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Bienvenue au nouveau membre de la famille: Onyx!

Après le décès de ma Luckie adorée avec laquelle j’avais vécu tant de choses, j’ai eu du mal à m’habituer à son absence et je n’imaginais pas la remplacer. Peut-on jamais remplacer un membre de sa famille? Mon autre chat, Fifi, commençait à déprimer sec en restant chat unique. Il est très intelligent et a dit au revoir à sa grande sœur avant que je ne l’emmène chez le vétérinaire pour son ultime visite, il avait compris ce qui se passait. Déjà que c’est un chat très réservé, il mangeait à peine et se faisait tout petit.

Noir et blanc sur blanc

J’ai donc ouvert mon cœur à un nouveau chat, qui avait besoin d’une famille. C’est un beau mâle noir d’à peine 2 ans, très joueur, câlin, collant, ma perle noire, ma panthère de salon…

Je présente donc: ONYX!

Pas d’agressivité entre les 2 mâles, ils sont très copains, ils partagent gamelle, litière, lit… sans broncher. C’est un bonheur d’avoir ma famille féline au complet, même si j’ai dû renoncer à dormir avec, car Onyx a une certaine tendance à me mordre les pieds quand ils dépassent. Il y a encore un peu d’éducation à parfaire le concernant.

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La vie est courte: Ma bucket list

S’il y a une chose que la vie m’a apprise ces dernières années est que la vie est courte et qu’il ne faut pas reporter indéfiniment ce qu’on a envie de faire, sous peine de ne jamais réaliser ses rêves et ses projets !

Pour mon voyage au Japon, initialement prévu au printemps 2020, je n’ai guère le choix que de patienter jusqu’à ce que la situation sanitaire soit clarifiée, mais pour d’autres choses, je peux commencer maintenant.

J’ai arrêté les cours d’allemand avec ma formation initiale en école de commerce et j’ai rarement eu l’occasion de le pratiquer. J’avais pourtant un bon niveau et j’aimais bien la langue. Ma maîtrise de l’anglais a balayé bien des choses sur son passage… Je nourris ce regret d’avoir perdu mes compétences de germaniste depuis une bonne dizaine d’années. C’est tellement dommage d’avoir investi tout ce travail pour rien !

Finis les regrets, place à l’action : j’ai donc googlé des cours d’allemand sur Paris et, une fois mon test de niveau fait (A2 à l’écrit, B1 à l’oral) je me suis retrouvée en cours du soir avec d’autres adultes dès la semaine suivante. Je n’ai pas eu le temps de me trouver des excuses pour reporter! 42 heures en présentiel et en distanciel sont prévues. Je pourrais peut-être même compter sur un financement de mon entreprise…

Parmi les autres projets que j’ai :

  • me remettre à l’italien (mes cours d’italien sont plus récents que mes cours d’allemand – je m’y suis mise après mes 30 ans, et j’essaye de garder mon petit niveau, mais les langues vivantes, ça se pratique !)
  • apprendre le chant lyrique (est-ce trop tard à mon âge ?)
  • apprendre la clarinette ou le hautbois (enfant, on m’a imposé la flûte traversière, que je n’aimais pas spécialement…)
  • visiter les musées d’Art Contemporain des villes que je visite
  • Courir un 10 kilomètres
  • Être classée en tennis 🎾
  • Publier un roman ou un recueil de nouvelles (sur Amazon Kindle Publishing, ce n’est pas si inabordable – un rêve d’adolescente à réaliser… pourtant ce blog compte presque 500 articles en 15 ans, mais ce n’est pas un livre!)

Et vous, quels sont les projets que vous souhaitez concrétiser ? Qu’attendez vous pour le faire ?

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Ma transition ménagère

Je pensais être une écolo, une bobo minimaliste… En fait, il n’en est rien! Certes, j’ai bossé sur ma garde-robe, mes livres, mes bidules de cuisine, mais force est de constater que j’ai accumulé une quantité de produits et d’équipements de ménage bien trop conséquente pour mon mode de vie actuel. Sans compter que tout ce barda n’est pas forcément bon pour la santé.

C’est le même constat que pour ma salle de bain en son temps : ça déborde ! Je ne sais même plus ce dont je dispose et ce dont j’ai vraiment besoin. Pourtant, je sais que très peu de produits suffisent à l’entretien d’une maison: du vinaigre, blanc, du bicarbonate de soude et du savon noir suffisent pour à peu près tout!

J’ai eu une certaine prise de conscience grâce à un Tiktok sur les perturbateurs endocriniens. J’ai donc repris les basiques et retrouvé ce petit livre de ménage au naturel, sans chimie lourde.

Une partie de ma « collection »

J’ai donc regardé quelques vidéos de ménage sur Youtube pour me donne de l’inspiration et de l’élan et j’ai rassemblé tous mes produits de ménage au même endroit, façon Konmari.

