A la maison, Smart Shopping

Le Smart Shopping, c’est quoi?

Ce n’est un secret pour personne (en France, en 2023), la vie coûte de plus en plus cher, alors que les salaires stagnent. Conséquence, pour maintenir son confort de vie, il est utile de réfléchir à ses dépenses et de les optimiser. J’ai déjà posté quelques unes de mes astuces et .

Même si je gagne bien ma vie aujourd’hui, je veux toujours être vigilante par rapport à mes dépenses, pour m’éviter des moments de fièvre acheteuse, notamment pour des vêtements et des cosmétiques. Parfois, j’ai besoin de la dopamine procurée par un achat « plaisir ».

Photo de Andrea Piacquadio sur Pexels.com

Le pouvoir d’achat est un sujet qui me préoccupe, étant seule à assumer toutes mes charges… J’ai besoin d’économiser le plus possible pour financer mes projets et solidifier mon épargne. Ayant l’expérience, la vie en solo, mes errements, mes erreurs, j’ai élaboré mes 5 grands principes afin de mieux dépenser et surtout ne pas gaspiller son argent…

Les 5 commandements du Smart Shopping:
– n’acheter que ce dont on a besoin
– regarder les prix au kilo/pièce et privilégier les marques de distributeur
– vérifier les coupons de réduction, offres de remboursement et cashback pour les produits que l’on consomme régulièrement et avant tout gros achat
– utiliser un comparateur de prix (par exemple Achat Moins Cher)
– avoir des cartes de fidélité des magasins que l’on fréquente régulièrement

Et vous, avez-vous des astuces pour faire des économies?

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Mon équipement de cuisine

Toujours dans ma volonté de simplifier, rationaliser, vivre simplement, je me suis à nouveau penchée sur mon bazar de cuisine. Je suis loin d’être une ménagère des années 1950, mais je craque souvent pour de la vaisselle, des appareils électroménagers etc… Je me retrouve parfois débordée par mes possessions, ce que je n’apprécie pas.

Un an que j’ai fait installer ma cuisine (j’ai pu tout choisir de À à Z, mon rêve !), il est temps de faire le point sur son utilisation.

Photo de Chait Goli sur Pexels.com

J’ai allumé l’énorme four 3 fois en un an, car je préfère nettement mon airfryer…

Les 2 feux de la table à induction sont largement suffisants pour mon usage (allez, je m’en sers une à deux fois par mois environ). Du coup, je suis assez suréquipée en casseroles. Je vais peut-être m’en séparer de quelques unes.

J’ai fait un gros tri il y a 6 mois et rien ne m’a manqué, donc c’est bien le surplus dont je me suis séparée.

Mes essentiels électroménager de cuisine, sans ordre de préférence :

Airfryer
Rice cooker
Soup maker
Pied mixeur / hâchoir
Râpe à légumes électrique
Gaufrier (pas vraiment un essentiel, mais j’en ai un)
Micro-onde
Bouilloire
Machine à café filtre
Blender Nutribullet

Je me suis séparée de:
Blender Magimix en verre (trop gros pour mon utilisation en smoothie du dimanche)
Robot multifonction Magimix (à part pour râper des carottes, je ne m’en servais pas)
Instant pot (j’ai pris la version 6 litres, alors que 4 litres auraient suffi, avantageusement remplacée par mon rice cooker)

Et vous, quels sont vos appareils de cuisine indispensables?

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Bilan du mois de mars 2023

Le défi du mois était de vider mes placards et mon congélateur et de n’acheter que des produits frais pendant le mois de mars. Mes constats à l’heure de faire le bilan?

Constat N°1: mes placards se sont un peu vidés mais il y a encore de la marge.
J’ai encore beaucoup de stock. Je pense que je suis prête pour poursuivre le même défi en avril, voire en mai. Avoir un foyer d’une personne et 2 chats ne nécessite pas des stocks gargantuesques de nourriture. Je le soupçonnais déjà, mais clairement, j’ai trop de choses dans mes placards de cuisine, à tel point que des aliments secs se sont retrouvés périmés alors que j’avais l’impression de les avoir achetés récemment.
Je crois que je vais devoir établir une liste et m’y tenir.

Constat N°2: je suis gourmande.
J’ai évidemment acheté des fruits et des légumes pendant ce mois, mais j’ai aussi été tentée d’acheter des douceurs; chips, boissons pétillantes, bonbons… Ce fut dur de résister. Clairement ces aliments-là ne restent pas longtemps dans le stock. Gras, salé, sucré, le combo irrésistible! Surtout devant un match de rugby en plein pendant le Tournoi des 6 Nations.

Constat N°3: j’ai fait des économies.
Vu que j’ai consommé en priorité le contenu de mes placards, j’ai très peu dépensé ce mois-ci. Mes courses de supermarché ont été règlées avec ma carte ticket-restau et mes cagnottes fidélité. Je finis le mois avec des sous sur mon compte, alors que généralement, je dépense tout.
Outre la nourriture, j’ai aussi modérément dépensé sur les postes habillement et accessoires et 0 pour les cosmétiques, ma petite faiblesse…

Et chez vous, quel est l’état des stocks? Etes-vous un minimaliste du garde-manger?

