treizième mois.

Même si je travaille environ 3 jours par semaine de chez moi, j’ai décidé de me passer de la classique Box Fibre, incluant bouquet de chaînes télé et téléphonie fixe. Je ne me servais que de l’Internet au final. Je remplace par une ligne téléphonique 5G, puisque je suis desservie. J’ai 210 Go à dépenser, ce sera, je pense, suffisant.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

Mesure N°2: Ne pas renouveler mon abonnement Microsoft office

Cela m’est facturé 69€ par an, alors que j’ouvre un ficher Excel 2 fois par mois… Encore une fois, c’est un abonnement onéreux pour une valeur ajoutée faible. Je bascule donc sur un tableur et un traitement de texte plus simple et surtout gratuits. Je me servais de OneDrive, mais il est devenu redondant avec iCloud. En revanche, je garde bien mon abonnement de sécurité, je ne recommande pas de faire d’économies sur ce poste.

Mesure N°3: poursuivre, encore et toujours le désencombrement

J’ai fait du tri et du rangement et identifié, encore et toujours, des objets dont je pourrais me séparer. Au delà de mes sacs, très clairement, je cible mon équipement de cuisine. Je cuisine de moins en moins et avoir des gadgets dans tous les sens me distrait plutôt qu’autre chose. J’aimais bien mon Instant Pot, mais clairement, le modèle de 6 litres était surdimensionné pour mon foyer d’une personne. Je l’ai remplacé par un rice cooker plus compact et revendu l’Instant Pot.

Puisque c’est du bon matériel, je parviens à le revendre sur Internet (Rakuten, Le Bon coin…) sans trop de souci. Pour ce qui a peu de valeur, je vais le disperser fin septembre lors de la brocante de ma ville. Si personne n’est intéressé, je le donnerai.

Photo de Julia M Cameron sur Pexels.com

Mesure N°4: « no buy » jusqu’à la fin de l’année

Clairement, je n’ai pas besoin de davantage de bordel. J’ai des projets à long terme à financer, je dois retaper ma santé et ma condition physique, donc pas de shopping à l’horizon!

Et vous, avez-vous une recette anti-inflation?

Culture, Défis, Solo living

La vie est courte: Ma bucket list

S’il y a une chose que la vie m’a apprise ces dernières années est que la vie est courte et qu’il ne faut pas reporter indéfiniment ce qu’on a envie de faire, sous peine de ne jamais réaliser ses rêves et ses projets !

Pour mon voyage au Japon, initialement prévu au printemps 2020, je n’ai guère le choix que de patienter jusqu’à ce que la situation sanitaire soit clarifiée, mais pour d’autres choses, je peux commencer maintenant.

J’ai arrêté les cours d’allemand avec ma formation initiale en école de commerce et j’ai rarement eu l’occasion de le pratiquer. J’avais pourtant un bon niveau et j’aimais bien la langue. Ma maîtrise de l’anglais a balayé bien des choses sur son passage… Je nourris ce regret d’avoir perdu mes compétences de germaniste depuis une bonne dizaine d’années. C’est tellement dommage d’avoir investi tout ce travail pour rien !

Finis les regrets, place à l’action : j’ai donc googlé des cours d’allemand sur Paris et, une fois mon test de niveau fait (A2 à l’écrit, B1 à l’oral) je me suis retrouvée en cours du soir avec d’autres adultes dès la semaine suivante. Je n’ai pas eu le temps de me trouver des excuses pour reporter! 42 heures en présentiel et en distanciel sont prévues. Je pourrais peut-être même compter sur un financement de mon entreprise…

Parmi les autres projets que j’ai :

  • me remettre à l’italien (mes cours d’italien sont plus récents que mes cours d’allemand – je m’y suis mise après mes 30 ans, et j’essaye de garder mon petit niveau, mais les langues vivantes, ça se pratique !)
  • apprendre le chant lyrique (est-ce trop tard à mon âge ?)
  • apprendre la clarinette ou le hautbois (enfant, on m’a imposé la flûte traversière, que je n’aimais pas spécialement…)
  • visiter les musées d’Art Contemporain des villes que je visite
  • Courir un 10 kilomètres
  • Être classée en tennis 🎾
  • Publier un roman ou un recueil de nouvelles (sur Amazon Kindle Publishing, ce n’est pas si inabordable – un rêve d’adolescente à réaliser… pourtant ce blog compte presque 500 articles en 15 ans, mais ce n’est pas un livre!)

