Garde-robe

Vers l’automne, la garde robe transitionne

Les températures se sont rafraîchies d’un coup d’un seul cette semaine et je suis passée des sandales et débardeurs en début de semaine aux chaussures fermées et veste de pluie le vendredi. On a perdu une quinzaine de degrés très soudainement.

Du coup, j’ai estimé qu’il était temps de mettre de côté les vêtements d’été et de retrouver mes vêtements d’hiver. Il s’agit en fait de ressortir de mon placard ma housse de rangement contenant mes vêtements hors saison, de récupérer les habits d’hiver et de mettre à la place les vêtements trop marqués « été ». J’aurais certes assez de place dans mon placard pour « voir » tous mes vêtements de toutes les saisons, puisque j’en compte moins de 100 pour toute l’année, mais je préfère avoir à portée de main ce que je peux porter à l’instant donné. Je n’ai pas envie d’avoir le nez dans mes manteaux d’hiver quand il fait 35°C dehors, ni dans mes robes d’été quand il fait 0°C. De façon très pragmatique, mes 2 robes d’hiver ont ainsi remplacer sur leurs cintres 2 robes d’été.

C’est l’occasion parfaite de faire un point sur la garde-robe et de faire le bilan de la saison : qu’a-t-on vraiment porté ces six derniers mois ? Qu’est-ce qui ne convient plus ? Qu’est-ce qu’il faudrait renouveler ? Et en redécouvrant les vêtements de l’autre saison, me conviennent-ils encore? Sont-ils encore portables?

Pour cet automne 2020, où j’ai fait vœu de sobriété, j’ai décidé de sortir plus de choses que j’en rentre car honnêtement, je peux mieux faire que 100 vêtements. 80 me semble encore plus efficace. Néanmoins, je suis très loin de mon poids-cible, donc je n’investirais pas beaucoup avant de l’atteindre.

Mon challenge « nouvelle garde-robe » dépasse toutes mes attentes, je fais le point dessus la semaine prochaine. En attendant, je poursuis mes ventes sur Vinted et mes dons à la ressourcerie le cas échéant.

Photo de Daria Shevtsova sur Pexels.com

Petit point sur ce qui sort:

  • veste tailleur courte bleu marine: mise en vente Vinted – elle est trop juste pour moi. Je dois dire que je mets très peu de vestes, même si j’aime bien çà. Elles me donnent un air trop « habillé » à mon goût, quoi qu’en pense cette youtubeuse que j’aime bien.
  • sac cabas bleu ciel Guess, acheté l’hiver dernier, que j’ai mis quelques semaines avant le confinement. Un peu trop lourd et ornementé pour mon style, à l’usage. Je ne me suis beaucoup assagie sur les sacs à main. Aujourd’hui, j’en suis à 4. Je compte faire un point sur cette portion de ma garde-robe bientôt. Entretemps, ce sac est en vente sur Vinted.
  • débardeur Uniqlo à rayures. La coupe est un peu bizarre sur moi, ça baille sous les aisselles. Je vais voir si quelqu’un en veut sur Vinted.
  • pull marin Armor Lux qui a déteint: part au recyclage, cela me fait mal au cœur car je l’adorais, mais il n’est plus présentable.
  • pull manches courtes Marks and Spencer motifs à gris carreaux bleu marine : recyclage. La matière bouclette est trop cheap et je transpire trop. C’est ce style de vêtement qui ne fait guère de sens: en matière chaude et à manches courtes.
  • T-shirt Uniqlo Marimekko à motifs gros pois bleu marine. Je l’ai beaucoup mis et par conséquent beaucoup lavé. Les pois blancs n’étaient plus très blancs et je ne voyais pas trop comment le rattraper.

Cela fait donc 6 articles qui ne seront pas remplacés, la plupart du temps parce que je dispose déjà d’une alternative.