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5 pays que je ne visiterai pas

« Je ne suis pas encore allée partout, mais c’est sur ma liste. » – Susan Sontag 

Mon blog n’est pas spécifiquement dédié aux voyages, mais j’y ai parfois évoqué mes déplacements et autres pérégrinations… Notamment en Australie, Nouvelle-Zélande, Croatie… Je suis bien consciente de mes privilèges d’Européenne à fort passeport et avec un pouvoir d’achat non-négligeable. Il est facile pour moi de sauter dans un avion et d’aller à peu près où je veux!

Avec les années, ponctuées d’un nombre certain de déplacements professionnels (Italie, Espagne, Pays-Bas, Angleterre, Irlande, USA et plus récemment Israël), ce que je recherche quand je voyage a évolué. J’apprécie de planifier un weekend en Europe de temps en temps, mais j’apprécie surtout le confort de mon chez-moi que j’aime. A un moment, le fait de me déplacer me pesait énormément. J’ai restreint mes déplacements en avion, même si mon empreinte carbone reste élevée. Même si je sais que ce n’est pas bon pour la planète, j’ai du mal à me résoudre à ne pas utiliser l’avion. J’ai quand même fait un train trip en Europe d’une semaine en 2022 (Strasbourg-Hanovre-Hambourg-Copenhague).

Au fil de mes rencontres, je me suis bien aperçue que certaines personnes sont des grands fans de voyages et de découvertes et qu’il y a 1001 façons de faire. Aller au Club Med, c’est voyager. Faire du backpack en Asie du Sud-Est, c’est voyager. Partir chez des amis à une heure de chez soi en train ou en voiture, c’est voyager. Tout ce qui nous sort du traintrain quotidien est un voyage!

Antarctic mountains by NASA Goddard Photo and Video is licensed under CC-BY 2.0

Même si j’apprécie de découvrir des nouveaux endroits, il y a des lieux que je ne souhaite pas visiter, c’est ma « not to do list ».

N°1: L’Egypte
Grande destination touristique, riche héritage historique et culturel (enfin, ce qu’il en reste après les pillages européens) mais il semble que les locaux soient assez agressifs envers les touristes. Je déteste ne pas pouvoir me balader tranquillement dans la rue (par exemple impossible pour moi en Turquie touristique quand on est une femme blanche) et je pense que je serais très contrariée de ne pas pouvoir aller et venir librement sans me faire accoster tous les 2 mètres. Il semblerait aussi que la tourista soit très répandue parmi les visiteurs. Personnellement, je ne l’ai jamais eue, mais je ne souhaite pas tenter le diable. Passer ses vacances aux toilettes, non merci!

N°2: L’Inde
Les personnes que je connais qui y sont allées m’ont toutes rapporté le choc qu’elles ont ressenti en se rendant dans le sous-continent indien. Bruits, odeurs, pauvreté, foule, indifférence… Je pense que je ne supporterais pas ce spectacle, c’est trop différent de mon mode de vie d’occidentale. Je suis aussi un peu agoraphobe, je ne suis pas donc pas fan de la foule.

N°3: Les Philippines
Une des destinations de choix des « Passport Bros », ces occidentaux de la middle class qui ne trouvent pas d’épouses dans leur pays d’origine et qui vont acheter une femme à l’étranger.
Il semble que ce soit un beau pays, mais la prostitution y est très répandue et pas cachée du tout. J’avais détesté cet aspect de mon voyage à Cuba: ces occidentaux prédateurs de chair fraîche qui usent de leur supériorité économique pour exploiter la misère des locaux… Beurk. OK, je sais bien que les travailleurs du sexe font vivre leur famille en vendant leur corps et leur jeunesse. Mais feraient-ils autre chose s’ils en avaient la possibilité? Mon sens de la justice sociale est vraiment mis à mal par l’exploitation des plus pauvres…
Il semblerait que les Philippines soient un beau pays avec des beaux paysages et pas mal de spots de plongée, ceci dit.

Tracking Human-Elephant Conflict using NASA Rainfall Data in India by NASA Goddard Photo and Video is licensed under CC-BY 2.0

N°4: L’Afrique du Sud
Il y a apparemment de très beaux paysages, mais je serais mal à l’aise d’y aller. D’une part parce qu’une partie du tourisme repose sur l’exploitation des animaux voire sur la chasse, notamment d’espèces menacées. Je ne peux pas approuver qu’on massacre des lions pour ramener un trophée. C’est à vomir.
D’autre part, il semblerait que ce soit une destination « dangereuse » pour les étrangers. La violence a l’air d’y être endémique. On recommande aux touristes de ne pas quitter leur hôtel dans certains coins. Or, en voyage, je ne mégote pas sur MA sécurité. Je ne veux pas mourir pour un cliché sur Instagram.