Et vous, quels sont les projets que vous souhaitez concrétiser ? Qu’attendez vous pour le faire ?

A la maison, Minimalisme, Santé, Solo living

Ma transition ménagère

Je pensais être une écolo, une bobo minimaliste… En fait, il n’en est rien! Certes, j’ai bossé sur ma garde-robe, mes livres, mes bidules de cuisine, mais force est de constater que j’ai accumulé une quantité de produits et d’équipements de ménage bien trop conséquente pour mon mode de vie actuel. Sans compter que tout ce barda n’est pas forcément bon pour la santé.

C’est le même constat que pour ma salle de bain en son temps : ça déborde ! Je ne sais même plus ce dont je dispose et ce dont j’ai vraiment besoin. Pourtant, je sais que très peu de produits suffisent à l’entretien d’une maison: du vinaigre, blanc, du bicarbonate de soude et du savon noir suffisent pour à peu près tout!

J’ai eu une certaine prise de conscience grâce à un Tiktok sur les perturbateurs endocriniens. J’ai donc repris les basiques et retrouvé ce petit livre de ménage au naturel, sans chimie lourde.

Une partie de ma « collection »

J’ai donc regardé quelques vidéos de ménage sur Youtube pour me donne de l’inspiration et de l’élan et j’ai rassemblé tous mes produits de ménage au même endroit, façon Konmari.

Le tout, donné sur Geev

Pourquoi ai-je donné sur Geev des produits dont je ne suis pas sûre qu’ils soient bons pour ma santé? Parce que nous sommes tous différents et qu’à tout prendre, si quelqu’un en veut, je ne vais pas tout mettre à la poubelle. J’ai aussi donné un seau (doublon) et un embout de serpillière espagnole. L’idée était avant tout de simplifier mes produits de ménage et d’éviter les produits chimiques trop lourds. Je vais néanmoins finir mes tablettes lave-vaisselle et ma lessive liquide actuelles avant de transitionner vers des formules plus neutres.

Et vous, faites vous, vous aussi, votre ménage au naturel ?

A la maison, Alimentation, Perte de poids, Solo living

Cuisiner ses excès de placards

Certains cuisinent leur fond de placards, et d’autres, comme moi, avec tous mes privilèges de blanche occidentale de la classe moyenne, je me retrouve à m’atteler à mes excès de stockage alimentaire. Oui, je le reconnais, je stocke bien trop de nourriture pour mon foyer d’une personne et 2 chats.

Le challenge lancé il y a quelques temps m’a conduit à vider mes placards et faire un inventaire. Il est temps désormais de vider les excès et ne pas gaspiller. Comme il s’agit de nourriture que j’ai achetée pour moi, j’ai décidé de consommer toutes ces denrées et de ne pas les donner. L’idée est surtout de contrôler mes dépenses et mes impulsions, mais aussi et surtout de prendre soin de ma relation complexe avec la nourriture.

L’excès de placards en question

Le contenu : des choses que je ne mange jamais : pollenta, farine de pois chiches… Des choses en trop: paquets de pâtes, sauce tomate, raviolis végétariens.

Je vais cesser d’acheter tout produit sec, tant que la caisse n’est pas vide. Ça va être sympa ! Je dois aussi m’attaquer au placard « Petit déjeuner & snacks ». Y a un peu trop de friandises dedans, ce qui n’aide pas au contrôle du poids.