Je dispose de 3 foulards légers et je n’en ai porté aucun pendant la saison chaude, il faut dire que je n’ai pas pris l’avion une seule fois. Il y a quelques années, j’en portais tout le temps. Passer à 0 me semble un peu radical, parce que je finirai par reprendre l’avion, mais je vais peut-être m’en séparer d’un ou deux.

Et vous, avez-vous fait votre tri saisonnier?

A la maison, Carrière

Les bons côtés du télétravail

Personne n’imaginait en début d’année que 2020 nous réserverait bien des surprises, à commencer par une pandémie conduisant une grande partie de l’humanité à se confiner chez elle. Ceux dont le métier permettait de ne pas venir sur leur lieu de travail se sont donc retrouvés à télétravailler. Non que ce soit une nouveauté, mais la magnitude du changement imposé a choqué tout le monde, même les télétravailleurs occasionnels dont je faisais partie grâce à mon « laptop job ».

Les inconvénients du télétravail 5 jours par semaine ont été décrits maints fois: isolement, perte du relationnel, manque de communication etc. Mon contrat de travail me permet 2 jours de télétravail par semaine et j’estime que c’est suffisant pour mon équilibre vie pro/vie perso. Si jamais j’avais un job me permettant les 5 jours par semaine, je me poserais sérieusement la question de me relocaliser ailleurs qu’en région parisienne, tant que j’ai une bonne connexion internet.

Bref, l’objet de mon article est de discuter des bons côtés du télétravail pas de disserter sur ses limites. Quels sont donc les bons côtés que j’ai identifiés de par mon expérience personnelle?

Le plus évident : le temps de transport! plus besoin de me lever très tôt pour arriver à l’heure. Personnellement, je gagne une demi-heure de sommeil le matin et une demi-heure de tâches ménagères ou de cuisine le soir.

D’une manière générale: on peut mieux gérer son temps : plus de souplesse pour les rendez-vous médicaux, les livraisons, les courses, les tâches ménagères, les lessives etc. Cela me permet d’aller au magasin bio sur l’heure du déjeuner et de préparer mes légumes le soir, choses que je ne fais pas quand je rentre du bureau après une journée classique. et mine de rien, cela me fait gagner du temps de loisirs sur mon weekend et cela me permet de bien gérer mon alimentation.

Photo de Ketut Subiyanto sur Pexels.com

Les à-côtés : après trois mois de confinement, je me suis aperçu que j’avais peu usé mes vêtements, mes chaussures, mon maquillage, mes sacs… Et donc que j’avais moins eu besoin de renouveler toutes ces fanfreluches. Mon budget me remercie. Autre mesure bien confortable: je me suis passée, quasiment tous les jours, de porter un soutien-gorge et çà, c’est top! Certes, j’ai eu des vidéoconférences, mais le non-port de soutif n’était pas visible. C’est quand même bien de ne pas être engoncée dans ce sous-vêtement dont je comprends de moins en moins l’utilité: les femmes ont des seins avec des tétons, mais on ne doit pas montrer qu’on a des tétons, alors que la norme est d’en avoir. Bref. Cachez ce sein que je ne saurais voir…

Le télétravail est donc à présent bien ancré dans ma nouvelle routine. J’ai choisi le lundi et le mercredi comme jours à la maison et pour l’instant, tout roule! S’il y a besoin de flexibilité, cela ne me pose pas de problème.

Et vous, êtes-vous adeptes du télétravail?

A la maison, Minimalisme

La gestion de ma bibliothèque (suite et fin)

Comme une envie de vide, toujours et encore. J’avais des projets de déménagement qui finalement ne se concrétiseront pas. J’étais sur le point de signer un compromis de vente pour un appartement et puis ça a beaucoup traîné car il manquait des papiers importants. J’ai préféré me désister plutôt que d’avoir une mauvaise surprise. N’empêche, j’avais commencé le vide pré-déménagement, non seulement pour garnir ma cagnotte « nouvelle garde-robe » mais aussi pour faire du vide tout simplement. A quoi bon déménager (c’est à dire payer le transport) d’objets dont je n’ai pas l’utilité. En vendeuse d’occasion aguerrie, j’ai donc encore et toujours fait du tri afin de réduire mes possessions.