Le tout, donné sur Geev

Pourquoi ai-je donné sur Geev des produits dont je ne suis pas sûre qu’ils soient bons pour ma santé? Parce que nous sommes tous différents et qu’à tout prendre, si quelqu’un en veut, je ne vais pas tout mettre à la poubelle. J’ai aussi donné un seau (doublon) et un embout de serpillière espagnole. L’idée était avant tout de simplifier mes produits de ménage et d’éviter les produits chimiques trop lourds. Je vais néanmoins finir mes tablettes lave-vaisselle et ma lessive liquide actuelles avant de transitionner vers des formules plus neutres.

Et vous, faites vous, vous aussi, votre ménage au naturel ?

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Rituels du dimanche

Quand je ne suis pas en vadrouille, ce qui n’arrive plus très souvent depuis le début de la pandémie, j’aime passer mon dimanche chez moi.

Photo de Ba Tik sur Pexels.com

Ma vie est rythmée par mon travail en semaine, avec deux jours de télétravail le mercredi et le vendredi. J’ai décidé d’aller marcher 30 minutes tous les matins au saut du lit pour renforcer mes routines. Le samedi est consacré aux activités extérieures: courses non alimentaires, cinéma, sorties culturelles. Le dimanche est consacré à mon intérieur.

Je commence souvent mon dimanche en regardant une vidéo d’Orlane sur sa chaîne Youtube « libre et sauvage ». Cela me procure un peu de chlorophylle depuis mon appartement de banlieue. Je vis un peu par procuration, je dois dire, mais je n’ai pas du tout la main verte et aucune envie de vivre à la campagne à plein temps!

Le Dimanche est le jour où je prends le temps pour tout : le petit déjeuner est plus tardif et plus copieux qu’en semaine, je fais le plus gros ménage (la litière, par exemple, ou la lessive de draps) et où je passe plus de temps dans ma salle de bains. Rien n’est plus agréable que d’oublier les horaires. Je me laisse porter par mes envies… Des fois, je reste devant ma télé, des fois je vais faire un tour… Je ne m’impose aucune contrainte. Cela me revigore avant d’entamer la prochaine semaine, car j’ai parfois un petit coup de pompe dit « syndrome du dimanche soir ».

Et vous, que faites-vous de vos dimanches?

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Comment je gagne ma vie

J’adore regarder les rubriques « Porte-Monnaie » de certaines publications. Celles de Rue89 sont devenues payantes, mais il y a celles de Mademoizelle, qui sont gratuites. Je trouve trop rarement des porte-monnaie correspondant à ma situation, n’étant ni millionnaire, ni rentière, ni mère célibataire galérant à joindre les deux bouts. Voilà donc ce qui constitue mes rentrées d’argent:

1- Mon salaire: évidemment ma plus grosse source de revenus!
Je suis cadre dans une entreprise internationale.
Non seulement mon contrat de travail m’octroie un salaire, mais également des droits sociaux: couverture Frais de santé, Prévoyance, Retraite, Épargne Salariale etc. Ce régime français fait qu’il est intéressant d’être salarié (et non indépendant) car il y a un véritable « filet de sécurité » en cas de pépin: prise en charge de dépenses médicales, épargne à moyen et long terme, ouverture de droits à indemnisation chômage etc. Clairement être salarié en France est un statut de privilégié. Il suffit de jeter un oeil à ce qui se passe ailleurs. Ce n’est pas une raison pour accepter tout et n’importe quoi, mais il faut reconnaître une situation de privilège.

2- La location d’un appartement
C’était mon projet en France, et finalement je l’ai réalisé en Irlande. Mon crédit est couvert par les loyers perçus. C’est assez spécifique au marché immobilier irlandais: les loyers sont plus élevés que des traites d’emprunt. Je m’y retrouve, car la taxation est moins importante qu’en France. C’est un investissement plutôt risqué, vue la volatilité du marché et le fait que le taux d’emprunt soit variable et élevé, et à très long terme (endettement sur plus de 20 ans). Pour l’instant, je garde cet investissement, car je ne désespère pas de revenir vivre à Dublin, où je me suis sentie « chez moi » pendant plus de deux années.

3- Investissements et placements
J’ai différents placements: épargne salariale, assurance-vie, PEA, PERP. Je viens d’acquérir ma résidence principale. Pour moi, c’est à la fois une nécessité (besoin d’un toit sur la tête) et un investissement (il n’est pas impossible que je la loue un jour si je quitte la région parisienne, donc j’ai raisonné comme pour un investissement locatif dans ma recherche immobilière). J’ai tranché, pour mon cas personnel, le dilemne « acheter ou louer ». En plein centre de Paris, clairement, la location gagne, car le prix au mètre carré est exorbitant et il faut rester plus de 20 ans au même endroit pour rentabiliser l’investissement. Mais dans ma banlieue (95), l’achat se révèle rentable. Le loyer que je payerais pour mon appartement est à peu près équivalent à mes mensualités d’emprunt, charges de copropriété incluses, avec un taux fixe et bas. Donc je me constitue un patrimoine au lieu de payer un loyer.

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4- Ventes d’occasion
Bon an, mal an, je génère plusieurs centaines d’euros en revendant des choses qui ne me servent plus. J’ai une petite tendance à faire des achats compulsifs et cela me rassure toujours de savoir que je peux minimiser les ravages de cette tendance sur mon porte-monnaie en récupérant quelques sous… Je vends sur Rakuten ou Vinted ou Ebay, selon le type d’objets.