N°5: Le Brésil
Très grand pays, sûrement beaucoup de choses à découvrir. Mais là encore, c’est le côté violent et non-sécuritaire qui me rebute. Pas question de voyager la peur au ventre.

Et vous, vous en pensez quoi? Est-ce qu’il y a des destinations que vous ne souhaitez pas visiter?

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Besoin de faire une pause « Shopping »

Car oui, j’ai atteint une limite! J’ai beau me laisser endormir par les pics de dopamine liés à des achats, j’en ai assez de dépenser…

Photo de Engin Akyurt sur Pexels.com

J’ai pas mal fait de shopping pendant les soldes d’hiver 2023 (soup maker, four micro-ondes, vêtements, électronique, etc…) la plupart du temps pour du remplacement, mais j’ai quand même atteint un certain niveau d’écoeurement et une sensation de « TROP« . Soit, je n’ai pas besoin de surveiller mon budget de façon trop serrée, même si j’ai fait l’évaluation de mon impôt sur le revenu et que j’ai failli laisser couler une petite larme… C’est le prix de vivre en France et de contribuer à l’effort national en étant célibataire, sans enfant, à gros revenus. Donc je ne me plaindrais pas.

Je me fixe donc quelques résolutions « no buy, low buy » pour l’année 2023, plus pour juguler ma consommation et tirer un certain contentement de ce que je possède déjà.

Photo de energepic.com sur Pexels.com

NO BUY: 0 achat

Cosmétiques: j’ai un stock énorme à passer, je doute que j’aurais besoin de faire le moindre achat! Je suis quasi sûre qu’on pourrait tenir tout 2024 aussi. Challenge!
Maquillage: j’en utilise de moins en moins, j’ai fait du tri et personne n’a besoin de 18 rouges à lèvres. Même de 12.
électronique: j’ai fait le plein de tout ce qui pouvait me manquer, notamment pour mes voyages: batterie externe, sacoche de rangement, câbles de chargement etc à moins que quelque chose ne tombe en panne et ne nécessite un remplacement immédiat et vital, je ne vois pas pourquoi je dépenserais des euros dans ce domaine-là.
Electroménager: idem que pour l’électronique
Articles de papeterie: j’en ai trop, je ne les utilise pas assez. Je suis sûre que je pourrais redécouvrir des pépites dans mes tiroirs. Pas besoin d’aller en magasin
Textile: j’ai de quoi couvrir mes besoins en linge de lit, serviettes, torchons etc.

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LOW BUY: Achats limités au maximum

Vêtements: j’ai fait mon tri annuel et identifié des vêtements à vendre et à donner
Livres: ma pile à lire est importante, mais je ne veux pas me limiter si jamais je tombe sur un livre
Décoration: je ne vois pas ce que je pourrais rajouter chez moi. J’ai enfin mes abat-jour au complet (8!) et il est grand temps que je les installe. Il me manque un poster 50 x 70 cm pour remplit un cadre que j’ai déjà, c’est pourquoi cette catégorie est en « Low buy ».

La fatigue décisionnelle est une réalité. Trop d’options tuent le plaisir de choisir. Alors se restreindre devient une hygiène de vie pour être plus satisfait de son existence.

Et vous, êtes-vous tenté de restreindre votre consommation dans le but d’être plus satisfait de votre vie?

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Bilan de 2022 – Intentions 2023

Photo de Engin Akyurt sur Pexels.com

J’ai dit au revoir à 2022 en revenant d’une semaine de vacances à la Martinique, bien méritée après toutes ces déconvenues au niveau personnel: problèmes de santé personnels, parents qui déraillent etc…

2023 ne pourra être que mieux! Je n’ai pas de grand projet structurant au programme, je ne programme de retour permanent à l’étranger qu’en 2025. Je songeais à reprendre une formation de type Master 2 Coaching à la rentrée de septembre, mais je ne sais pas si cela en vaut la peine. J’aimerais beaucoup trouver mon créneau de « Digital Nomad », pas pour changer de cocotiers tous les mois, mais juste pour avoir la liberté de vivre n’importe où. Des coachs professionnels, il y en a à la pelle et ils crèvent la dalle. Je les vois me démarcher désespérément sur LinkedIn. Je crains que les besoins en coaching, comme en psychothérapies, sont énormes, mais PERSONNE NE VEUT PAYER. Donc cela me semble une voie sans issue. Repartir sur 12 mois de formation, même compatible avec un travail à plein temps, dépenser 7000€ minimum, pour au final des compétences que personne ne voudra payer, je pense que cela ne vaut pas le coup! J’aime toujours apprendre, mais je crois que je choisirais autre chose.

Voilà 20 ans que j’ai débarqué en région parisienne et je n’en ai pas encore fait le tour. Il y a beaucoup d’endroits à découvrir encore, mais je manque de motivation. Je supporte de moins en moins la foule et les transports en commun. En fait, je deviens vraiment casanière! Pourquoi est-ce que je m’obstine à vivre dans une zone où la vie est chère? Je devrais peut-être réfléchir à aller m’installer dans un endroit où je pourrais avoir un meilleur climat et moins de stress…. Tout ceci nécessite des moyens et un plan, donc cela ne se concrétisera pas dans l’immédiat.