Et vous, que faites-vous des produits alimentaires que vous avez en trop?

A la maison, Alimentation, Défis, Minimalisme, Solo living

Mission: simplification

J’ai déménagé il y a 6 mois dans mon appartement de région parisienne : 3 pièces, 62 mètres carrés et un balcon rien que pour les chats et moi. J’ai pu concevoir et faire installer la cuisine de mes rêves : 7 mètres carrés fonctionnels et plein de rangements, dans des coloris et des matières que j’ai choisis. Malgré tous les travaux que j’ai pu faire dans mon existence, c’était la première fois que je me lançais dans la mise en place d’une cuisine en partant d’un mur blanc.

Hélas, je crois que je me suis laissée un peu débordée par ces larges capacités de rangement. J’ai acheté de la vaisselle, juste parce qu’elle me plaisait, pas parce que j’en avais besoin. Et j’ai fait des achats de nourriture parce que c’était en promotion… Aujourd’hui, ça déborde et mon foyer d’une personne et 2 félins n’a pas besoin de tout çà.

J’ai donc résolu de trouver une place pour chaque chose pour que chaque chose ait sa place, et je vais commencer par vider les placards du superflu!

Ce n’est pas parce qu’on a vécu une pandémie qu’on a besoin de stocker outre mesure. L’expérience l’a prouvé : il n’y a pas eu péril en la demeure, même si les gens se sont rués sur le papier toilette et la farine. J’ai gardé les fesses propres et je n’utilise jamais de farine, donc tout s’est bien passé.

Je lance donc ce nouveau défi minimaliste dans mes placards de cuisine pour les prochaines semaines : identifier la quantité nécessaire et suffisante de nourriture pour mon foyer. Les périodes de fête sont propices aux excès de consommation, notamment alimentaires, alors prenons les devants!

Et du côté de chez vous, c’est vide ou ça déborde ?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Comment je gagne ma vie

J’adore regarder les rubriques « Porte-Monnaie » de certaines publications. Celles de Rue89 sont devenues payantes, mais il y a celles de Mademoizelle, qui sont gratuites. Je trouve trop rarement des porte-monnaie correspondant à ma situation, n’étant ni millionnaire, ni rentière, ni mère célibataire galérant à joindre les deux bouts. Voilà donc ce qui constitue mes rentrées d’argent:

1- Mon salaire: évidemment ma plus grosse source de revenus!
Je suis cadre dans une entreprise internationale.
Non seulement mon contrat de travail m’octroie un salaire, mais également des droits sociaux: couverture Frais de santé, Prévoyance, Retraite, Épargne Salariale etc. Ce régime français fait qu’il est intéressant d’être salarié (et non indépendant) car il y a un véritable « filet de sécurité » en cas de pépin: prise en charge de dépenses médicales, épargne à moyen et long terme, ouverture de droits à indemnisation chômage etc. Clairement être salarié en France est un statut de privilégié. Il suffit de jeter un oeil à ce qui se passe ailleurs. Ce n’est pas une raison pour accepter tout et n’importe quoi, mais il faut reconnaître une situation de privilège.

2- La location d’un appartement
C’était mon projet en France, et finalement je l’ai réalisé en Irlande. Mon crédit est couvert par les loyers perçus. C’est assez spécifique au marché immobilier irlandais: les loyers sont plus élevés que des traites d’emprunt. Je m’y retrouve, car la taxation est moins importante qu’en France. C’est un investissement plutôt risqué, vue la volatilité du marché et le fait que le taux d’emprunt soit variable et élevé, et à très long terme (endettement sur plus de 20 ans). Pour l’instant, je garde cet investissement, car je ne désespère pas de revenir vivre à Dublin, où je me suis sentie « chez moi » pendant plus de deux années.