5- Cashback / Coupons
Je suis très attentive à ce que je dépense, car mon argent ne tombe pas du ciel. Déjà, j’essaye de n’acheter que ce dont j’ai besoin et de rentabiliser ce que j’ai déjà chez moi. J’utilise le système de cashback d’iGraal au maximum pour récupérer quelques euros sur des achats que j’aurais de toute façon faits. Je profite aussi des cashbacks de Boursorama (selon moi la meilleure banque en France, sans frais) et de son espace « the Corner » pour obtenir des réductions (places de ciné etc) sur des chèques-cadeaux (Ikea, 13% de réduction sur La Redoute, Darty, 5% sur Décathlon, Amazon…).

6- Cadeaux / Subventions
Ce n’est clairement pas un flux financier majeur, mais mon CSE m’accorde des chèques-cadeaux pour Noël et des chèque-vacances. Je reçois aussi parfois des « awards » de mon employeur, ce qui me génère encore des chèques-cadeaux.
Pour le reste, j’ai une politique de « zéro cadeau » pour moi, donc mes proches ne m’offrent rien. Il arrive qu’ils me donnent des objets, comme il arrive que je leur en donne, mais cela ne constitue pas un « cadeau ». C’est très très marginal.

Et vous, comment gagnez-vous votre vie?

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Dans le rétroviseur

J’ai commencé à bloguer il y a de nombreuses années. Bien sûr, le contenu a évolué avec mes changements de préoccupations et avec mon développement personnel. Ces articles reflètent à la fois les objets de mon passé mais aussi les relations humaines que j’ai pu nouées. Honnêtement, je trouve de moins en moins d’intérêt dans le passé, je suis plus absorbée par le présent et happée par l’avenir.

Il y a des sujets qui me semblaient de la plus haute importance à l’époque (cf la quantité astronomiques d’articles sur les cosmétiques) et qui m’indiffèrent complètement aujourd’hui. Cela ne me cause aucune émotion : c’est normal d’évoluer. Cela m’inquiéterait vraiment si j’étais la même personne qu’en 2007. À quoi bon vieillir si l’on apprend pas de ses expériences ?

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En fait, je trouve les vieux articles souvent marrants. J’ai recatégorisé tous les posts, en rajoutant des étiquettes et des illustrations. Je suis tombée sur quelques pépites qui m’ont bien fait rire. Des fois, je me prends pour un magazine féminin… Je pense que je me suis bien calmée depuis et que j’ai adopté un ton bien plus bienveillant! Et cette rengaine sur « quitter Paris« . 3 fois je suis partie, 3 fois je suis revenue. Il me faut accepter mon destin de francilienne d’adoption.

Il y avait beaucoup d’articles en mode « journal » pas toujours passionnants. Ce que j’en retiens est que j’ai bien fait de me tourner vers le minimalisme ! Qu’est-ce que j’ai passé de temps à acquérir, utiliser et me séparer de mes objets… Hallucinant ! Quelle perte de temps, rétrospectivement.

Et vous, si vous avez un blog, relisez-vous de temps en temps vos vieux articles ? Quelle est votre réaction ?

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La petite pause estivale qui va faire du bien !

Je ne parle pas de ce modeste blog, que j’alimente quand ça me chante. J’ai d’ailleurs plusieurs articles presque finis, qui seront mis en ligne dans le courant de l’été.

En revanche, je suis encore fatiguée par les réseaux sociaux, notamment Twitter et LinkedIn. J’ai donc décidé de supprimer ces applications de mon smartphone. Cela me fera du bien de m’épargner des débats sans fin avec des personnes souvent obtuses, ignorantes et agressives. Évidemment, ce n’est pas tous les participants, mais il y a un certain nombre de trolls qui se permettent tous les irrespects parce qu’ils sont dissimulés derrière leur écran. JAMAIS je n’ai eu d’interaction aussi violente en face à face.

J’accepte la pluralité des points de vue, je sais bien que tout le monde n’est pas d’accord avec moi. Mais je ne supporte pas de me faire agresser gratuitement et méchamment, alors que j’exprime une simple opinion. Les commentaires, c’est vraiment le pire sur Internet. Je les lis trop, et j’ai trop souvent envie de mettre le mien. Honnêtement, cela ne m’apporte rien. Donc je vais dorénavant me taire. Si une opinion me démange trop, j’en ferais un article sur ce blog, après tout, il sert à çà.

Ma nouvelle déco, temporaire heureusement…

Donc, ma résolution de l’été : me centrer sur moi et mes besoins (j’ai un appartement à aménager, après tout) et ne rien commenter nulle part sur aucun site. J’ai besoin de tout mon temps libre pour m’occuper de moi et de mes problèmes, sans me faire polluer par des inconnus.

Et vous, comment s’annonce votre été ?