Pour 2023, pas de grandes résolutions: prendre soin de moi, de mes amitiés, de ma famille proche, mettre de l’argent de côté et investir pour le long terme. Ce sera déjà bien!

Photo de Matthias Zomer sur Pexels.com
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Bidules électroniques : Bilan 2022

Mon cheptel d’objets électroniques a évolué au fil de mes envies et besoins, goûts et dégoûts… J’ai renoué avec l’univers Apple, alors que je l’évitais soigneusement, car j’en ai eu marre des sauvegardes à moitié efficaces sur OneDrive ou Google Photos. La planète Apple est unifiée, ce qui allège ma charge mentale!

Depuis mon bilan de 2021, j’ai changé d’employeur et mais aussi de setup de télétravail. J’ai aussi pris la décision de repartir vivre à l’étranger dès que possible. Ce qui impacte mes achats et ventes de produits électroniques.

Voici donc la mise à jour de mon équipement personnel (en gras, ce qui n’a pas changé)

  • Smartphone (à ce jour un Motorola G Pro, très pratique avec son stylet) -> J’ai désormais un Apple iPhone 13 en principal et un dumbphone en secours. Le Motorola a été vendu.
  • Tablette 8 pouces (plus grand, cela ne me servirait pas car trop encombrant en déplacement, j’ai à ce jour, une Samsung Tab A 8 pouces, basique mais efficace. Si le prochain iPad mini est intéressant, je me laisserais peut-être tenter) – Tablette Samsung vendue, j’ai désormais un iPad mini 6 violet!
  • PC personnel (à ce jour, Microsoft Surface)
  • 1 PC stick (j’aime le concept, mais je l’utilise peu, il risque de finir sur Rakuten lui aussi…)
  • Clés USB + cartes microSD (200 Go et 64 Go)
  • Chargeur de piles et piles rechargeables, Amazon Basics
  • 3 enceintes Amazon Echo (Dot, Dot+clock, Show) la Dot toute simple prend un peu la poussière… TOUTES VENDUES
  • 3 webcams Wansview (pour surveiller mes chats quand je ne suis pas chez moi) TOUTES VENDUES
  • 1 lecteur MP3 (que j’ai utilisé une fois. Il n’est pas impossible que je m’en sépare, pour l’instant, je le garde #fantasyself )
  • des écouteurs sport avec fil ( vert pomme, de marque Panasonic, trimballés depuis 10 ans voire davantage)
  • des écouteurs sport sans fil (j’aime surtout leur étui) – revendus et remplacés par des plus pratiques!
  • 1 Radio JBL Tuner 2 (achat 2022)

Le matériel fourni par mon employeur:

  • PC pro (c’est toujours un Dell)
  • 1 Speaker Jabra (en vente sur Rakuten)
  • 1 kit clavier et souris sans fil (que je n’utilise pas) – à mettre en vente
  • 1 smartphone Samsung ->Non, c’est un Apple iPhone 11 maintenant
  • 1 casque Jabra -> remplacé par un autre Jabra et je le laisse au bureau, je n’en ai pas besoin chez moi.
  • 1 souris basique que j’ai gardée d’un précédent employeur (ça dépanne)

Et le matériel de home office dont je suis propriétaire:

  • 2 écrans PC (à ce jour, un de 21.5 pouces et un autre de 24 pouces, Iiyama) -> vendus et remplacés par un seul écran: Samsung M5 SmartMonitor 32 pouces
  • 1 Webcam (en vente)
  • 1 souris ergonomique sans fil
  • 1 clavier ergonomique avec fil
  • 1 Hub avec prise type C avec 2 prises HDMI et d’autres connectiques pour tout avoir sous la main
  • 1 imprimante laser
  • 1 multiprise résistant à la foudre

Et vous, êtes-vous minimaliste ou maximaliste de l’électronique?

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Des mesures pour économiser en cette rentrée 2022

Je l’ai déjà écrit, je trouve que je vis confortablement. J’ai largement de quoi vivre, j’ai un toit sur la tête, une voiture, assez d’argent pour m’offrir des vacances et en mettre de côté. Dans le climat actuel, je mesure ma chance. Ce n’est pas pour autant que j’en perds le sens des réalités. La vie est de plus en plus chère et il est stupide de gaspiller de l’argent inutilement.

J’ai donc revu mon budget mensuel et mes priorités. Et j’ai décidé de réduire certains postes de dépenses.

Mesure N°1: Résilier ma box fibre

Déjà c’est un exemple d’une promotion temporaire telles que je les déteste: j’avais un tarif à 20€ pendant un an, qui a explosé à 45€ à partir du treizième mois.