À Dublin, je me débattais avec une soixantaine de livres, plus ou ou moins lus ou intéressants. Il y a eu des entrées (j’avais des bons d’achat utilisables à la FNAC, j’ai pioché dans une boîte à livres), des sorties (grâce à Momox, Rakuten, dons…) et j’avais encore sur mes étagères une cinquantaine de volumes en ce début septembre 2020.

ce qu’il reste de ma bibliothèque. Non, je ne suis pas une illettrée, j’ai un Kindle par ailleurs.

J’en ai lus quelques-uns en vacances, donc je m’en sépare. Et j’ai aussi décidé de virer ces beaux et gros bouquins de cuisine véganes. Certes, ce sont de beaux livres, mais je ne les feuillette jamais. Comme tout livre de cuisine, ils réclament des ingrédients exotiques et des gadgets de cuisine dont je ne dispose pas toujours. Force est de constater que je m’inspire aujourd’hui davantage des recettes que je vois sur des blogs et des vidéos YouTube que de recettes sur des livres papier, aussi bien illustrés soient-ils.

Pour en revenir à ma bibliothèque, elle compte à ce jour 23 livres. Dont la majorité en vente sur Rakuten. Momox en a repris 18, ce qui m’évite potentiellement 17 déplacements à la poste ou en point relais colis. Quand je pense que ma première livraison Momox comptait 95 articles ! C’était du temps où j’avais des CD et des DVD.

Mon lien de parrainage Rakuten

Ma boutique Rakuten

Journal

J’y suis presque !

Alors que mon blog me sert de psychothérapie gratuite (et publique !), je constate que l’augmentation de la cadence des articles me fait du bien. N’ayez crainte, je saisis tout à fait la différence entre aller voir un psychologue et écrire sur un blog. Mais comme le temps et l’envie me manquent pour consulter, j’aime autant ordonner mes pensées sur ce carnet électronique. J’aime relire (et parfois corriger) mes anciens articles, car j’ai l’impression que j’ai progressé sur les sujets qui m’intéressent: le minimalisme, la nutrition, la garde-robe et tant d’autres choses.

J’ai presque atteint mes objectifs. Certes, il y a encore du boulot pour la perte de poids, mais pour le reste, on est sur les rails.

Les phases 1, 2, et 4 de la méthode Konmari dont achevées. Je suis encore à la ramasse pour les papiers (ma bête noire) et les objets sentimentaux.

Mon secret pour enfin passer plus de temps à bloguer? Il était dans ma poche: j’utilise désormais mon smartphone de façon plus utile et moins ludique. Plutôt que de scroller Instagram, je rédige un billet de blog où je relis un ancien post. Il y a toujours des fautes de frappe quelque part, même si je suis attentive à mon contenu. Je gère aussi les mots-clés, étiquettes etc.

Coucher mes pensées sur le papier m’apaise. Je matérialise le cheminement de mon esprit et la logique des choses devient limpide: je trouve des solutions !

Et vous, bloguez-vous? Quels sont vos astuces pour le faire régulièrement?

A la maison, Garde-robe

Des sacs et des sacs…

Les ventes Vinted et Rakuten vont bon train. J’annoncerai prochainement le montant de la cagnotte des ventes destinées à ma garde-robe post perte de poids. Ok, j’ai peu perdu de poids, mais je vais quand même dans la bonne direction ! Comme je veux m’alléger globalement, cela vaut aussi pour mes placards.

J’ai fait un bilan de mes besoins en sacs de ville et force est de constater que je peux vivre avec 4 d’entre eux. Dès lors que faire de l’excédent ? J’avais craqué aux soldes d’hiver début 2020 pour 4 jolis sacs Guess. Confinements (1 et 2) oblige, je suis très peu sortie. Un des sacs avait gardé son étiquette. J’aurais dû le renvoyer, comme habituellement la moitié de mes commandes, mais je m’étais convaincue que j’avais « besoin » de ces modèles-là, après les avoir repérés en magasin puis en ligne.