3- Investissements et placements
J’ai différents placements: épargne salariale, assurance-vie, PEA, PERP. Je viens d’acquérir ma résidence principale. Pour moi, c’est à la fois une nécessité (besoin d’un toit sur la tête) et un investissement (il n’est pas impossible que je la loue un jour si je quitte la région parisienne, donc j’ai raisonné comme pour un investissement locatif dans ma recherche immobilière). J’ai tranché, pour mon cas personnel, le dilemne « acheter ou louer ». En plein centre de Paris, clairement, la location gagne, car le prix au mètre carré est exorbitant et il faut rester plus de 20 ans au même endroit pour rentabiliser l’investissement. Mais dans ma banlieue (95), l’achat se révèle rentable. Le loyer que je payerais pour mon appartement est à peu près équivalent à mes mensualités d’emprunt, charges de copropriété incluses, avec un taux fixe et bas. Donc je me constitue un patrimoine au lieu de payer un loyer.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

4- Ventes d’occasion
Bon an, mal an, je génère plusieurs centaines d’euros en revendant des choses qui ne me servent plus. J’ai une petite tendance à faire des achats compulsifs et cela me rassure toujours de savoir que je peux minimiser les ravages de cette tendance sur mon porte-monnaie en récupérant quelques sous… Je vends sur Rakuten ou Vinted ou Ebay, selon le type d’objets.

5- Cashback / Coupons
Je suis très attentive à ce que je dépense, car mon argent ne tombe pas du ciel. Déjà, j’essaye de n’acheter que ce dont j’ai besoin et de rentabiliser ce que j’ai déjà chez moi. J’utilise le système de cashback d’iGraal au maximum pour récupérer quelques euros sur des achats que j’aurais de toute façon faits. Je profite aussi des cashbacks de Boursorama (selon moi la meilleure banque en France, sans frais) et de son espace « the Corner » pour obtenir des réductions (places de ciné etc) sur des chèques-cadeaux (Ikea, 13% de réduction sur La Redoute, Darty, 5% sur Décathlon, Amazon…).

6- Cadeaux / Subventions
Ce n’est clairement pas un flux financier majeur, mais mon CSE m’accorde des chèques-cadeaux pour Noël et des chèque-vacances. Je reçois aussi parfois des « awards » de mon employeur, ce qui me génère encore des chèques-cadeaux.
Pour le reste, j’ai une politique de « zéro cadeau » pour moi, donc mes proches ne m’offrent rien. Il arrive qu’ils me donnent des objets, comme il arrive que je leur en donne, mais cela ne constitue pas un « cadeau ». C’est très très marginal.

Et vous, comment gagnez-vous votre vie?

A la maison, Journal, Solo living

La petite pause estivale qui va faire du bien !

Je ne parle pas de ce modeste blog, que j’alimente quand ça me chante. J’ai d’ailleurs plusieurs articles presque finis, qui seront mis en ligne dans le courant de l’été.

En revanche, je suis encore fatiguée par les réseaux sociaux, notamment Twitter et LinkedIn. J’ai donc décidé de supprimer ces applications de mon smartphone. Cela me fera du bien de m’épargner des débats sans fin avec des personnes souvent obtuses, ignorantes et agressives. Évidemment, ce n’est pas tous les participants, mais il y a un certain nombre de trolls qui se permettent tous les irrespects parce qu’ils sont dissimulés derrière leur écran. JAMAIS je n’ai eu d’interaction aussi violente en face à face.

J’accepte la pluralité des points de vue, je sais bien que tout le monde n’est pas d’accord avec moi. Mais je ne supporte pas de me faire agresser gratuitement et méchamment, alors que j’exprime une simple opinion. Les commentaires, c’est vraiment le pire sur Internet. Je les lis trop, et j’ai trop souvent envie de mettre le mien. Honnêtement, cela ne m’apporte rien. Donc je vais dorénavant me taire. Si une opinion me démange trop, j’en ferais un article sur ce blog, après tout, il sert à çà.