Même si je travaille environ 3 jours par semaine de chez moi, j’ai décidé de me passer de la classique Box Fibre, incluant bouquet de chaînes télé et téléphonie fixe. Je ne me servais que de l’Internet au final. Je remplace par une ligne téléphonique 5G, puisque je suis desservie. J’ai 210 Go à dépenser, ce sera, je pense, suffisant.

Photo de Pixabay sur Pexels.com

Mesure N°2: Ne pas renouveler mon abonnement Microsoft office

Cela m’est facturé 69€ par an, alors que j’ouvre un ficher Excel 2 fois par mois… Encore une fois, c’est un abonnement onéreux pour une valeur ajoutée faible. Je bascule donc sur un tableur et un traitement de texte plus simple et surtout gratuits. Je me servais de OneDrive, mais il est devenu redondant avec iCloud. En revanche, je garde bien mon abonnement de sécurité, je ne recommande pas de faire d’économies sur ce poste.

Mesure N°3: poursuivre, encore et toujours le désencombrement

J’ai fait du tri et du rangement et identifié, encore et toujours, des objets dont je pourrais me séparer. Au delà de mes sacs, très clairement, je cible mon équipement de cuisine. Je cuisine de moins en moins et avoir des gadgets dans tous les sens me distrait plutôt qu’autre chose. J’aimais bien mon Instant Pot, mais clairement, le modèle de 6 litres était surdimensionné pour mon foyer d’une personne. Je l’ai remplacé par un rice cooker plus compact et revendu l’Instant Pot.

Puisque c’est du bon matériel, je parviens à le revendre sur Internet (Rakuten, Le Bon coin…) sans trop de souci. Pour ce qui a peu de valeur, je vais le disperser fin septembre lors de la brocante de ma ville. Si personne n’est intéressé, je le donnerai.

Photo de Julia M Cameron sur Pexels.com

Mesure N°4: « no buy » jusqu’à la fin de l’année

Clairement, je n’ai pas besoin de davantage de bordel. J’ai des projets à long terme à financer, je dois retaper ma santé et ma condition physique, donc pas de shopping à l’horizon!

Et vous, avez-vous une recette anti-inflation?

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Quand est-ce que c’est fini?

De ranger, organiser, trier…

Des années que je vide, que je remplis, que je casse, que je remplace. Que je déplace… J’ai l’impression de constamment remuer de la poussière et que rien n’est vraiment en place.

Photo de Marcus Aurelius sur Pexels.com

C’est éreintant. Qu’est-ce que j’aimerais enfin voir le bout de tous mes projets!

Et vous, avez-vous atteint votre objectif d’ordre et de rangement?

Alimentation, Bilans, Défis, Perte de poids, Santé

Bilan du mois sans sucre (juin 2022)

Suite à quelques petits problèmes de santé, j’ai ressenti le besoin de faire le point sur ma consommation de sucre (ajouté, pas naturel) dans mon alimentation. J’étais donc partie pour passer un mois entier sans consommer de sucre. Le temps est venu de faire le bilan.

1- Respect des règles
D’une manière générale, après avoir fait l’inventaire de mes réserves, je n’ai pas eu de difficultés à éliminer les produits trop sucrés de mes placards. Vu que j’ai été immobilisée à cause de mon entorse à la cheville, forcément il y a eu moins de tentations à l’extérieur également, mais quand même un peu.

2- Quelles difficultés ?
Le premier jour, nickel.
Au bout de 3-4 jours, j’ai eu des envies de sucre, telles que passer dans une boulangerie acheter un croissant ou manger des crèmes glacées. La première quinzaine est néanmoins passée sans encombres. Ensuite, ça s’est compliqué. J’ai malheureusement échoué à respecter mes règles dans les situations sociales: invitation à dîner, repas d’entreprise… Trop difficile et stigmatisant de refuser une bière ou un bout de gâteau. Je ne me suis pas bâfrée, mais clairement, j’ai très vite retrouvé mon appétence au goût sucré. En plus, la canicule a réactivé mes envies de crèmes glacées…

Photo de Nicole Michalou sur Pexels.com

3- Quel impact sur la balance ?
Je ne partagerais pas mon poids ici, c’est une donnée confidentielle. Je lutte depuis des décennies contre les kilos en trop, dont l’origine est largement multifactorielle.
Bref, sans m’apesantir sur le sujet, j’ai constaté une fluctuation de poids à la baisse, mais c’est certainement aussi dû au fait que je fais de moins en moins de petits déjeuners, sans pour autant manger plus aux autres repas. Cela peut s’apparenter à un jeûne intermittent. Rien à voir avec le sucre, en fait. Mais je trouve que je me sens mieux avec 2 repas au lieu de 3.

4- Alors, stop ou encore ?
J’ai expérimenté plusieurs symptômes de sevrage. Mais comme j’ai « replongé » après seulement 15 jours d’expérience, je crois qu’il va falloir que je poursuive mes efforts dans ce domaine.

Et vous, êtes-vous prêts à manger moins de sucre pour améliorer votre santé?