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Ces 5 choses qui se sont avérées rentables

Dans cette société consumériste, qui nous incite à accumuler des objets, dont on n’a pas forcément envie ni besoin, il y a parfois des achats pour lequel on en a eu pour son argent, des choses qui valent le coup. Voici ma sélection :

1- Portefeuille Ogon. Je l’ai acheté d’occasion sur Vinted. Il était un peu rayé mais tout à fait utilisable. Je voulais essayer le format, moi qui ai longtemps utilisé un porte-monnaie tout simple comme portefeuille. Les petits compartiments sont très bien pour les cartes et la carte d’identité. Petit format idéal, léger. Bref. Essai concluant. Je m’en offrirais un nouveau prochainement, avec un extérieur plus costaud que celui en alu brossé.

2. Smartphone Motorola – J’ai l’habitude d’acheter mes smartphones neufs puis de les revendre après 12 à 18 mois d’utilisation. Généralement je récupère la moitié de la valeur d’achat et cela me sert à financer mon nouvel achat. Voilà longtemps que j’ai délaissé la sphère iphone. Dans la gamme Apple, je n’aime que les ipad, et encore… C’est bien trop cher pour ce que c’est! Ce modèle est mon deuxième Motorola et je suis absolument convaincue par son rapport qualité prix. A titre professionnel, j’ai un Samsung, sensiblement plus cher et je ne le trouve pas spécialement plus performant ou pratique que mon Motorola personnel. Pourquoi dépenser plus? Avec 200€, on a un smartphone tout à fait décent, et c’est bien difficile de s’en passer de nos jours.

3. Airfryer (friteuse sans huile, en bon français): indispensable dans ma cuisine depuis près d’un an. Je m’en sers quasiment tous les jours pour rôtir mes pommes de terre, légumes, falafels etc. Tellement plus rapide, pratique et facile à nettoyer qu’un four! Je ne sais pas si je prendrais à nouveau ce modèle, mais clairement, je ne peux plus m’en passer. Une bénédiction quand on veut manger moins gras et tout aussi savoureux.

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4. Abonnement Kindle Unlimited – J’ai redécouvert récemment le plaisir de me laisser emporter par les livres. Car oui, j’étais un peu fâchée avec l’objet « livres »: encombrant, lourd, difficile à stocker, possiblement dévoré par mon chat papivore… Maintenant que j’ai déménagé, j’ai aussi un trajet en tram à optimiser. J’avais un Kindle Fire 8, finalement pas si pratique, alors j’ai pris une tablette Samsung 8 pouces, qui est très bien pour mon utilisation, tout en étant plus performante que la Kindle, que je vais mettre en vente, du coup. Pour avoir toujours quelque chose à lire, je me suis laissé tenter par un abonnement Kindle Unlimited. Soit, toute la bibliothèque de l’humanité n’y est pas disponible, mais j’y trouve de quoi satisfaire mon appétit de lecture.

5. Un mètre-ruban. C’est un des objets les plus anciens chez moi, que j’ai acheté quand je suis arrivée à Paris en 2003. Je l’ai acheté dans une droguerie et il tient encore la distance. Selon les périodes, je m’en sers plus ou moins souvent. J’ai aussi encore le marteau que j’ai acheté en même temps au même endroit. Les outils, cela vaut la peine d’investir dans de la qualité, c’est certain!

Et vous, quels sont vos achats qui ont tenu la distance et pour lesquels vous en avez eu pour votre argent ?

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Les chaînes Youtube que je suis (sur tous les thèmes)

Après avoir fait une petite revue de mes chaînes vegan préférées, j’ai envie de parler des autres chaînes que je suis. J’ai des intérêts divers et variés, j’en conviens!

Laurette, l’influenceuse de plus de 40 ans (et la maturité, ça fait du bien! J’ai pas envie qu’une minette de 22 ans me bombarde de vidéos lifestyle)

J’aime : Laurette parle d’un peu tous les sujets: déco, brico, shopping, maquillage, chaussures… Elle a un style rafraîchissant et elle ne se la pète pas comme beaucoup d’autres youtubeuses, surtout les jeunettes. En jeune quadra, je m’identifie à elle, même si on a des vies bien différentes.

J’aime moins : le contenu maquillage ou chaussures, car ce ne sont pas des passions pour moi.

A small wardrobe (contenu en anglais)

J’aime : Patricia a évolué vers un minimalisme assez radical, depuis son Australie natale. Je kiffe qu’elle réussisse à vivre de sa chaîne. Et elle a un chat très choupichou.

J’aime moins : comme elle fait beaucoup de vidéos, les thèmes tournent en boucle et j’ai parfois une impression de déjà vu. Et aussi, ses looks à base de nuisette en satin ne passeraient pas du tout en France.

Sophie Shohet: l’obsédée du luxe (en anglais)

J’aime : je la prends vraiment au second degré, car elle me fait marrer avec sa collection de sacs Chanel et Dior. Personne n’a besoin d’accumuler autant de fanfreluches, mais ça a l’air de la passionner. On n’imagine pas que les riches ont des problèmes, et pourtant: un sac Chanel qui ne garde pas sa forme à l’usage…

J’aime moins : son côté « logo allover » et bling bling est un peu « too much ». D’un autre côté, c’est sa marque de fabrique. Je ne pense pas acheter le moindre sac qu’elle possède, je vis un peu par procuration… Quoi que je dise, je reste une fan de sacs! Je n’ai juste pas besoin d’un sac pour être heureuse. J’admire juste l’objet et la fabrication.