Ma nouvelle déco, temporaire heureusement…

Donc, ma résolution de l’été : me centrer sur moi et mes besoins (j’ai un appartement à aménager, après tout) et ne rien commenter nulle part sur aucun site. J’ai besoin de tout mon temps libre pour m’occuper de moi et de mes problèmes, sans me faire polluer par des inconnus.

Et vous, comment s’annonce votre été ?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Ces 5 choses qui se sont avérées rentables

Dans cette société consumériste, qui nous incite à accumuler des objets, dont on n’a pas forcément envie ni besoin, il y a parfois des achats pour lequel on en a eu pour son argent, des choses qui valent le coup. Voici ma sélection :

1- Portefeuille Ogon. Je l’ai acheté d’occasion sur Vinted. Il était un peu rayé mais tout à fait utilisable. Je voulais essayer le format, moi qui ai longtemps utilisé un porte-monnaie tout simple comme portefeuille. Les petits compartiments sont très bien pour les cartes et la carte d’identité. Petit format idéal, léger. Bref. Essai concluant. Je m’en offrirais un nouveau prochainement, avec un extérieur plus costaud que celui en alu brossé.

2. Smartphone Motorola – J’ai l’habitude d’acheter mes smartphones neufs puis de les revendre après 12 à 18 mois d’utilisation. Généralement je récupère la moitié de la valeur d’achat et cela me sert à financer mon nouvel achat. Voilà longtemps que j’ai délaissé la sphère iphone. Dans la gamme Apple, je n’aime que les ipad, et encore… C’est bien trop cher pour ce que c’est! Ce modèle est mon deuxième Motorola et je suis absolument convaincue par son rapport qualité prix. A titre professionnel, j’ai un Samsung, sensiblement plus cher et je ne le trouve pas spécialement plus performant ou pratique que mon Motorola personnel. Pourquoi dépenser plus? Avec 200€, on a un smartphone tout à fait décent, et c’est bien difficile de s’en passer de nos jours.

3. Airfryer (friteuse sans huile, en bon français): indispensable dans ma cuisine depuis près d’un an. Je m’en sers quasiment tous les jours pour rôtir mes pommes de terre, légumes, falafels etc. Tellement plus rapide, pratique et facile à nettoyer qu’un four! Je ne sais pas si je prendrais à nouveau ce modèle, mais clairement, je ne peux plus m’en passer. Une bénédiction quand on veut manger moins gras et tout aussi savoureux.

Photo de William Fortunato sur Pexels.com

4. Abonnement Kindle Unlimited – J’ai redécouvert récemment le plaisir de me laisser emporter par les livres. Car oui, j’étais un peu fâchée avec l’objet « livres »: encombrant, lourd, difficile à stocker, possiblement dévoré par mon chat papivore… Maintenant que j’ai déménagé, j’ai aussi un trajet en tram à optimiser. J’avais un Kindle Fire 8, finalement pas si pratique, alors j’ai pris une tablette Samsung 8 pouces, qui est très bien pour mon utilisation, tout en étant plus performante que la Kindle, que je vais mettre en vente, du coup. Pour avoir toujours quelque chose à lire, je me suis laissé tenter par un abonnement Kindle Unlimited. Soit, toute la bibliothèque de l’humanité n’y est pas disponible, mais j’y trouve de quoi satisfaire mon appétit de lecture.

5. Un mètre-ruban. C’est un des objets les plus anciens chez moi, que j’ai acheté quand je suis arrivée à Paris en 2003. Je l’ai acheté dans une droguerie et il tient encore la distance. Selon les périodes, je m’en sers plus ou moins souvent. J’ai aussi encore le marteau que j’ai acheté en même temps au même endroit. Les outils, cela vaut la peine d’investir dans de la qualité, c’est certain!

Et vous, quels sont vos achats qui ont tenu la distance et pour lesquels vous en avez eu pour votre argent ?