Alimentation, Défis, Perte de poids, Santé

Juin 2022: un mois sans sucre

Je me suis malheureusement fait une entorse en jouant au tennis il y a deux semaines. Les causes de l’entorse sont multiples: chaussure inadaptées au terrain, fatigue, surpoids… Il est trop tard pour éviter l’entorse, je ne peux que faire de mon mieux pour la soigner et éviter l’entorse à répétition. Clairement, m’alléger de quelques kilos (de gras) ne pourra que faire du bien à ma pauvre cheville, et à mon corps tout entier, bien sûr. Moins il y a de poids, moins il y a de pression sur mes articulations et mes ligaments et moins je risque la surblessure… Je veux reprendre le tennis dès que possible, mais je veux le faire en toute sécurité!

Etant à cours d’idées sur les régimes possibles (oui, je sais, régime est un gros mot, on dit « rééquilibrage alimentaire »), j’ai décidé de m’attaquer, de façon très court terme, à mon addiction au sucre. Au delà d’avoir un bec sucré, et suite à ma lecture de « The Obesity Code » du docteur Jason Fung, faire une cure sans sucre pour un mois ne pourra avoir sur moi que des effets positifs! L’alimentation moderne hypertransformée contient de grosses quantités de sucres, dont l’humain n’a pas besoin pour vivre. Je ne parle pas des glucides, mais bien des sucres ajoutés!

Photo de Ofir Eliav sur Pexels.com

étape N°1: établir les règles du challenge « Mois sans sucre »
– éviter produits transformés contenant du sucre. Une exception : les produits fermentés et mon complément alimentaire.
– 0 alcool (pas besoin de trop me forcer, je bois très peu…)
– manger plusieurs fruits de saison par jour (au moins, en plus du goût sucré, ils apportent des fibres et des vitamines, et donne bonne mine.
– Pas d’entorse (sans jeu de mots), même dans les situations sociales. Pas de petits fours, pas de snacks avec sucre ajouté, pas de happy hour alcoolisée.

Évidemment, pas de faux sucre non plus. Ceci je n’en consomme plus depuis des années, pas plus que les produits allégés, cette inconscience nutritionnelle. Rien ne vaut la vraie nourriture.

Photo de Mikhail Nilov sur Pexels.com

étape N°2: Analyser mes placards
Ce n’est pas la première fois que je fais un raid dans mes placards. J’essaie de toujours faire au mieux pour qu’ils soient suffisamment remplis, mais pas trop non plus, et qu’il y ait toujours des options saines en cas de fringale!

Voici quelques produits usuels que je mets de côté pendant le challenge:
– yaourts de soja sucrés
– sauces tomate préparées
– chocolat noir (il y a quasiment toujours du sucre dedans)
– bouillon de légumes (oui, il y a du sucre dedans, c’est un exhausteur de goût)

Photo de Polina Tankilevitch sur Pexels.com

étape N°3: Faire le bilan
Pour cela, rendez-vous dans 30 jours.

Et vous, êtes-vous prêts à manger moins de sucre pour améliorer votre santé?

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Déjà traîtresse dans ma (nouvelle) classe?

J’ai un peu le cul entre deux chaises, entre mes origines très « classes moyennes » et mon quotidien dans les 5% des Français les plus riches. C’est une donnée plus statistique que culturelle. Au quotidien, je ne me sens pas si « classe dominante » que çà.

Photo de tree lee sur Pexels.com

Pour illustration, ci-dessous 10 choses que je n’ai pas adoptées lors de ma transition de classe :

  • avoir du personnel: pour moi, pas besoin de nounou ni de jardinier. Mais surtout, je ne veux pas avoir de femme de ménage. Je n’ai aucune passion pour les tâches ménagères, mais je n’ai pas envie de gérer une tierce personne. Mes 62 mètres carrés ne sont pas une tâche insurmontable.
  • avoir un héritage conséquent: je viens de la classe moyenne. Changer moi-même de classe sociale n’a pas magiquement changé le capital financier que mes parents me lègueront. D’ailleurs, je leur ai toujours dit de tout claquer et de ne pas être les plus riches du cimetière. Je préfère avoir mon propre argent que je gagne moi-même par mon travail… Et éviter les embrouilles avec mon frère, qui est lui bien resté dans sa classe sociale d’origine.
  • avoir des bijoux ou des meubles de famille: pas de ça chez moi. Je choisis les objets qui passent le seuil de mon domicile. Je ne m’encombrerai pas du bazar d’autrui, surtout pas celui de mes ascendants.
  • utiliser des sobriquets sophistiqués: appeler mon grand-père « grand-père »? Non. J’ai toujours dit « pépé », parce que c’est comme çà dans le Sud, dont je suis culturellement originaire, malgré toutes mes protestations (bientôt 20 ans à Paris, comment se réclamer du Sud?).
  • avoir une résidence secondaire/une maison de famille: même si je fantasme sur un coin de vert, il serait uniquement pour moi. Même si ma mère a hérité d’un tas de pierres sur une pente de la Haute-Ardèche, je ne considère pas que ce soit une « maison de campagne ». Même mes parents qui habitent à une heure et demie de route n’y vont jamais.
  • avoir des amis ou de la famille qui ont des résidences secondaires: dans mon réseau, il y a sans doute quelqu’un qui en a une, mais je n’y ai jamais été invitée. Je ne dois pas être de bonne compagnie…
  • porter des mocassins et des serre-tête en velours: ce n’est pas Versailles ici… J’habite dans le 95. Je porte des marinières, ceci dit.
  • pratiquer une religion: non merci. J’abhorre les religions organisées, il n’y a pas plus intolérants ni machistes que les gens religieux. On peut avoir une vie spirituelle et intellectuelle sans religion.
  • avoir des enfants. Les plus riches peuvent se permettre d’élever Quitterie et Pierre-Eudes. Personnellement, je n’ai jamais été assez motivée pour faire un enfant. Trop de charge mentale pour moi. Dans certains milieux, c’est inimaginable de ne pas se reproduire. Pour moi, c’est juste « non ».
  • utiliser un vocabulaire qui a pour vocation d’exclure. Il y a une certain façon de parler dans tous les milieux, c’est une évidence. Je fais de mon mieux pour de pas être une snob de la parole…