On aurait pu croire que ces 4 nouveaux sacs de ville auraient pu combler tous mes désirs, mais non seulement j’ai très peu mis ces sacs (l’un m’a accompagnée quotidiennement de janvier à mars, quand même) mais en plus j’en ai acheté d’autres! Et pas qu’un ! Mais pourquoi donc étais-je convaincu qu’il s’agissait d’un « besoin »?

Photo de Moose Photos sur Pexels.com

Pour mon anniversaire, je me suis ainsi offert un sac en cuir Marc Jacobs bleu ciel, modèle Softshot 27. Certes, un peu cher, même soldé (j’en ai eu pour 273 €) mais il ne m’a pas quittée depuis. Même si je m’en lasse dans un an, j’en tirerais toujours un prix qui me permettra de limiter les pertes. Il est pratique, joli, costaud, il va avec l’immense majorité de ma garde-robe, il est au top. Je m’en veux d’avoir loupé la version jaune de ce sac (c’était du jaune paille, j’aurais préféré du moutarde) lors des soldes d’été, mais c’est la vie.

J’ai aussi acheté un sac à dos de ville Kipling gris argenté (après avoir renvoyé un sac de taille inférieure dans un coloris turquoise foncé – ni la taille, ni la couleur ne convenaient) pour mes besoins sporadiques de trimballer mon ordinateur personnel le week-end. Je l’ai pris en soldes à moins 50%. Je n’avais pas de doute sur sa praticité et son format puisque j’avais eu le même, mais en noir. J’avais beaucoup utilisé ce sac que j’avais fini par revendre car noir. J’en ai tiré un prix tout à fait honorable d’ailleurs, compte tenu de ses longues années de service. Try before you buy.

Je viens de refaire le même coup du « même modèle, différente couleur » sur un sac bandoulière Reisenthel, idéal en déplacement avec ses compartiments et poches multiples. Comme je fais la chasse aux doublons, j’ai mis en vente le rouge juste après avoir acheté le bleu. Et il s’est vendu avant que je ne reçoive ma commande. Ils ne se sont même pas croisés chez moi, ces sacs-cousins!

Au final, il est évident que je ne fais pas fortune en revendant mes sacs un an maximum après les avoir achetés. On récupère entre 1/3 et 1/2 du prix payé, si le sac est récent et en excellent état. Mais je trouve que c’est déjà pas mal d’en récupérer quelque chose.

Cela m’interroge néanmoins sur la valeur des objets qui n’est jamais que celle qu’on leur donne. Est-ce que je n’achète pas davantage de sacs (mon péché mignon depuis 20 ans) parce que je sais que je pourrais m’en séparer avec peu de culpabilité quand le coup de foudre se sera évanoui ?

Je cherche toujours ce modèle parfait, léger, joli, avec une bonne capacité… La version moderne de celui de Mary Poppins !

A la maison, Alimentation, Perte de poids

Revue de régimes -N°0 : introduction

J’aimerais tellement que l’histoire soit différente, mais c’est comme ça… Depuis l’enfance, on m’a fait comprendre que j’étais « rondelette ». C’est sûr que j’avais des bonnes joues, mais quand je regarde les photos, objectivement, je n’étais pas grosse, j’avais une physionomie tout ce qu’il y a de plus normale, si ce n’est que j’étais grande pour mon âge. Jusqu’à la classe de cinquième, ma croissance s’étant interrompue à 1m73, j’ai toujours été parmi les plus grands, on me donnait facilement un ou deux ans de plus, voire davantage (« non, je n’ai pas encore eu les résultats du bac, je passe mon brevet l’année prochaine »).