A la maison, Défis, Minimalisme, Solo living

Bilan du challenge « Paperasses » de mars-avril 2021

Malgré ma bonne volonté, je n’ai pas réussi à m’attaquer à mon imposante paperasse qui attend depuis des années que je la range, dans les délais impartis par le challenge. Je ne vais pas (me) mentir. Je déteste gérer mes papiers, c’est physique.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

Il aura fallu l’imminence d’un déménagement pour que je m’y mette très sérieusement! et aussi que je vire mon chat papivore pour pouvoir m’atteler à la tâche tranquillement sans qu’un félin ne grignote un bulletin de paye ou un autre document important.

J’ai donc procédé de la sorte:
rassembler tous les papiers, quelque soit la catégorie (ex: factures, bulletins de paye etc), façon Marie Kondo
identifier ce qui pouvait être jeté à la poubelle ou au recyclage (ex: tickets de caisse d’épicerie, notice pour un appareil que je n’ai plus)
identifier que qui devait être détruit, car obsolète et mentionnant des données personnelles (ex: bail d’un ancien appartement, attestation droits sécurité sociale…)
identifier ce qui devait être conservé (documents en cours, bulletins de paye, contrats de travail…)
ranger dans un dispositif adéquat les documents à conserver: classeurs, trieur, boîtes.

Bref. Le challenge n’a pas été accompli sur les mois initialement prévus, mais quelques semaines plus tard. Je reste satisfaite du résultat, même si j’aurais pu mieux mieux faire. Je vais essayer de traiter les papiers au fur et à mesure, d’autant que mon déménagement et changement de banque a généré un nouveau flux de papiers…

L’essentiel n’est-il pas d’avoir vaincu ma phobie adminsitrative, juste à temps pour la déclaration d’impôts?

A la maison, Journal, Solo living

La femme Prosecco, et moi?

Cet article du Guardian m’a fait réfléchir, en ces temps de cadeau obligatoire. Voilà des années que je ne fais plus de cadeau et que, surtout, je demande à ne pas en recevoir ! Pas besoin de grand chose, horreur du bazar qui traîne, cadeau à côté de la plaque… J’en ai déjà parlé .

Dans cet article, pour ceux qui ne comprendraient pas l’anglais, l’auteure constate qu’elle reçoit des cadeaux sur le thème du Prosecco, ce vin italien, plus abordable que le champagne, très populaire dans les Îles Britanniques : bouteilles, t-shirts, mugs… Elle se demande si finalement, « Prosecco » n’est pas devenu un type de personnalité, sa personnalité. Évidemment que non, mais elle vient de réaliser que ce que ses proches connaissent d’elle, c’est son goût pour ce vin, mais pas vraiment grand chose d’autre. Aïe.

Voilà des années que les cartes qu’on m’adresse des cartes à thème »chat », donc je comprends ce qu’elle peut ressentir. Bien sûr, j’adore les félins, mais pour autant, j’aime bien d’autres choses dans la vie: l’art contemporain, le théâtre, la musique latino, la salsa, les voyages etc. Mais finalement, ce que mes « proches » retiennent de ma personnalité, c’est que je suis une « crazy cat lady ».

C’est dur de se le prendre en pleine face, mais force est de constater que mes goûts et ma personnalité ne doivent pas transparaître plus que ça… Encore une fois, je ne souhaite pas de cadeau. C’est juste que ça m’embête d’être perçue uniquement sous le prisme de mon amour pour les chats, je suis tellement plus que çà!

Et vous, recevez-vous des cadeaux et cartes sur le même thème ? Êtes vous plutôt chats ou Prosecco?

Garde-robe, Minimalisme

Le cachemire c’est fini

J’ai découvert le cachemire en 2015, sur recommandation d’une amie. Auparavant, je n’étais pas très fan de laine car j’ai toujours trouvé que ça grattait.