Kitten lady (en anglais)

J’aime : des chatons, des chats, des animaux à sauver, des conseils pour s’occuper des félins… J’adore!

J’aime moins : c’est très américain, très cheesy. Mais je n’ai pas grand chose à reprocher à cette chaîner.

Alexandra Gater: déco moderne à la Canadienne

J’aime: la bonne humeur d’Alexandra, les idées malines et pas chères, les couleurs, les astuces rangement et déco

J’aime moins : le côté pas fonctionnel de ses propositions dans certains cas, les étagères ouvertes ramasse-poussière, son amour des pompoms…

Justine Leconte: mode et style (en anglais)

J’aime : le contenu varié sur la mode, non seulement les formes, les couleurs, les proportions, mais aussi l’éthique, la fabrication etc.

J’aime moins : pas trop de conseils pour les femmes rondes. Et moi, je suis plutôt « +size ». Donc certains conseils me passent un peu au dessus de la tête.

Et vous, avez-vous des chaînes Youtube qui vous inspirent?

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Que faire de mes relations du passé ?

Après avoir parlé des objets du passé (je parle de ces vieilleries qu’on traîne, pas des héritages, que j’ai en horreur), j’en suis venue à m’interroger sur mes relations passées, qu’elles soient amicales, amoureuses, professionnelles ou autres (artistiques, académiques…). Comme tout être humain, j’ai une capacité à maintenir des relations avec un nombre limité de personnes.

Des chercheurs ont estimé qu’on ne ne pouvait pas avoir plus de 150 relations (nombre de Dunbar). Je trouve déjà que c’est énorme ! J’ai restreint mon réseau Facebook à une centaine de contacts, qui en plus, sont parfois issus de ma famille, donc que je n’ai pas choisis. Est-ce que les relations humaines suivent les mêmes règles que pour les objets: un qui rentre, c’est un qui sort?

Tant de gens croisés sur mon chemin, mais qui a tenu la distance?

Je suis à la moitié de ma vie, j’ai croisé des milliers d’autres êtres humains. J’ai vécu des moments avec chacun d’eux (1 heure, 1 jour, 1 semaine, 1 année scolaire…) mais au fond, combien sont encore présents dans ma vie? Les plus persistants sont ceux avec qui j’ai vécu des challenges (concours, examens, sports extrêmes, spectacles) plus que ceux avec qui j’ai partagé des moments anodins.

Il fut un temps, je collectionnais précieusement les amis sur Facebook. Comme si j’allais perdre une partie de moi en perdant contact avec eux. Mais tout le monde n’est pas adepte ou assidu de Facebook. Et cela m’a laissé un goût d’inéquité: pourquoi donnerais-je accès à des bouts de ma vie à des personnes qui ne mettent rien sur la table et se contentent d’être spectateur de la vie d’autrui? Cela ne m’a pas semblé être juste.

Finalement, LinkedIn est vraiment le bon outil pour garder un contact, car c’est un outil à la bonne distance. On sait à peu près où sont les gens, sans avoir à maintenir une relation hyper suivie. Aujourd’hui, j’ai de moins en moins de curiosité sur ce que sont devenus les gens que j’ai pu croiser. Je suis suffisamment visible pour que ceux qui me cherchent puissent me retrouver.

Et vous, êtes vous doué pour la vie sociale ?

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Spring cleaning 2021

Je suis une adepte du grand ménage de printemps ! Évidemment, depuis que je m’intéresse au minimalisme, ce rituel a pris une autre dimension : normalement, j’ai moins de boulot (puisque moins de bazar).

L’année dernière, comme la planète entière, j’ai fait face au confinement. J’ai eu l’impression de faire Ma guerre et que ce serait un évènement qui n’arriverait qu’une fois dans ma vie.

J’ai pris goût à la vie chez moi, surtout parce que j’y ai de la place et du confort.

2021 est quand même moins sévèrement confinée que 2020. Il n’y a plus de pénurie de masques ni de gel hydroalcoolique. Je ne vois plus personne et je prends bien moins les transports en commun qu’avant. Pourquoi aller à Paris? Zéro restaurant, zéro spectacle, zéro musée, peu de magasins ouverts. Et d’un point de vue logistique : où aller aux toilettes ?

Bref.

J’ai dû liquider mes congés et je me retrouve donc chez moi pour une semaine. Je n’avais pas fait de plans, n’ayant aucune idée des consignes sanitaires qui seraient en vigueur. J’ai bien fait de ne rien prévoir.

Me voilà donc, confinée pour une semaine, chez moi, à 2 mois d’un déménagement. Autant faire des choses utiles, comme le fameux ménage de printemps !

J’utilise pas mal de produits « maison » quand j’y pense !