Évidemment, l’adolescence a été difficile comme pour la majorité des filles. Ma croissance s’est fort logiquement arrêtée et j’ai pris des formes de femme, mais assez progressivement, je dois dire. Alors que je faisais de la danse classique (honnêtement, j’étais dans les normes pour une jeune fille de ma taille, ni mince ni grosse), on m’a abondamment reproché mon physique trop « fort’. Curieusement, j’ai arrêté la danse. Et la gym. Et je me suis mise à détester le sport. Mes profs de sport ont également joué dans cette aversion, certains donnant plus dans le sadisme que dans la bienveillance. J’aurais donné n’importe quoi pour en être dispensée, tellement je détestais aller en cours de sport. En famille, nous n’avions pas d’activités physiques, à peine une promenade par-ci, par-là. Mes parents n’ont jamais été sportifs, du coup, ce n’est pas dans notre culture d’aller se bouger les fesses.

Photo de Maksim Goncharenok sur Pexels.com

J’ai eu des profs assez déplaisants dans l’ensemble. Du genre à se croire tout permis parce qu’ils étaient PROF et ADULTE. J’ai vraiment très peu appris avec eux sur l’activité physique en général. C’est bien plus tard que j’ai compris comment cela fonctionnait… Et c’était donc trop tard pour prendre de bonnes habitudes et intégrer le sport dans mon rythme de vie.

Entre ce prof qui m’a fait faire de l’athlétisme en chaussures de ville (j’avais oublié mes baskets ce jour-là), et l’autre qui nous regardait courir sur la piste glacée sous la neige, bien au chaud dans son cabanon. En fait, non c’était le même que j’ai eu la malchance de me coltiner plusieurs années. Un authentique connard. Une année, j’étais dans la classe de son fils, pareil, un connard. Les chiens ne font pas des chats. Dans le lot, j’en ai eu 2 bien, bienveillants, à expliquer ce qu’il fallait faire et comment ils notaient. Les autres avaient décrété que j’étais nulle et ne faisaient rien pour me motiver. J’ai même perçu quelques pointes de sadisme. Certains ne devraient pas être profs, s’ils ne sont là que pour leur chèque de fin de mois et pas pour encourager leurs élèves.

Evidemment, quand je suis devenue adolescente, ma mère est devenue encore plus toxique qu’avant, me faisant faire n’importe quoi, ne m’écoutant jamais. C’est bien simple, quand je la contredisais (parce que j’étais éduquée et elle pas), sa réponse était « ça se passe mal à l’école? ». Et bien, non, pas toujours. J’ai eu mon lot de bizutage, mais l’avantage d’être parmi les plus grands et costauds, c’est qu’on ne vous emmerde pas bien longtemps. Des parents à l’écoute et bienveillants et surtout bien informés m’auraient été plus utiles que les guignols qui en ont fait l’office. Ils n’ont pas été à la hauteur. Jamais, en fait… Comme si avoir des enfants n’étaient qu’une charge pour eux. Pourquoi en ont-ils fait trois, alors que, objectivement, ils s’en désintéressaient complètement? Allez savoir.

Bref, je m’égare. Il s’agit d’un article introduisant tous les régimes que j’ai pu faire dans ma vie. C’est néanmoins important de commencer par la genèse: une famille dysfonctionnelle et mal éduquée sur le sport et la nutrition. Ce qui donne une vie ponctuée de stress, de prise de poids, de prises de bec…

Aujourd’hui : à 40 ans, je n’ai toujours pas trouvé mon poids sain. Je suis médicalement obèse. Pas merci, maman, pas merci, papa. Ce n’est pas tout à cause de vous, je prends ma part de responsabilité, mais vous n’avez pas été d’une grande aide.

Ceci est le premier article de ma série sur les régimes. C’est hélas une longue série. Qui risque d’être déprimante, mais j’ai envie de me donner le temps de raconter mon cheminement, tout aussi important que le véganisme ou le minimalisme. On en vient à chercher des solutions parce qu’il y a un problème, pas pour se faire mousser.