Et vous, qu’en pensez-vous?

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Technologie vintage

J’ai (théoriquement) récupéré toutes « mes » affaires de chez mes parents. J’ai la quarantaine passée, et je me suis acquittée de cette corvée il y a plus de 10 ans maintenant, devant les yeux ébahis de ma génitrice, qui n’avait, à l’époque, rien fait pour me simplifier la tâche, évidemment. Ceci dit, il reste sans doute tous mes jouets d’enfance et mes vêtements de l’époque, des fois que je rétrécisse dans une salopette taille 12 ans. Il est plus que certain qu’ils n’ont pas débarrassé tous ces trucs, étant incapables de vider quoi que ce soit. C’est terrible, ces baby boomers qui sont restés matérialistes…

Photo de Andrea Piacquadio sur Pexels.com

A l’occasion mais extrêmement rarement, leur tendance au hoarding m’a été profitable. Mon père m’a ainsi ramené l’appareil radiocassette dont j’étais si fière à l’adolescence, ainsi que mes cassettes. À l’époque, c’était le summum de la technologie: on pouvait enregistrer la radio! et faire des copies d’autres cassettes! Aujourd’hui, avec le streaming à volonté, cela fait sourire… Pourtant j’écoutais davantage de musique à l’époque qu’aujourd’hui. Ecouter une cassette ou un CD était en soi une expérience. Je prêtais bien plus attention à ce que j’écoutais! on cherchait les paroles des chansons de la radio dans des magazines, on les recopiait soigneusement au stylo plume pour les copines… On échangeait des cassettes, on faisait des compilations qu’on passait dans la voiture. Mes parents ont eu une overdose de Patricia Kaas et de Patrick Bruel, c’est certain! Le must était de copier un CD sur une cassette.

Je ne regrette pas d’avoir connu une époque où la technologie n’était pas aussi dominante dans nos vies quotidiennes, tout comme je ne regrette pas d’avoir accès à toutes ces nouvelles technologies. Je suis jalouse des jeunes d’aujourd’hui qui ont toutes les ressources du monde pour apprendre de nouvelles choses. Les connaissances entières de l’humanité sont à portée de smartphone. Hélas, certains s’en servent pour détruire la santé mentale de leurs congénères et c’est d’une tristesse infinie.

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Je me souviens de mon appareil photo argentique, obtenu à Noël, qui avait des fonctions super, pour l’époque! Les pellicules coûtaient cher, le développement coûtait cher, on comptait clairement les clichés. Tant pis si la photo n’était pas parfaite, il n’y avait pas de dexuième essai. Quel contraste avec nos tendances d’aujourd’hui, où on fait 1001 photos de n’importe quoi! Et le temps que çà prend de gérer toutes ces infos en masse!

Avec le fameux radiocassette, mon père m’a aussi ramené une boîte entière de cassettes. Il y a de tout, des « albums » de MC Solaar, Pauline Ester, Stephan Eicher, et des compilations d’enregistrement de radio. Le son est clairement pas terrible, avec ce bruit mécanique et poussif pour faire défiler la bande… le streaming est nettement plus qualitatif et pratique, on ne va pas se mentir. Dans ce domaine, clairement, ce n’était pas mieux avant!

Avez-vous vous aussi un peu de technologie vintage chez vous?

A la maison, Garde-robe, Minimalisme, Solo living

Les beaux objets

Voilà des années que j’écris sur mes expériences minimalistes et je crois que je n’ai pas encore fait le tour de la question. Il est probable que dans ce cas, le voyage soit plus important que la destination…

Ce qui est important pour moi n’est pas tant un nombre d’objets maximum à détenir chez moi, mais bien de disposer de tout ce dont j’ai besoin et rien de plus. Néanmoins j’aime la qualité, le design, la beauté et quand j’achète avec intention, je suis sensible à l’aspect esthétique. Quoi de plus appréciable que d’avoir chez soi des objets utiles ET beaux?