A priori, je suis plutôt au point sur le tri de garde-robe, mais je dois ranger les affaires d’hiver et sortir mes affaires d’été, apporter mes deux manteaux au pressing (ils ont encore au moins un hiver à faire chacun), virer les vêtements trop abîmés, identifier quelques nouvelles pièces.

Côté cuisine, le vide a été fait pour les ustensiles et équipements. Je dois néanmoins poursuivre mes efforts dans le garde-manger : je veux déménager léger ! Sus à ces aliments trop exotiques pour ma routine ! Je mets de la noix de coco et de la poudre de caroube dans mon porridge tous les matins juste pour vider (et virer) 2 bocaux. Va falloir que je trouve quoi faire des feuilles de riz, algues kombu et autre crème de balsamique, qui n’ont pas trouvé leur place dans mon régime alimentaire de base.

Côté cosmétiques et salle de bain, on est bien. Je pense que je vais m’attaquer au bureau : entre la paperasse et le matériel électronique, je vais avoir de quoi m’occuper…

Et après le tri, il y aura le nettoyage et ensuite je remettrai tout en place. 3 objectifs : déménager léger, préparer le rendu de mon appartement en location et avancer sur mon organisation personnelle ! Je vais me motiver pour faire les vitres. Boudiou, comme je déteste çà…

Et vous, êtes vous adepte du grand ménage de printemps ?

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Mon rêve d’un coin de vert

Voilà des années que je me pose la question d’avoir une résidence secondaire. C’est clairement un luxe pour une célibataire. Je n’ai pas toujours vécu dans un « grand » appartement et même si je suis adepte du minimalisme, les confinements successifs n’ont fait que révéler mon besoin d’espace. Je m’étais imaginée louer en région parisienne et devenir propriétaire en Normandie (j’ai vécu au Havre il y a quelques années et j’adore cette ville). Et puis, j’ai finalement migré à Dublin, capitale qui allie les bienfaits de la ville et de la campagne et qui n’est pas très urbanisée. Je suis nostalgique de mon mode de vie bien plus relax et moins pollué que dans la métropole parisienne. Si j’y trouve un job, j’y retourne au galop, mais le contexte actuel n’y est clairement pas favorable. Je me suis fixée un objectif d’être à Paris pour les jeux olympiques de 2024, donc je ne bougerai pas d’ici là. Je pense même, honnêtement, y rester 5 ou 6 ans de plus.

Ma carrière m’impose de résider en région parisienne (ma situation a à peine changé depuis la rédaction de mon article en 2016, j’ai juste fait un aller-retour en Irlande, projet évoqué en 2016 et concrétisé en 2017, retour en France courant 2019, un peu à contrecoeur) mais j’aspire à un peu plus de sérénité. Pour l’instant, je navigue entre bureau et télétravail et ça me convient. Mais l’avantage du télétravail est qu’on peut le pratiquer ailleurs que dans un appartement francilien. J’apprécie de débuter ma semaine par une journée sans bureau, ça fait débuter mon intense semaine en douceur.

Je rêve toujours d’une petite maison, avec un bout de terrain et peut-être même avec un accès à la rivière. Orlane, qui anime la chaîne « Libre et Sauvage » a pris le temps de la réflexion pour se lancer dans ce projet et elle l’a vraiment fait !

Je suis réaliste, partager mon temps entre la ville et la campagne est clairement une émanation de mon « fantasy self » mais j’aime imaginer la concrétisation de ce projet, cela me donne un os à ronger, une perspective à attendre, bref, un truc concret à faire.

Pourquoi avoir une résidence secondaire?

  • Avoir un « refuge » pour supporter les aléas de l’existence.
  • Avoir de l’espace et du bon air à respirer
  • Avoir accès à des bons produits: locaux, de saison, frais, abordables
  • Rythmer mon existence d’escapades au vert et me faire de nouveaux souvenirs
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Les contraintes?

  • A l’achat? Les mêmes qu’un achat de résidence principale: se fader la recherche, les agents immobiliers, le courtier, les banques, le notaire, payer des frais, encore et encore.
  • Les trajets: En train, il faut aller jusqu’à la gare et gérer les incidents possibles, être tributaire du bon vouloir de la SNCF. En voiture, il faut s’occuper de toutes ces joyeusetés : l’essence, l’entretien, le péage, les bouchons, la fatigue de la route, les aléas des pannes, au prix de la liberté de mouvement.
  • Les frais: abonnement Internet, EDF, eau, assurance, taxe foncière, taxe d’habitation, entretien, copropriété, le cas échéant. Il faut tout prévoir en double, ce qui génère des frais non-négligeables… A l’achat, il y a des biens peu chers, si on est prêts à faire 2 heures de route. Le budget de rénovation peut néanmoins être rédhibitoire, en plus des frais courants.
  • La sortie: compte tenu de ma bougeotte, je sais bien que ce projet m’occupera dans les 5 ans. Et ensuite? Que se passera-t-il? Je risque de revendre cette résidence et potentiellement de faire une moins-value, voire de mettre des mois à vendre… Comment savoir? et que faire du contenu de la résidence secondaire?
  • Les gens sur place : pour avoir vécu dans des petites villes, je sais ce qu’est l’ostracisme. Je n’ai pas l’aspiration de me faire des amis sur place, nous serions trop différents, ou alors je pourrais nouer des relations avec d’autres résidents secondaires. Aucune envie de croiser des chasseurs. Et pas envie non plus de faire partie des commérages.