Je me suis donc retrouvée propriétaire de 2 pulls Éric Bompard : un rose « freesia » un peu épais et un vert « rameau » très fin. Je pense que j’ai pas mal rentabilisé ces pulls, jusqu’au jour où le pull rose n’a pas survécu à une erreur de machine (et en plus il a déteint sur de la laine mérinos… Sans compter les 2 autres pulls en cachemire de moins bonne qualité qui se sont désagrégés dans le tambour ce jour-là). Pourquoi le bouton « délicat » est à côté du « lavage quotidien »?

Vu que la marque Éric Bompard n’est pas spécialement bon marché (plusieurs centaines d’euros à prévoir pour un pull, fabriqué on ne sait pas vraiment où), j’ai complété ma collection avec des pulls en cachemire Uniqlo (entre 59 et 89€ pièce, de mémoire) et une série de pulls et de gilets en cachemire de la Redoute (payés entre 30 et 50€ pièce, toujours en soldes et de préférence l’été). J’ai adoré cette matière, qui tient chaud, qui supporte bien l’entretien pour peu qu’on utilise la bonne lessive et le bon programme. Certains cachemires ont mieux résisté que d’autres, mais un grand nombre s’est retrouvé avec des trous, plus ou moins importants. Dans l’ensemble, je trouvais que c’était joli et sophistiqué.

La laine est un produit issu de l’exploitation animale.

Suite à un griffage de chat, j’ai dû apporter le pull vert « rameau » chez un retoucheur spécialisé. Cela m’a plutôt coûté cher en temps (2 déplacements dans Paris, sans compter la visite initiale en magasin) et en argent. Il va s’en dire que les cachemires troués sont partis au recyclage, car la réparation coûtait plus cher que le produit lui-même.

Suite à mes différents tris de garde-robe, à l’aube de l’hiver 2020-2021, il restait encore ces quelques articles en cachemire dans ma penderie:

  • le fameux pull vert « rameau » Éric Bompard
  • un pull très décolleté bleu ciel La Redoute
  • un gilet noir col rond La Redoute
  • un gilet bleu roi grand décolleté V la Redoute

J’ai décidé de me séparer de tout çà. D’une part, je trouve que c’est trop d’entretien et j’ai été un peu traumatisée par mon accident de lessive vu tout l’argent fichu en l’air. Par principe, je veux les articles qui nécessitent le moins d’entretien possible et clairement le cachemire n’est pas la bonne option. D’autre part, je ne suis pas à l’aise avec l’idée de m’habiller avec des matières animales. Je me passe de bien des produits animaux dans mon alimentation, alors pourquoi devrais-je en consommer pour me vêtir ?

J’ai donc mis ces articles en vente sur mon Vinted (pseudo verte_pale), et je rajoute également :

  • 1 marinière 100% laine de mérinos Armor Lux (là encore un vêtement que j’ai bien rentabilisé en 5 ans mais qui m’est trop juste)
  • 1 pull en laine mérinos rouge Banana Republic avec des froufrous (le décolleté est définitivement trop décolleté)

Me restera-t-il de la laine dans ma garde-robe ? La réponse est oui: j’ai un manteau en laine bleu marine Gérard Darel (made in Lithuania) et une marinière coton-laine Armor Lux (Made in France). Le reste de mes vêtements d’hiver est soit en coton, soit en synthétique. Il en va du cuir comme de la laine chez moi: j’ai encore quelques articles à user jusqu’à la moelle (1 ceinture, quelques paires de chaussures, 1 sac à main) et soit ils ne seront pas remplacés, soit ils le seront par d’autres matières.

Je n’ai pas prévu de remplacer les vêtements en laine, cachemire ou mérinos dont je me sépare. Je ne perds pas de vue mon challenge cagnotte garde-robe.

Et vous, achetez-vous des articles en laine ? Trouvez vous que ce soit ethnique ?