Évidemment, chez moi, tout ne vient pas de boutiques « Design ». D’ailleurs, je n’aime pas spécialement avoir des choses chères (souvenir d’un cambriolage il y a déjà 10 ans) mais la qualité n’est pas forcément chère. On peut trouver de beaux objets chez Ikéa pour quelques euros, on peut acheter des choses très fragiles et très chères au Printemps ou aux Galeries Lafayette.

Je ne prévois pas de « no buy » pour 2022, car je n’ai pas terminé mon aménagement dans l’appartement que j’ai acheté il y a 10 mois. Je ne vais pas me mettre des contraintes si j’ai besoin d’acheter une boîte ou des cintres… Pour autant, je poursuis mon désencombrement quand je m’aperçois que je n’ai pas l’utilité de certains objets. Derniers exemples en date: un clavier d’ordinateur « en rab » et un robot ménager dont je n’exploitais pas les capacités. Non, je n’ai pas besoin d’un robot à 200€ pour râper mes carottes. Une moulinette à 80€ est largement suffisante, j’aurais peut-être même dû prendre un modèle plus petit…

En tout état de cause, je souhaite m’entourer de choses belles et utiles chez moi, quel que soit ce que l’avenir me réserve. Regarder ces objets de belle qualité, avec de beaux matériaux, cela me met en joie, j’ai une certaine satisfaction à ne plus devoir me contenter de choses premier prix ou bas de gamme, comme quand j’étais étudiante ou endettée…

Et vous, qu’en pensez-vous? Avoir des belles choses, est-ce important pour vous?

A la maison, Minimalisme, Solo living

Seconde chance?

Lors de mon grand weekend « Konmari », j’ai pris conscience que j’avais amassé pas mal d’objets qui ne me servaient pas ou plus. Déjà, quelques sacs, dont certains ont immédiatement trouvé preneur sur Vinted, mais aussi des articles de cuisine, des affaires pour chat etc…

J’ai activé mes canaux de seconde main, plus que jamais, afin que les objets quittent mon appartement de la façon la plus utile et responsable: ventes sur Vinted, Rakuten, mais aussi le Bon Coin (après 5 ans d’inactivité car je n’aimais pas leur service – il a été grandement amélioré) mais aussi le petit dernier, Geev.

De façon surprenante, certains objets que j’avais identifiés comme superflus se sont vus attribuer une seconde chance chez moi. Et d’autres auxquels je pensais tenir sont apparus comme complètement dispensables. J’ai changé d’avis, au final. J’ai donc remis en service une lampe, des écouteurs sans fil, une trousse…

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Cela fait près de 20 ans que j’utilise Internet pour « vider » et je dois faire les 2 constats suivants:

  • Constat N°1: assurer ces actions de vente ou de don prend BEAUCOUP de temps.
    Entre la prise de photo, création d’annonce, sélection du canal approprié, la réponse aux multiples questions des potentiels acheteurs ou receveurs gratuits, l’emballage ou empaquetage, la livraison ou la prise de rendez-vous pour l’enlèvement des objets, je comprends la position de beaucoup de gens de ne pas s’embêter avec tout çà et de faire des sacs pour Emmaüs. Loin de moi l’idée de critiquer les personnes qui mettent tout leur superflu dans un carton et donne tout à une association caritative. Je l’ai fait moi-même par le passé! Plus le temps passe, plus je me dis que, à mon taux horaire, je m’embête beaucoup pour pas grand chose. Aujourd’hui, ça m’occupe, ça me fait sortir et voir du monde, mais à un moment, j’aurais bien d’autres choses à faire! Et puis, même pour des dons, les gens sont pénibles. Même si tu donnes quelque chose, ils posent 20 questions, ils pinaillent et posent des lapins… Vivement que j’atteigne le niveau de plein et de vide auquel j’aspire et que je ne vende que mes gadgets électroniques pour les renouveler…
  • Constat N°2: la facilité que j’ai à me séparer de ces objets et de (parfois) récupérer une partie de l’argent dépensé pour les acquérir m’incite à PASSER A L’ACTE d’achat plus facilement.
    Si je sais que je peux récupérer 50 € dans 1 an, c’est plus facile de dépenser 100€ maintenant. Cela ne marche pas pour tous les objets, mais clairement c’est comme çà que je procède pour l’électronique et pour les sacs. Je commence à avoir la même démarche pour les vêtements (les pulls Armor Lux trouvent toujours preneur). Ce n’est pas forcément très sain. Même en achetant de seconde main, j’estime que je peux retrouver mes sous en revendant.

Bref, je ne suis pas encore arrivée à un état des stocks satisfaisant, avec juste le nombre de possessions dont j’ai besoin et qui me font plaisir!

Et vous, pensez-vous au devenir de vos achats au moment de passer en caisse?