Ma décision: aujourd’hui, ce n’est clairement pas ma priorité. Je ne suis pas prête à m’investir émotionnellement dans ce projet. Mon achat de résidence principale est ma préoccupation première. Peut-être que cela changera à l’avenir, rapidement, d’ailleurs…

Ma solution court terme? Et bien: profiter de ce que j’ai déjà! j’habite à 100 mètres de la forêt de Meudon. J’entends déjà les oiseaux chanter le matin, pour un peu que je laisse télé et radio éteintes. Ce n’est pas si compliqué de faire comme Orlane (pour le ragondin, ça va être difficile de trouver un substitut) avec les moyens du bord.

Je n’envisage pas de bouger ma résidence principale au vert pour l’instant. J’ai bien trop conscience des difficultés d’intégration que les néo-ruraux rencontrent. Je déteste passer mon temps le cul dans une voiture, je déteste les chasseurs, je n’ai aucune sympathie pour les gens fermés d’esprit… J’aime avoir des médecins, des théâtres, des universités, des aéroports à proximité. C’est ce qui fait mon confort de vie, encore plus que de manger local.

Et vous, une résidence secondaire pour faire un break de la ville, ça vous tente?

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Le challenge minimaliste de mars et avril 2021: vaincre la paperasse

Les challenges de janvier et février 2021 ont été très gentillets. Il est temps désormais que j’affronte ma bête noire: les papiers !

De toutes les tâches qu’un adulte se doit d’accomplir, c’est celle que je déteste le plus. Je préfère faire les vitres plutôt que de m’attaquer au rangement de mes papiers. Certes, la digitalisation croissante m’a grandement soulagée de ce fardeau (mes classeurs d’extraits de compte papier ne me manquent pas) mais j’ai encore de la paperasse à gérer, de façon physique et numérique.

Le challenge est si grand pour moi que je vais y consacrer 2 mois : trier les papiers, numériser et ranger ce qui doit l’être et détruire ce dont je n’ai pas besoin.

Pas mes classeurs. Peut on rêver de classeurs?

J’imagine que je ne suis pas la seule personne à détester m’occuper de ma paperasse. Heureusement pour moi, je suis globalement à jour de ce que je dois faire, je gère beaucoup par prélèvement et j’évite les découverts. Mais je rechigne toujours à m’occuper de mes papiers. Je préfère changer la litière des chats, laver les draps, faire deux heures de meal prep, plutôt que de ranger ces fichus papiers.

Et vous, quelle est votre bête noire en tant qu’adulte ?

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10 astuces à 0€ pour faire des économies

Toujours dans ma mouvance minimaliste et dans le cadre de mon plan d’économies, je vous présente des astuces qui ne coûtent rien et qui permettent de ne pas dépenser plus que nécessaire!

1- Je garde des emballages pour mes propres envois : je ne parle pas des enveloppes matelassées ou des colis que je reçois, ça je pense qu’on le fait tous (une enveloppe matelassée coûte 50 centimes pièce, mine de rien). Je mets aussi de côté des emballages divers, tels que ceux de la pâtée des chats, qui sont en carton épais. Super pratique pour mes ventes sur Vinted, plutôt que de les mettre au bac de recyclage. Je garde aussi les emballages en papier des légumes et ceux de la boulangerie pour caler le contenu de mes colis. C’est à la fois économique et écologique.

2- Je reporte le week-end les vêtements de la semaine, s’ils sont encore propres. Laver trop souvent les vêtements les abîme, alors je préfère en tirer le meilleur parti et allonger leur durée de vie. Cela fait faire des économies de lessive et d’électricité et prolonge la vie de mes vêtements, sachant que ma garde-robe est minimaliste. Parfois, cela me fait porter des vêtements plus « habillés » que nécessaire, mais je m’en fiche.

3- Je n’achète pas ce qu’il est facile d’emprunter, par exemple des livres. Dans toutes les villes, il y a des bibliothèques ouvertes à tous et souvent gratuites, elles proposent en plus souvent des livres électroniques. Plus besoin de se déplacer pendant les horaires d’ouverture, ni d’aller toucher des livres dégueulasses (merci Covid, pour cette prise de conscience généralisée sur l’hygiène) ou poussiéreux.

Photo de cottonbro sur Pexels.com

4- J’utilise une banque en ligne sans frais. Pas de frais bancaires mensuels etc. Ma carte Visa Premier me coûte 0€. Certes, Boursorama m’a demandé de laisser 5000€ chez eux (et ce n’est pas à la portée de tout le monde), mais c’est très vite rentabilisé. Ils font aussi régulièrement des offres promotionnelles sur leurs différents produits. En 2020, j’ai récupéré 200€ de cashback en plaçant de l’argent sur différents produits que j’utilisais déjà (Assurance vie, Compte d’Épargne Financière Pilotée, Compte titres). Mon code parrainage est ici: Boursorama.

5- Je ne suis pas à découvert. Ça rejoint le point d’avant. Certes, j’ai droit à un découvert sans frais pendant 30 jours, mais je préfère ne pas dépenser de l’argent que je n’ai pas. Ce n’est pas facile pour tout le monde, je sais, mais les agios coûtent une fortune, en pure perte.

6- Je fais des listes: shopping listes + to do listes. J’ai une shopping list pour les courses du quotidien, que je complète dès que je manque de pois chiches ou de flocons d’avoine. J’ai aussi une shopping list pour les vêtements et accessoires. Ma garde-robe est plutôt minimaliste, mais je renouvelle parfois des pièces. Quand quelque chose est depuis trop longtemps sur la liste, je l’enlève : si j’ai vécu sans pendant longtemps, c’est que je peux vivre sans pour toujours. (oui, je pense à toi, veste en jean dont je pensais que ma garde-robe avait besoin…)

7- Je prends une gourde d’eau du robinet dès que je pars de chez moi pour quelques heures. Certes, il y a le prix de la gourde, mais on peut aussi recycler un bocal ou une petite bouteille en verre. J’évite ainsi l’achat de boissons hors domicile, qui sont chères et qui laissent derrière des emballages plastiques pas très recyclés.

8- Je récupère les bocaux des produits que j’achète. Pas tous, et je ne les garde pas tous non plus. J’aime bien ceux de la confiture Follain que j’ai ramenée d’Irlande. Je teste différents formats pour voir ce qui convient à mes besoins réels et non à mon fantasy self. Ceux que je ne retiens pas partent au recyclage verre.

9 – Je compare toujours les prix avant de faire un gros achat, type électronique ou électroménager. Amazon n’est pas systématiquement le plus avantageux : Darty, la Fnac et la Redoute ont aussi des bons deals avec les fabricants, surtout si on y rajoute des cashbacks tels que ceux d’iGraal (parrainage ici) ou des bons d’achats payés moins chers sur TheCorner quand on est client Boursorama (parrainage ). Jackpot si on arrive à tout combiner!

10- Je fais le tri dans mes amis : exit ceux qui ne tiennent pas compte de mes contraintes et souhaits budgétaires : c’est ainsi que j’ai refusé tous les enterrements de vie de jeune fille pour les mariages de mes amies, systématiquement organisés à l’autre bout de la France… Transport, hôtels, nourriture, activités, part de la future mariée… Tout çà, ça chiffre. Sans compter le mariage lui-même (la tenue, le coiffeur, les frais de déplacement et de transport) et l’inévitable cadeau pour les mariés. Sans aller faire comme Carrie Bradshaw et me marier avec moi-même, juste que, pour une fois, on célèbre mes choix de vie et qu’on participe à mes frais de vie à moi, je dis non si cela me semble trop dispendieux. Est-on obligé de dépenser de l’argent pour passer un bon moment entre amies? Il me semble que non.

Très clairement, je ne participerai plus aux « weekends entre filles », qui me coûtent, au delà de l’aspect pécuniaire, une bonne dose de stress et de frustration. Les amitiés vieillissent parfois mal.

Je dois dire que c’est pareil pour les restaurants à plusieurs, je souhaite que le budget associé me convienne. Quitte à se contenter d’un café ou d’un verre plutôt qu’une formule complète. Évidemment, en ce moment, la question ne se pose pas vraiment. Mon budget sorties est à 0€ depuis les confinements, comme pas mal de monde, j’imagine.

Et vous, quelles sont vos astuces à 0€ pour économiser pour ce qui compte vraiment pour vous ?

A la maison, Alimentation, Bilans, Défis, Minimalisme, Santé, Solo living

Bilan du challenge désencombrement de l’équipement de cuisine

Force était de constater que ma volonté de perdre du poids, et donc de cuisiner sainement, m’a fait faire des achats pour ma cuisine. Puisqu’une grande partie de la réponse au surpoids est dans l’assiette, j’ai eu à cœur de m’équiper correctement afin de pouvoir préparer tout ce dont j’ai besoin pour atteindre mon objectif. L’excuse rêvée pour faire du shopping compulsif.

Mais les gadgets, c’est comme les sucreries, il faut les limiter. Mon challenge de ce mois de janvier 2021 était donc de faire faire une cure minceur à mes placards. J’ai donc débarrassé 59 bidules de cuisine et je n’ai gardé que les outils préférés (je crois que je peux encore faire davantage de tri, mais je referai le bilan dans quelques mois).

Voici ce qu’il reste après tri
J’ai encore largement de quoi faire ! Aucun risque que ce que j’ai débarrassé me manque !

J’ai donc donné à la ressourcerie. J’ai également mis en vente des récipients plastique pour pique niques et autres lunchbox inutilisés sur Vinted.

Des doublons et des objets dont je ne me servais pas, ou pas suffisamment pour justifier la place prise dans mes tiroirs et placards

Cela fait du bien, tout ce tri!

Et vous, avez-vous des placards de cuisine remplis comme les miens ? Voulez-vous faire du vide ?